10 effets positifs d’une vraie stratégie Social Media sur un site eCommerce Les réseaux sociaux sont encore fortement assimilés au community management; pourtant, pour un site eCommerce, les possibilités vont bien au-delà de la diffusion de contenu ou de l’organisation d’un jeu viral. Une stratégie Social Media peut s’appliquer directement au sein d’un site eCommerce et avoir de réelles répercussions positives sur le nombre de visites, d’inscrits, les ventes, … Dans cet article, je partage avec vous 10 raisons d’intégrer les réseaux sociaux au sein même de votre site de vente en ligne, chacune avec un objectif concret. 1. En moyenne, 2% des visiteurs d’un site eCommerce passent une commande. L’intégration de “Facebook Login” s’inscrit dans cette logique d’augmentation du taux d’inscription. 2. 70% des paniers commencés sont abandonnés par les internautes. 3. Chaque partage est une source gratuite de visibilité et de trafic. Si vous décidez d’inciter vos visiteurs à partager sur le réseaux sociaux, vous devriez prendre en compte 2 éléments. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
Le consommateur roi " Ce qui a changé au cours des trente dernières années, c'est le consommateur ", a lancé Marc Lolivier, délégué général de la Fevad. Un sentiment partagé par les intervenants de la table ronde du CMD intitulée " Rêve de marketing, marketing de rêve ". Marc Lolivier a exposé la règle des 3C - compétence, choix et communication - imposé par la révolution Internet : le consommateur est, aujourd'hui, un expert qui a accès à un choix considérable, 7 jours/7, 24 heures/24 et qui, grâce à Internet, a le pouvoir de s'exprimer et de donner son avis. Caroline Villecroze, directrice marketing et communication d'Adrexo a, ainsi, constaté que le consommateur est au centre de toutes les communications des marques : " Nous sommes passés du marketing produit au marketing client ". Quel avenir pour le marketing ? Daniel Kaplan est, cependant, convaincu que dans l'avenir, le marketing passera par le VRM (Vendor Relationship Management). Le concours des 30 ans du CMD Le palmarès :
Performance web des principaux sites d'e-commerce en France : état des lieux Dans le Top 300 des sites web les plus visités en France, seulement 22 % des sites e-commerce se chargent en moins de 3 secondes. Qui sont les bons et les mauvais élèves ? Présentation des données et analyse. Entre 2012 et 2013 la connexion Internet moyenne des français s'est améliorée de 9,7 % en un an. Pendant ce temps les sites Internet se sont alourdis de 32 %. En 2009, Amazon avait perdu 1 % de son chiffre d'affaires pour 100ms de temps de chargement supplémentaire. L'éditeur du service www.dareboost.com fait son état des lieux du e-commerce en France en avril 2014. Un temps de chargement moyen de 5,2 secondes Les sites e-commerce les plus visités par les français, classés par temps de chargement : Quelques chiffres pour aller plus loin Environ 20 % de ces sites comportent au moins une ressource (une image par exemple) en erreur (parmi lesquels environ 40% avec la fameuse erreur 404). Plus de 67 % des contenus sont des images
[Outils] Les marketplaces sont-elles en train de façonner l'avenir de l'e-commerce? A l’occasion de la conférence sur les marketplaces organisée par LearnAssembly, l’université collaborative des entrepreneurs, Maddyness réalise une ébauche des tendances du secteur. Tous les acteurs historiques de l’e-commerce y viennent progressivement : ils ouvrent leur propre place de marché, sur laquelle ils accueillent des vendeurs indépendants. Tout est parti du constat que l’e-commerce classique n’arrive pas à dégager de rentabilité suffisante et doit donc se diversifier. Les marketplaces apportent par leur souplesse et leurs effets de levier des solutions intéressantes. Saviez-vous par exemple que 70% de la rentabilité d’Amazon vient de sa marketplace, pour seulement 40% des ventes ? Mise en réseau et scalabilité Pour Jérôme Connac, co-fondateur de Limonetik et intervenant à la conférence, la gestion des flux financiers est d’ailleurs l’un des principaux enjeux des places de marché, et devient même un point de différentiation. Une concurrence accrue Crédit Photo: Shutterstock
Les programmes de fidélisation sont-ils morts ? par Yan Claeyssen - Chronique e-Business Non ! Au contraire, dans un contexte de crise, les programmes de fidélisation ont la cote. Quel que soit le secteur d’activité, un programme de fidélisation constitue aujourd’hui le meilleur moyen de protéger sa marge. Les programmes de fidélisation sont tout d’abord de plus en plus relationnels et de moins en moins transactionnels. C’est-à-dire qu’ils sont moins basés sur des mécaniques promotionnelles (mécanique de points, bon d’achat…) et plus orientés services et/ou contenu. Autre changement de taille, ils se dématérialisent. Autre évolution : les bons programmes de fidélisation sont aujourd’hui drivés par la «connaissance client». Enfin, le digital permet de baisser les coûts d’animation d’un programme. Les programmes de fidélisation sont aujourd’hui face à deux grands défis : - Avoir une vision cross-canal du client. - Intégrer réellement les réseaux sociaux. Côté e-commerce, le secteur connaît une croissance à deux chiffres depuis 15 ans, mais cela ne va pas durer.
Gestion de bad buzz : le cas Décathlon Le 14 décembre dernier, un Décathlon des Vosges a publié sur Youtube un libdub reprenant le morceau « Call me maybe ». Les vendeurs du magasin dansaient et chantaient des paroles destinées à promouvoir les produits de Décathlon comme cadeaux de Noël… Décathlon Saint-Dié-des-Vosges Noël 2012 par Spi0n Décomplexée, voire légèrement grotesque, la vidéo a rapidement fait parler d’elle sur Twitter. Les moqueries ne manquaient pas : Mais les soutiens, bien que plus rares, sont aussi venus : Le CM à fond la forme Rien que du très classique donc : les gens réagissent à une vidéo qui sort de l’ordinaire. Pour éteindre le feu, donnez-lui de l’oxygène La réponse au buzz ne s’arrête pas là : plutôt que d’étouffer la vidéo, le lipdub est intégrée… en home de la page Youtube de Décathlon France ! Une très bonne initiative de la part de Décathlon. Pour conclure, quelques leçons à retenir : 1. 2. Cette rapidité est probablement due à une organisation hiérarchique aplanie. 3. 4.
Balsamik donne un coup de jeune à la mode senior de Daxon - Economie « La jeune senior ne veut pas s’habiller chez Daxon. » Pour le poids lourd wasquehalien de la vente à distance de textile pour les 50 et plus, il fallait réagir pour s’adapter à cette « quinq’ado » qu’ont identifiée les sociologies. En lui proposant une nouvelle marque et une mode rajeunie. Il y a deux ans, Daxon avait amorcé son virage. L’enseigne avait alors décidé d’éditer deux catalogues : l’un arborant sa marque, seule, avec des articles très « traditionnels », et un autre, où la mention web « .fr » était accolée à Daxon, orientant déjà vers plus de modernité, avec une offre qui commençait à se rajeunir. En avril 2012, le PDG de Movitex Jean-Joël Huber et ses équipes, ont lancé le projet « mode, morpho et complicité ». « Daxon.fr était déjà le premier site de e-commerce sur la cible des seniors.
Smart Flows repère les flux de clients en magasin C'est un peu le Google Analytics des magasins. La technologie mise au point par la jeune start-up Smart Flows permet d'analyser en temps réel les déplacements des clients dans un commerce en repérant leurs smartphones. Grâce à des capteurs qui récupèrent les signaux émis par les téléphones portables, l'outil de Smart Flows réalise une cartographie très précise des mouvements de personnes. Validé par la CNIL, ce système garantit la confidentialité des données obtenues, qui sont cryptées afin d'éviter toute atteinte à la vie privée. Carrefour et le musée du Louvre équipés Présente au CES 2014 de Las Vegas, Smart Flows suit et analyse en temps réel les flux de personnes, offrant ainsi aux distributeurs un outil performant pour améliorer leur connaissance client. Un outil qui a déjà séduit Carrefour, Gemo et même le musée du Louvre. S'inspirer du e-commerce Smart Flows est née de la rencontre entre deux conseillers en stratégie et finance, Marion Brette et Nicolas Binet. Shopping connecté
Retail analytics - Overview - United States Help all customers feel as if you know them personally, and that you have their interests in mind. This level of intimacy will ultimately create long-lasting and rewarding relationships for you and your customers. The world’s largest office-supply retailer delivers personalized marketing messages to its online customers, creating a a one-to-one web experience that helps fill customers’ carts and keeps them coming back. An international pet supply retailer understands the paths-to-purchase process of its customers, allowing them to tailor the online engagement with a more personalized experience. Retailers need to offer merchandise with assortments tailored to meet distinct tastes and preferences in different places and contexts. Streamline back-office processes, take advantage of reduced-cost delivery models and establish enhanced visibility of organizational performance.
Audace - Burberry entame sa détox Publié le 02 février 2014 Depuis 2011, Greenpeace lutte pour la désintoxication de la mode et du prêt-à-porter. Sur la toile et dans la rue, l’ONG marie viral et guérilla pour étendre l’audience de sa campagne mondiale « Detox », qui a déjà fait plier dix-huit grandes marques. Comment utiliser le pouvoir des réseaux sociaux pour gagner un combat éthique contre une marque de vêtements de luxe en deux semaines seulement ? Egalement dans l’œil du cyclone vert « Detox » - du nom de la campagne mondiale lancée par Greenpeace en 2011, une chemise de Burberry portée par le fiston Beckham pour les besoins d’une campagne haut de gamme en juin 2013. Immédiatement, le fabricant britannique réplique en défendant son respect des standards internationaux pour l’environnement et la sécurité. Déterminée à faire plier Burberry, l’ONG active son réseau de soutiens et implique parents et influenceurs de la mode dans le combat. Les Petits Monstres parlent aux grands Levi’s pris à son propre piège marketing