Loisirs créatifs vente en ligne QMJ Des cadeaux de Noël à fabriquer SabrinaCette année avec la naissance de la petite soeur on a fait appel à un photographe pour avoir de belles photos à offrir aux papys et mamiesMon fils Jarod (qui a appris que c'est papa et maman qui achète les cadeaux) à eu envie de faire des cadeaux du coup je lui ai proposé des idées et il a choisi les photos avec un cadre fabriqué et décoré par lui ... résultat 3 photos 13×18 pour 2 € et pour le reste de la recup je l'ai aidé pour la fabrication des supports avec du carton et l'utilisation du pistolet à colle mais il est super content de ses cadeaux et à moindre coûtBonne soirée Julie Pour info, j'avais acheté une plastifieuse à moins de 20euros chez gifij'avais realisé un imagier pour mon fils mais ca sert pour beaucoup de choses !j'avais déjà l'idée des sets de table pour noel, mais j'avoue des petits sablés en complement c'est une super bonne idée !
Comment organiser un marché de Noël à l'école ? Propice aux rencontres et au partage, le marché de Noël est aussi un bon moyen de récolter un peu d’argent pour financer les classes vertes, sorties, et achat de matériel ou livres pour l’école. Découvrez nos idées pour organiser un marché de noël au top ! De nombreuses écoles, collèges et mêmes lycées, proposent un marché de Noël fin novembre ou courant décembre. C’est l’occasion de joindre l’utile à l’agréable. On pourra y échanger avec les enseignants, les parents et les élèves, mais aussi y faire ses emplettes en vue des cadeaux de fin d’année. Les démarches Comme pour toute manifestation, l’organisation d’un marché de Noël passe par quelques démarches préalables : L’organisation d’un marché de noël relève du régime des « ventes aux déballages ». Constituez une commission « marché de Noël 2015 » pourra établir le planning et le programme de cet évènement au sein de l’école. Le planning Un marché réussi est un marché avec une bonne préparation ! A l’avance Le jour J (ou la veille au soir)
Momes.net : idées, coloriages et activités pour enfants « Macaron » de Pierre Hermé… « Les carnets de Nat Agnès Viennot Editions Photographies : Bernhard Winkelmann En principe, lorsqu’on maitrise une recette de macarons, et que l’on a passé comme moi des semaines avant de trouver celle qui nous convient….On n’en change pas ! Mais comme je suis un peu maso et que je n’ai pu résister au magnifique ouvrage de Pierre Hermé, « Macaron », je me suis essayée à la technique préconisée dans son livre, non sans angoisse, non sans avoir au préalable essuyé les remarques de ma tribu… »Maman, j’comprends pas, tu sais en faire des macarons, pourquoi tu veux changer de recette ?…. » Pourquoi ? Si comme moi vous avez enchainé consternation sur déception en tentant de réaliser modestement ces divines pâtisseries, si vous avez du coup glané tout le matériel nécessaire, de la sonde électronique aux poches à douille en passant par les colorants et les appareillages divers nécessaires à leur réalisation, n’hésitez pas une seconde, cet ouvrage est parfait. N’hésitez donc pas.
Faites votre pain comme au XVIII° siècle, de la théorie... On trouve aujourd'hui des livres pour faire son pain à la maison, que ce soit dans une machine ou à la main. Mais le premier livre de vulgarisation de la boulangerie, à destination des non professionnels, est sans aucun doute celui de Parmentier, publié en 1777. Oui,il s'agit bien d'Antoine Parmentier, celui de la pomme de terre. A l'époque, on faisait le pain principalement au levain. Autrefois les s s'écrivaient avec un caractère ressemblant au f. C'est donc la fabrication du pain au levain qu'explique Parmentier dans ce livre. En général, on achetait le blé en grains, et on allait le porter au meunier pour le faire moudre. Je vais passer rapidement sur les chapitres où il explique qu'il faut conserver le blé dans un grenier à l'abri des déjections d'animaux, des insectes et des souris; la farine dans des sacs plutôt qu'en vrac sur le plancher, et qu'il vaut mieux ne pas utiliser si elle a une odeur aigre. Le selA l'époque de Parmentier, on faisait le pain sans sel.
Faites votre pain comme au XVIII° siècle...de la théorie à la pratique : Les préparatifs. Dans un billet précédent, je vous ai parlé de la méthode de panification pratiquée au XVIII° siècle, décrite par Auguste Parmentier dans un livre en direction de ce qu'on appelle aujourd'hui le "grand public". Nous allons maintenant aborder l'aspect pratique des choses. Pour vous allécher un peu, je vous montre tout de suite le résultat que l'on obtient avec cette méthode. C'est un pain blanc de base. Un pain bien levé, à la mie couleur crème, avec des alvéoles irrégulières, c'est le signe d'une bonne fermentation. La croûte est épaisse, assurant la bonne conservation du pain, qui reste moelleux pendant plusieurs jours. même entamé, il mettra au moins cinq à six jours avant de rassir, si vous prenez soin de l'envelopper dans un torchon. Vous êtes suffisamment alléchés pour vous mettre au travail ? Pour cuire le pain il faut un four. Au XVIII° siècle, on ne connaissait que le four à bois. Vous allez me dire : mais je n'ai qu'un four électrique. Voici mon four équipé de sa pierre.
Faites votre pain comme au XVIII° siècle, le levain Votre levain est prêt ? Votre four est équipé de sa pierre ? Vous avez la farine ? Un endroit chaud pour faire lever la pâte ? Je sais, je suis en retard, pardonnez-moi. Voici mon levain prêt à entrer dans la pâte, posé sur son écrin de farine. Le levain Il vous faudra pour faire ce pain :500 g de farine de blé T 65De l'eau : 330 g en tout, levain comprisEt 7 grammes de sel fin de mer Des 500 g de farine, nous mettons de côté entre 1/4 et 1/3, destiné à rafraîchir le levain. Je vous conseille de respecter la quantité exacte totale d'eau pour cette première fois. La préparation du levain La veille au soir du jour où vous voulez faire le pain, avant d'aller vous coucher, rafraîchissez votre levain de la façon suivante :Vous avez 50 g de levain-chef, soit une grosse cuillerée. Ajoutez-lui la moitié de l'eau et la moitié de la farine réservées à part. Le matin au réveil, vous trouverez le levain bien gonflé, plein de bulles, et commençant à s'affaisser. Prochain billet : le pétrissage.
Faites votre pain comme au XVIII° siècle, le pétrissage Dans le billet précédent, ICI, nous avons rafraîchi le levain. Maintenant, quatre heures plus tard, il a triplé de volume. Nous allons commencer le pétrissage. A défaut de pétrin en bois, prenez un grand récipient. Au milieu de la farine déposez délicatement le levain qui a fermenté 4 heures au chaud et triplé de volume. Ajoutez environ un quart de l'eau sur le levain et commencez à mélanger à la main pour bien le diluer dans l'eau, comme dit Parmentier, "afin que l'eau s'empare de l'esprit qu'il contient". Une fois que le levain est bien dilué, que vous avez comme un lait de levain, commencez à amalgamer la farine qui est autour, par petites quantités à la fois. Vous pincez, vous mélangez, vous pressez, vous amalgamez, vous patouillez tout ça. Pour résumer ce que dit Parmentier : n'incorporez pas toute la farine et toute l'eau au départ, mais rajoutez-les au fur et à mesure. La pâte devient de plus en plus lisse et élastique. Dans le prochain billet : le façonnage et la seconde levée.
Faites votre pain comme au XVIII° siècle, le façonnage Ce billet est la suite d'une série dont l'épisode précédent est ICI. C'est l'aventure d'un pain au levain naturel fabriqué comme le décrit Parmentier sans son livre. Merci aux lecteurs qui me suivent. Ceux qui ont raté le tout début peuvent aller sur cette page. Au XVIII° siècle, à la fin du pétrissage on mettait la pâte à lever sur le pourtour du pétrin, et on préparait le levain pour la future fournée. Après cette première levée, on plaçait la pâte dans les corbeilles pour terminer son apprêt. La pâte a levé pendant 1 à 3 heures maximum dans un endroit bien chaud. On retourne la pâte sur le plan de travail légèrement fariné. Vous constaterez que la pâte est redevenue un peu molle, c'est normal, c'est le levain qui a travaillé. Je n'ai pas réussi à faire une vidéo correcte de cette étape (pas facile de contrôler à la fois l'appareil photo sur le trépied, et la pâte, ça ne va pas toujours comme je veux lorsque je manipule l'appareil avec les mains pleines de farine !) C'est beau, non ?
Faites votre pain comme au XVIII° siècle, la cuisson Nous arrivons au terme de la série de billets sur le pain au XVIII° siècle, d'après le livre écrit par Antoine Parmentier. Le début est ICI, je vous encourage à cliquer si vous voulez comprendre le fil et voir les références du livre qu'on peut télécharger sur Gallica, ICI. Dans le billet précédent, nous en étions à la seconde levée, appelée apprêt. Le pâton est douillettement installé dans sa corbeille. Il a fermenté pendant une heure environ, on va voir où il en est. A l'époque de Parmentier, on aurait allumé le four à bois à peu près en même temps que le début de la levée : il fallait plusieurs heures pour chauffer un four. Aujourd'hui, nos fours arrivent plus vite à la bonne température. Une des choses les plus délicates en boulangerie est d'apprécier la juste durée de l'apprêt. On ne peut pas donner un temps standard, car cela dépend d'une infinité de circonstances, et ce ne sera pas toujours la même d'une fournée à l'autre. Et comment sait-on que la pâte a assez levé ?
Glace au parmesan, nappage de vinaigre Balsamique caramélisé - A vos papilles ! A la recherche d'une autre façon de déguster du fromage, pour le repas de Noël notament, je suis tombée sur cette recette de Stéphane ... un petit régal d'originalité ! Pour une dizaine de quenelles de glace : La glace300ml de lait250 g de ricotta90g de Parmesan râpé1 yaourt nature2 càs de sirop d'érableSel et poivre Mélangez la ricotta et le parmesan, puis versez y le lait que vous aurez porté à frémissements. Si vous n'êtes pas adeptes du sucré salé, je vous conseille de ne pas ajouter le sirop d'érable (ou golden sirup, dans la recette originale), l'association avec le parmesan pourrait surprendre ;-) Le caramel au vinaigre balsamique50g de sucre1 peu d'eau10cl de vinaigre balsamiqueSel, poivre du moulin Mettez le sucre à caraméliser dans une casserole, jusqu'à ce qu'il soit d'une couleur... caramel :-PDélayez le caramel dans un peu d'eau, puis ajoutez hors du feu, le vinaigre balsamique. Je vous souhaite une très bonne année 2009 !
7 exercices de respiration pour apaiser ses tensions, retrouver force et concentration Respirer profondément a la vertu de provoquer un massage interne bénéfique dans une zone du corps souvent tendue : le ventre. Se concentrer sur la respiration est aussi un moyen très efficace pour chasser les idées noires et recentrer ses idées sur le présent. Voici 7 exercices respiratoires simples à appliquer et en toutes occasions : au réveil pour faciliter votre mise en route du matin, avant un entretien pour vous décontracter, pendant un trajet pour vous relaxer, avant un travail important pour augmenter votre concentration, avant votre coucher pour vous détendre… Exercice n° 1 : respiration gonflée À l’inspiration par les narines, gonflez votre ventre : c’est une image, le ventre se gonflant uniquement sous la pression du diaphragme, lui-même compressé par l’air qui entre dans les poumons. Exercice n° 2 : respiration complète Exercice n° 3 : respiration expirée Il s’agit d’une variante des exercices 1 et 2. Exercice n° 4 : respiration visuelle Exercice n° 5 : respiration marchée
7 minutes de renforcement musculaire... Au bureau ! Travailler devant un ordinateur ne signifie pas forcément renoncer à toute activité physique ! Ces derniers temps, vous n’avez pas eu une minute à vous ? Même pour dépenser quelques calories, évacuer le stress, vous vider la tête ou juste pour vous faire plaisir ? En attendant de retrouver un bon rythme, et même en complément d’une activité physique régulière, nous vous proposons des exercices de renforcement à effectuer, dans l’idéal, tous les matins à votre bureau, avant même la pause café ! C’est parti pour 7 minutes de renforcement ! Alternez chaque matin les 2 séries de 5 exercices ci-dessous. Première série 1/ Pour les jambes et les abdominaux :• Assis au fond du siège, le dos bien droit, les mains posées à côté de vos genoux.• Inspirez profondément et tendez vos jambes jointes parallèles au sol jusqu’à 10 secondes, en bloquant votre respiration. • Revenez à la position de départ en expirant longuement et renouvelez 10 fois. Deuxième série Cet article sur votre blog