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Santé : Monsanto en Argentine, un bilan accablant

Santé : Monsanto en Argentine, un bilan accablant
Novopress a traduit en français une enquête décapante de Micheal Warren et Natacha Pisarenko (Associated Press) datant du 20 octobre dernier et portant sur les effets secondaires dévastateurs des produits agro-chimiques de la firme Monsanto, multinationale spécialisée dans les pesticides et semences génétiquement modifiées. Source originale et nombreuses photos : www.concordmonitor.comPhoto ci-dessus : le 31 mars 2013, Camila Veron, 2 ans, née avec de multiples malformations et très malade, se tient devant la maison de sa famille à Avia Terai, dans la province de Chaco, en Argentine. (AP Photo/Natacha Pisarenko) L’ouvrier agricole Fabian Tomasi n’avait pas l’habitude d’utiliser des vêtements de protection lorsqu’il manipulait des pesticides sous forme pulvérulente. Dans la province de Santa Fe, cœur de l’industrie du soja, le nombre moyen de cancers est deux fois supérieur à la moyenne nationale. Related:  MONSANTO / OGM

Quand les investisseurs s’estiment « expropriés » par les réglementations environnementales et sociales - Loi néolibérale Un moratoire interdit tel type d’exploitation pétrolière ou gazière, comme les gaz de schiste ? Qu’importe ! Demain, si l’accord économique en discussion entre l’Europe et le Canada est signé, des multinationales ou leurs filiales installées au Canada pourront attaquer en justice la France et obtenir d’importantes compensations financières. Car grâce au droit commercial sur la « protection des investissements », un investisseur peut réclamer des indemnités même s’il n’a pas investi un centime. Des litiges arbitrés par des tribunaux privés… 3,7 milliards de dollars. La France, qui a interdit cette même fracturation hydraulique en juin 2011 [1], risque-t-elle aussi d’être poursuivie par des sociétés pétrolières ? Quand les investisseurs inventent « l’expropriation indirecte » L’accord bilatéral actuellement négocié entre l’UE et le Canada contiendrait une clause dite d’ « expropriation indirecte ». Moratoire « injuste et inéquitable » sur les gaz de schiste Et quels sont ces tribunaux ?

Ne m'obligez pas à voler Un soja OGM « sain » : la nouvelle idée de Monsanto et DuPont Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Les OGM peuvent-ils être bons pour la santé ? Le débat est relancé alors que le groupe américain d'agrochimie Pioneer, filiale du géant DuPont, est en train de lancer, sur le marché américain et peut-être bientôt en Europe, une graine de soja génétiquement modifiée et « saine », de marque Plenish. Son rival, Monsanto, développe de son côté un produit similaire, Vistive Gold. « On travaille depuis dix ans sur le Plenish. Il s'agit de la première huile de soja qui présente des bénéfices sanitaires pour le consommateur : elle est en effet riche en acides oléiques, ce qui en fait un produit qui vaut presque l'huile d'olive, assure Michael Keller, porte-parole de DuPont Pioneer. L'annonce tombe à pic alors que l'Agence des produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA) américaine veut bannir les acides gras trans de l'alimentation des Américains. Or l'huile de soja contient des acides gras trans. « Ce soja pourrait se voir autorisé en Europe.

Fini la malbouffe pour les Boliviens : McDonald ferme tous ses restaurants en Bolivie La Bolivie est devenue la première nation à se libérer de la malbouffe de McDonald, qui a lutté pendant plus d’une décennie pour conserver son icône «rouge». Et cette victoire de la Bolivie a encore fait la une des journaux. Après 14 ans de malbouffe dans le pays et en dépit des nombreuses campagnes de promotion, McDonald a été contraint de fermer en 2002, ses 8 restaurants boliviens dans les principales villes de La Paz, Cochabamba et Santa Cruz de la Sierra. McDonald a servi ses derniers hamburgers en Bolivie un samedi à minuit, après avoir annoncé un plan de restructuration global dans lequel il allait fermer ses portes dans sept autres pays à faibles marges bénéficiaires. L’échec de McDonald en Bolivie a eu un impact profond qui a donné lieu à un documentaire intitulé “en Bolivie «Por que quebro McDonald» ou «Pourquoi McDonald a fait faillite en Bolivie». Cette histoire a également attiré l’attention du monde entier vers la restauration rapide en Amérique latine.

La Grande Bibliothèque Numérique en ligne… | Cette sitographie mise à jour régulièrement est composée de trois parties : 1) des livres, BD, encyclopédie, ouvrages scolaires, plans, cartes, revues, etc. 2) Poésie, pièces de Théâtre et dans notre fonds documentaire, 3) des livres à écouter sur tous supports (Web, tablettes…) Des livres que tu peux télécharger, lire, écouter, échanger, utiliser pour tout ce qu'il te plaira. Tu trouveras des livres utiles, au programme des classes d'école, de collège et de lycée. Et pour ceux qui ont des difficultés avec la lecture : Des livres, BD, encyclopédie, ouvrages scolaires, plans, cartes, revues… La Bibliothèque Nationale de France vous propose de découvrir sur son portail Gallica ses collections patrimoniales numérisées, ainsi que celles des bibliothèques partenaires. Le Projet Gutenberg offre plus de 36000 livres électroniques gratuits à télécharger sur votre PC, Kindle, Android, iOS ou tout autre périphérique mobile.

Monsanto, PepsiCo, Coca-Cola et d’autres dépensent 45 millions de $ contre l’étiquetage des OGM Mardi 6 novembre, plus de 18 millions de Californiens inscrits sur les listes électorales (un chiffre record pour l’Etat) éliront un président, des membres du Congrès et des représentants locaux, mais doivent aussi approuver ou non onze initiatives populaires ou propositions, qui seront inscrites en amendement à la Constitution si elles obtiennent une majorité des voix. Le plus disputé de ces projets de loi est la proposition 37, qui imposerait un étiquetage obligatoire à tous les produits comestibles contenant des ingrédients modifiés génétiquement (genetically engineered, dans le texte), et interdirait leur commercialisation sous l’appellation de produits "naturels ". Environ 90 % du maïs et du soja américains, très présents sous formes diverses dans la grande distribution, comportent des gènes altérés – souvent pour leur permettre de tolérer l’herbicide Roundup de Monsanto. Sources : Le Monde / LATimes / SDTribune / SFChronicle / Le Journal du Siècle Like this: J'aime chargement…

Semences : « La Commission européenne balaye 10.000 ans «En réduisant les droits des paysans à ressemer leurs propres semences, en durcissant les conditions de reconnaissance des variétés par des petits entrepreneurs indépendants, en limitant la circulation et l’échange de graines entre associations et entre planteurs, la Commission européenne balaye 10000 ans d’histoire agricole», a affirmé l’eurodéputé José Bové, cité dans un communiqué. La Commission a présenté lundi des propositions qui permettront selon elle de «simplifier» le régime d’enregistrement des semences. Elle balaie les critiques en assurant que les petites entreprises et certaines semences de niche sont exemptées des obligations coûteuses de tests et d’enregistrement. Mais les petits acteurs du secteur, notamment l’association Kokopelli, s’insurgent contre des propositions qu’ils jugent taillées sur mesure pour les poids lourds de l’industrie semencière (Monsanto, Pionner, Sygenta et Dupont).

Et si on demandait aux Noirs ce qu’ils en pensent ? L’immense majorité des Américains noirs ou hispaniques se fichent de l’appellation qui doit être utilisée pour désigner leur groupe ethnique ou racial, selon une étude conduite par l’institut Gallup, sur les droits des minorités et les sondages d’opinion. A la question « certaines personnes estiment que le terme “African-American” devrait être privilégié à celui de “Black”, qu’en pensez-vous ? » : 65% des Noirs interrogés ont répondu que cela leur était égal ; ils sont 17% à préférer le terme « Black » ; et 17% celui de « African-American ». Pourcentage de Noirs américains préférant être désignés sous le terme « Black » ou « African-American » (Capture) Même genre de question aux Hispaniques : « Certaines personnes estiment que le terme de “Latino” devrait être préféré à celui d’“Hispanic”, qu’en pensez-vous ? 70% des personnes interrogées ont répondu que cela leur était égal ; 19% préfèrent « Hispanic » ; et seulement 10% « Latino ». Le concept sociologique de race aux USA

USA: la Cour suprême se range une nouvelle fois du côté de Monsanto La Cour Suprême américaine à Washington le 6 novembre 2013© AFP/Archives Saul Loeb Washington (AFP) – La Cour suprême des États Unis a à nouveau donné raison à Monsanto en refusant de se saisir de la plainte d’un groupement de producteurs et d’agriculteurs bio, mercredi. Ce groupement voulait empêcher les poursuites du géant de l’agronomie en cas de contamination par erreur de leurs champs par des cultures transgéniques. La haute Cour, qui s’était déjà rangée du côté de Monsanto en mai 2013, a rejeté, sans commentaire, la requête de dizaines de fermiers pratiquant la culture bio et conventionnelle ainsi que des producteurs de semences organiques, qui réclamaient que le groupe américain s’engage à ne pas poursuivre les propriétaires des cultures de soja, coton, maïs, qui auraient été génétiquement modifiées par les vents ou des pluies. Le puissant Monsanto arguait que donner raison à ces fermiers permettrait à n’importe qui de violer intentionnellement la réglementation de ses brevets.

Le cri de la tomate - n°1 - Jean-Luc Porquet Cette chronique a été publiée dans le numéro 11 de la version papier d’Article11 (toujours en kiosques, soit dit en passant) Dans « l’appel des 451 » lancé par un collectif de personnes travaillant dans différents secteurs du livre, et désireux de contrer (entre autres) l’arrivée du « livre numérique », on tombe sur cette distrayante anecdote : « Un ami paysan nous racontait : “Avant il y avait la tomate. Puis, ils ont fabriqué la tomate de merde. Et au lieu de l’appeler ‘tomate de merde’, ils l’ont appelée ‘tomate’ ; tandis que la tomate, celle qui avait un goût de tomate et qui était cultivée en tant que telle, est devenue ‘tomate bio’. A partir de là, c’était foutu.” » Pour qu’elles ne souffrent plus du vent, du gel, des intermittences du soleil, et qu’elles poussent en toute saison, on les a mises sous serre, et ce sont désormais des ordinateurs qui règlent leur météo. Les consommateurs ont fini par s’en apercevoir. On imagine le drame des inventeurs de tomates high-tech.

Photographier en basse lumière Bienvenue sur Apprendre.Photo !Si vous êtes nouveau ici, vous voudrez sans doute lire mon guide qui répond aux 5 problèmes courants des débutants : Cliquez ici pour télécharger le guide gratuitement !Merci de votre visite, et à bientôt sur Apprendre.Photo ! Un même type de question revient souvent dans les dizaines de mails que je reçois chaque jour : la gestion des situations de photographie en intérieur (en basse lumière quoi). Si vous maîtrisez déjà les bases de la photo (notamment le triangle de l’exposition), ainsi que les modes semi-automatiques, vous devriez pouvoir vous en sortir dans ces situations. Je vais donc vous expliquer quels sont les outils à votre disposition pour gérer ça, ce qui vous permettra d’améliorer vos images, mais aussi de savoir quand il ne sera pas possible de prendre une photo satisfaisante (car non, on ne peut pas faire de photo dans le noir total 😉 ). Les leviers techniques pour photographier en intérieur L’ouverture Passons à la deuxième solution.

Le droit de planter et cultiver librement bientôt interdit ? Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi. Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences. Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal. Photo : source Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres. Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Rendre les paysans captifs « Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. Yves Manguy, agriculteur à la retraite, connaît bien les semences de ferme, ces graines récoltées à partir de variétés sélectionnées par l’industrie semencière, mais multipliées par l’agriculteur lui-même par souci d’économie et d’indépendance. Pourquoi cette redevance ? Sophie Chapelle

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