Radio-identification Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une puce de radio-identification EPC utilisée par Wal-Mart La radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l’anglais radio frequency identification), est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais)[1]. Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collés ou incorporés dans des objets ou produits et même implantés dans des organismes vivants (animaux, corps humain[2]). Les radio-étiquettes comprennent une antenne associée à une puce électronique qui leur permet de recevoir et de répondre aux requêtes radio émises depuis l’émetteur-récepteur. Ces puces électroniques contiennent un identifiant et éventuellement des données complémentaires. Cette technologie d’identification peut être utilisée pour identifier : Principe[modifier | modifier le code]
RFID : quelle éthique derrière l'étiquette ? Cette technologie, encore au stade pilote, connaîtra bientôt sa première phase de déploiement à grande échelle dans la chaîne logistique. Elle a des incidences extrêmement prometteuses en termes de rapidité, de fiabilité et d'optimisation. Elle constitue un nouveau défi technique et un potentiel de croissance pour les professionnels des technologies de l'information. Toutefois, les craintes des consommateurs sur un possible détournement de son utilisation apparaissent légitimes. Michel Duperrier, organisateur de l'initiative de business networking sparklingPoint ( 28 novembre 2003 Le projet Auto-ID (Automatic Identification) est né en 1999 au Massachusetts Institute of Technology (MIT) auquel se sont joints de grands acteurs de l'industrie et de la distribution. Des étiquettes qui changent radicalement les processus d'approvisionnement et de mise en place Une taille qui permet leur association avec une multitude d'objets Lever les ambiguïtés
Le CNRFID - de l'innovation au déploiement de solutions RFID Parlez-moi de la RFID en bibliothèque! "L'abréviation RFID signifie « Radio Frequency IDentification », en français, « Identification par Radio Fréquence », en anglais. Cette technologie permet d’identifier un objet, d’en suivre le cheminement et d’en connaître les caractéristiques à distance grâce à une étiquette émettant des ondes radio, attachée ou incorporée à l’objet. La technologie RFID permet la lecture des étiquettes même sans ligne de vue directe et peut traverser de fines couches de matériaux (peinture, neige, etc.)"...Ici un article-réponse sur une question à propos de la RFID. Un schéma et premières explications ici : . Les prêts et retours sont immédiats ou presque, et "confidentiels" (d'après ce que j'ai lu dans cette synthèse : Pour la confidentialité, on repassera, évidemment. Le gain de temps est important (40% d'après la synthèse), puisque les banques de prêt sont transformées en automates.
Etiquettes RFID ou "intelligentes" et codes à barres I - Introduction De nos jours, l’identification et le suivi d’objets se développent de plus en plus. Au départ, les codes barres permettaient cette identification mais ne permettaient pas le stockage de certaines données. Voilà pourquoi les étiquettes RFID se sont développées. Les étiquettes RFID se rangent dans la catégorie des technologies d’identification automatique, au même titre que les codes à barres. II - Le code barre : ancêtre de l'étiquette RFID Les codes à barres (bar code) utilisent divers protocoles de codification ou de symbolisme, qui diffèrent en fonction des contraintes d'utilisation ou de normalisation. Voici les trois types de codes barres les plus utilisés : les codes barres unidimensionnels ou linéaires ; les codes barres linéaires empilés ; les codes barres à deux dimensions. On trouvera des informations détaillées sur les codes à barre sur le site Web GOMARO (en français), ou sur divers sites en anglais (Barcode Software Center, Azalea, etc.). 1. 2. 1. 2. 1. 1. 2. 3.
La RFID dans les bibliothèques à Paris : Quel bilan pour quelles idées ? La RFID à Paris, une mauvaise idée ? Retour d'expérience à la médiathèque Marguerite Yourcenar (XVè) En 2008, un système qui utilise des puces émettant des radiofréquences, la RFID, était installé dans trois bibliothèques parisiennes. Un article : « La RFID, une mauvaise idée pour Paris » avait alors mis en garde contre l’installation aveugle de cette technologie, aussi bien en terme de fonctionnalités, d’efficacité budgétaire, des éventuels effets sur la santé ou de son impact en matière d’environnement. Trois ans après, où en est on ? Voici un premier bilan La RFID s’est imposée cette dernière décennie dans les bibliothèques du monde entier. Ce nouveau système d’identification est présenté comme très différent du système à code-barres qui prévaut dans les bibliothèques. C’est dans ce contexte technologique enthousiasmant que la Ville de Paris décide de se lancer dans l’aventure avec un trio de bibliothèques en construction. - L’étiquette RFID couple le code-barres à l’antivol.
La RFID dans les bibliothèques : Une technologie qui pose des questions d'ordre sanitaire, éthique et écologique. Après Paris, un bibliothécaire de Bretagne critique à son tour l’usage de la RFID ! En 2008, un système qui utilise des puces émettant des radiofréquences, la RFID, était installé dans trois bibliothèques parisiennes. Un article : « La RFID, une mauvaise idée pour Paris » avait alors mis en garde contre l’installation aveugle de cette technologie, aussi bien en terme de fonctionnalités, d’efficacité budgétaire, des éventuels effets sur la santé ou de son impact en matière d’environnement. Trois ans après, un retour d'expérience à la médiathèque Marguerite Yourcenar (XVé) avait aboutit au texte La RFID dans les bibliothèques à Paris : Quel bilan pour quelles idées ? Aujourd’hui nous publions l’article d’un bibliothécaire d’une commune bretonne de dix mille habitants qui expérimente la technologie RFID depuis quatre ans. RFID & Médiathèque : Bilan à l'usage des élus et des professionnels du livre « La RFID est en passe de devenir un sujet majeur en matière de santé/environnement.
Minority Report, c’est pour demain La peur du terrorisme a poussé l'Union Européenne à miser à fond sur les nouvelles technologies. Depuis quelques années, les chercheurs financés par Bruxelles essaient de détecter les "comportements suspects" des individus via les réseaux de caméras de surveillance. Depuis quatre ans, les projets européens de recherche en matière de reconnaissance des comportements “suspects“ se multiplient. Ce concept de vidéosurveillance intelligente (VSI), qui rencontre un certain succès en France, a un seul objectif : prévenir les crimes et les attentats. L’objectif de la VSI est de “simplifier les procédures de recherche et de contrôle“, dans le sens où les opérateurs de vidéosurveillance ne sont pas capables de surveiller plus d’une dizaine d’écrans à la fois. Parmi les 17 partenaires d’INDECT, l’université des Sciences et Technologies de Cracovie (AGH) et l’université polytechnique de Gdańsk conçoivent des algorithmes permettant de détecter des “situations dangereuses“. “L’effet Big Brother”
Bornes automatiques, puces RFID, livres numériques … Bienvenue dans la bibliothèque du XXIème siècle ! Mardi 15 janvier 2013 2 15 /01 /Jan /2013 08:46 La RFID dans les bibliothèques : Une technologie plus rapide, plus pratique mais pas moins contraignante. Par le colectif "Livre de papier" Après l’installation de la RFID et des bornes de prêt automatique dans les bibliothèques parisiennes, un argumentaire critique contre cette technologie a été diffusé à l’initiative du collectif “Livre de papier”, composé de lecteurs, bibliothécaires, libraires, traducteurs ou éditeurs. Un article qui, bien que sous un angle différent, est à mettre en regard du bilan fait dans les bibliothèques aussi bien à Paris (lire ici) qu'en Bretagne (lire là). Pour continuer le débat, voici donc le texte dans son intégralité. "L’automatisation du prêt franchit une nouvelle étape avec l’instauration de bornes de prêt automatique, dans les bibliothèques parisiennes. " Avec cet e-book, je vous propose un monde parfait ! Le Web et le futur livre numérique permettraient d’accéder à tout !? " ....... Lire aussi