Accueil - Ma Seconde Chance MENE1306159C L'abandon scolaire est un facteur important d'exclusion sociale et professionnelle. Chaque année, au niveau national, selon la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP), 140 000 jeunes en moyenne quittent le système éducatif sans avoir obtenu un diplôme classé au niveau IV ou V de la nomenclature interministérielle. Conformément au souhait exprimé par le Président de la République, il convient de réduire ce nombre de moitié avant la fin du quinquennat. Cet objectif correspond aux engagements pris par la France au niveau européen dans le cadre de la stratégie « Europe 2020 » (Références aux communications européennes du 31 janvier 2011). Ainsi, il faut agir en amont, afin d'éviter les ruptures et les situations d'échec qui peuvent être propices au décrochage scolaire. 1- La mise en place de réseaux pour mieux coordonner l'ensemble des solutions Éducation nationale au sein des plateformes de suivi et d'appui aux décrocheurs 2- Les principes des réseaux FOQUALE
Les videos du Café 8e Forum des enseignants Innovants : Comment faire briller ses élèves ? Paris 4-5 décembre 2015, groupe 4 Télécharger la video (13 Mo - format mp4) Faut-il avoir peur des Maisons des Lycéens ? Kalilou Sylla, Président de la Fédération des MDL - 02/11/2015 Télécharger la video (13 Mo - format mp4) Manifestation contre la réforme du collège : "Les élèves ont besoin d'être cadrés" - Florence Carnus Professeure de lettres classiques à Pessac (33) - 10/10/2015 Télécharger la video (7 Mo - format mp4) Un prix littéraire des lycéens, c'est important ? Télécharger la video (17 Mo - format mp4) Comment aider nos enfants à réussir ? Télécharger la video (9 Mo - format mp4) Mixité sociale : quelles préconisations ? Télécharger la video (27 Mo - format mp4) Des nouveaux programmes pour enseigner l'histoire - Olivier Quinet, professeur au collège de Montpon-Ménesterol (24) - 3 juin 2015 Télécharger la video (10 Mo - format mp4) Où en est le pilotage de l'Éducation prioritaire ? Réussite éducative ? J. X. M. J.
Remédiation du décrochage scolaire - Questions-Réponses Pourquoi met-on en œuvre un traitement informatique sur le décrochage ? Un système d'information partagé entre les principaux acteurs de la formation initiale et de l'insertion sociale et professionnelle des jeunes est en œuvre depuis octobre 2010, pour aider les plates-formes locales de suivi et d'appui aux décrocheurs. Celles-ci reçoivent les informations strictement utiles aux actions d'accompagnement de ces jeunes vers l'emploi ou une reprise de formation, en liaison avec les missions locales et les établissements scolaires. Quels sont les jeunes concernés ? Les jeunes d'au moins 16 ans sortant sans diplôme du système de formation initiale, qui ne sont donc plus inscrits dans un cycle de formation et n'ont obtenu ni le baccalauréat, ni un diplôme à finalité professionnelle de niveau V ou IV. Quels sont les établissements concernés ? Le traitement informatique est-il conforme à la loi Informatique et libertés ? Texte de la délibération Peuvent-ils s'y opposer ? Absolument pas.
Quelle école pour demain ? | ARTE Future Les innovations pédagogiques Depuis quelques années, l’école a mis en place plusieurs innovations pédagogiques qui valorisent davantage la place et le rôle de l’élève. Tout d’abord le conseil d’élèves. De même au lycée, il existe désormais des modules d’une ou deux heures consacrés à l’accompagnement personnalisé (AP) des élèves. Les innovations technologiques L’école de demain est aussi une école qui a commencé à se doter de nouveaux outils techniques. L’école de demain sera-t-elle plus juste ? Chaque année, 130 000 élèves sont en situation de décrochage scolaire et 40 % des étudiants quittent la fac sans diplômes. Paroles de profs Marc*, professeur dans un collège des Hauts-de-Seine « L’école de demain devrait être en cohérence avec le monde et enseigner des savoir-faire » Le plus critiqué aujourd’hui est l’uniformisation de l’école alors que les élèves sont tous différents. Samuel*, professeur au lycée français du Caire « L’école de l’avenir disposera d’équipements de pointe »
Décrochage scolaire : paroles d’experts Nathalie Mons et Bernard Gerde ont répondu à nos questions, à l'occasion d'une rencontre-débat sur le décrochage scolaire, organisée par le ministère de l'Education nationale lors du Salon de l'Education. Le ministère de l'Education nationale a organisé une rencontre-débat intitulée "Décrochage scolaire : aucune fatalité !" lors du Salon de l'Education 2012. A l'occasion de cette rencontre-débat, nous avons posé quelques questions à deux des intervenants, Bernard Gerde, enseignant, cofondateur de la Bouture et du Clept, collège, lycée égalitaire pour tous, et Nathalie Mons, professeur de sociologie, membre du Comité de pilotage de la concertation sur la refondation de l'école. "Je crois que le décrochage n'est pas une fatalité", pose d'emblée Bernard Gerde, qui précise que "l'échec scolaire et le décrochage ne se superposent pas". Pour lui, le décrocheur est précieux, car il est "un analyseur des insuffisances de l'offre scolaire". Sandra Ktourza
Décrochage scolaire : Peillon présente son plan de lutte Vincent Peillon, ministre de l'Education nationale, a présenté mardi matin sur RTL les principales mesures de son plan de lutte contre le décrochage scolaire. Actuellement, sur les 140 000 décrocheurs identifiés, "nous sommes capables d'en raccrocher 9 500", a-t-il indiqué. L'objectif du ministre pour 2013 est de parvenir à 20 000 jeunes "raccrochés". Des décrocheurs clairement identifiés "Le gouvernement précédent — je lui rends hommage — a mis en place des plates-formes qui permettent d'identifier les décrocheurs", a déclaré Vincent Peillon. Ce sont "toujours les mêmes, ceux qui viennent déjà de milieux difficiles, se retrouvent sans formation dans un pays où le diplôme fait l'emploi", a-t-il déploré. L'Onisep proposera également aux jeunes décrocheurs d'accéder, grâce à leurs mobiles, à "une carte des offres de formation géolocalisées", a-t-il indiqué. Prévenir plutôt que guérir