HISTOIRE - La Baguette magique du 7 juin 2012, Histoires lues : RTBF Vidéo En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts et réaliser des statistiques de visites. En savoir plus J’accepte et continue Il était une fois...Contes et légendes hongrois Au pays du conte Acheter / Emprunter Pour réaliser un panier d’achat ou de prêt il est impératif d’être inscrit (onglet « inscrivez-vous »). Acheter Les films édités en DVD ou en vidéo VHS Pal sont vendus pour un usage privé ou institutionnel. Usage privé : droit de représentation dans le cercle de famille uniquement.Usage institutionnel : droit de visionnements individuels ou en groupe dans les locaux de l’organisme acquéreur (établissements d’enseignement, bibliothèques, associations, entreprises …). - Les projections avec programmation et publicité extérieure, même sans participation aux frais, directe ou indirecte, sont soumises à des conditions particulières : nous contacter.- La présentation de films pour des expositions, festivals, projections payantes… est soumise à des conditions particulières : nous contacter. Emprunter Prêts réservés aux institutions et professionnels de l’image pour visionnements individuels ou en groupe restreint. Pour toutes projections non commerciales : nous contacter.
d finition et th ories des contes de f e Le mythe : Le Petit Robert : « Récit fabuleux, transmis par la tradition, qui met en scène des êtres incarnant sous une forme symbolique des forces de la nature, des aspects de la condition humaine ». Pour certains auteurs, mythe et conte ne se distinguent pas : c'est le cas des frères Grimm pour lesquels il existe « une identité originelle » entre mythes et contes ou encore de Propp qui, dans sa Morphologie du conte, préfère parler de « conte mythique » plutôt que de conte merveilleux ; il précise : « le conte merveilleux, dans sa base morphologique, est un mythe ». Mais il existe en fait des différences importantes : D'abord, la plupart des héros de contes, contrairement aux héros mythiques (Hercule, Thésée, Romulus...) n'ont pas de nom propre mais des surnoms empruntés par exemple à des objets (Cendrillon, le Petit Chaperon Rouge...). La légende : « Récit populaire traditionnel, plus ou moins fabuleux, merveilleux » (Le Petit Robert, 1993). L'épopée : La fable : DURAND Jean Baptiste
Morphologie du conte Morphologie du conte est un essai de narratologie de Vladimir Propp paru en 1928 à Léningrad. Présentation[modifier | modifier le code] Le livre fut à peu près ignoré en Occident jusqu'à ses premières traductions en 1958 (anglaise) et 1965 (française). Ses premières recherches purement linguistiques s'étant révélées peu fructueuses, Propp eut l'idée d'étendre l'approche du formalisme russe à l'étude de la structure narrative des contes merveilleux[1]. Surtout intéressé par les problèmes de description et de classification des contes, Propp s'attache à en dresser la morphologie, c'est-à-dire « l'étude des formes et l'établissement des lois qui (en) régissent la structure »[2]. À cette fin, il examine les régularités qui apparaissent dans une centaine de contes russes et entreprend de dégager les éléments de contenu abstrait qui leur sont communs. À la différence d'autres tentatives de formalisation du récit, Propp ne retient comme substrat d'analyse que des unités de sens.
Centre de psychothérapie analytique et systémique : Paris - Qui êtes-vous? Une femme était dans le coma et se mourrait. Elle eût soudain l'impression qu'on l'amenait au ciel et qu'elle se trouvait au lieu du jugement dernier. Qui êtes-vous? Je suis la femme du maire, répondit-elle. Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la femme, mais bien qui vous êtes. Je suis la mère de quatre enfants. Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la mère, mais bien qui vous êtes. Je suis maîtresse d'école. Je ne vous ai pas demandé qu'elle est votre profession, mais bien qui vous êtes. Et cela continua ainsi et, quelque fût sa réplique, elle ne semblait pas fournir de réponse satisfaisante à la question. Qui êtes-vous? Je suis chrétienne. Je ne vous ai pas demandé votre religion, j'ai demandé qui êtes-vous. Je suis celle qui est allée tous les jours à l'église, et qui a toujours aidé les pauvres et les miséreux. J'ai demandé non ce que vous avez fait, mais qui vous êtes. Elle a manifestement échoué à l'examen, puisqu'on l'a renvoyée sur terre. Et cela fit toute la différence.