Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce. Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Et 77% des Français affirment ne pas pouvoir se passer de l'achat traditionnel en magasin, d'après un sondage Ifop. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group. Théâtraliser le magasin Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Rien de plus énervant que de devoir attendre 20 minutes devant une caisse bondée pour payer un bête T-shirt.
Capital : Guerre des prix : révélation sur la face cachée des étiquettes 29-09-2024- M6+ Afficher de la publicité personnalisée et en mesurer la performance Personnaliser l'affichage de vos contenus Mesurer l'audience de notre service Votre choix s'applique sur M6+ et sur ce navigateur et/ou terminal uniquement. Vous pouvez refuser toutes ces exploitations en cliquant sur le bouton « Continuer sans accepter » ou partie de ces exploitations en cliquant sur le bouton « Je paramètre ». Vous pourrez modifier vos préférences à tout moment en cliquant sur le lien « Gestion des Cookies » figurant sur notre service. Pour en savoir plus consultez notre politique de confidentialité.
Le premier magasin new-yorkais d'Amazon n'était qu'un immeuble de bureaux Ce qui aurait pu être l'un des plus beaux contes marketing de ce Noël 2014, n'est plus qu'un simple soufflé médiatique aujourd'hui, discrètement, retombé. Le 9 octobre dernier, citant des sources "proches du dossier" le Wall Street Journal (WSJ) affirmait, que 20 ans après sa naissance, Amazon s'apprêtait à ouvrir un magasin physique pour les fêtes de fin d'année (la sacro-sainte "shopping season" aux Etats-Unis) à New York. Un magasin situé sur la 34ème rue, en plein coeur de Manhattan, de manière tout à la fois symbolique et stratégique, tout près de l'Empire State Building et à quelques encablures de Macy's LE grand magasin new-yorkais par excellence. Le 20 novembre le Seattle Times confirme qu'Amazon a bien loué pour une durée de 17 ans un immeuble (de 44 000 m2) à deux pas de l'Empire State Building, mais précise en se basant sur des propos d'une porte-parole d'Amazon, Kelly Cheeseman, que le groupe Internet n'a aucune intention d'ouvrir un magasin à cette adresse.
Le Co-Branding : catalyseur de succès ? Souvenez-vous : Burger King et Eurostar, H&M et Lanvin, Genius et Spotify, ou encore Mercedes et Swatch. Leur point commun ? Aucun à première vue. Décryptage d'une technique qui fait de plus en plus fureur dans l'Hexagone. Pourquoi opter pour le Co-Branding ? Lanvin et H&M, le meilleur des deux mondes ! Le co-branding est l'associationde deux ou plusieurs marquesautour d'une stratégie de communication et de commercialisation d'un produit ou service qu'elles cosignent. Quelles sont les clés d'un Co-Branding réussi ? Comme vu plus haut, le co-branding peut s'avérer être un moyen efficace pour atteindre ses objectifs en termes de vente et de marketing. Définissez vos objectifs Avant de vous lancer dans toute opération de co-branding, soyez clair sur les bénéfices attendus et faites le point sur ce que vous avez en votre possession pour mener à bien votre future collaboration. Identifiez votre partenaire idéal Les opérations de co-branding se suivent... mais ne se ressemblent pas !
Tribune | La vente pour les non-vendeurs : apprenez à décrypter votre client Vous débutez dans la vente, vous avez une fonction vous menant à régulièrement adopter une posture de vendeur… Mais vous avez l’impression de ne pas maîtriser complètement les ficelles du métier de vendeur. Les techniques de vente ont évolué : le vendeur doit savoir se montrer assez bon psychologue pour pouvoir orienter son client dans le processus de vente. Apprenez à ne plus subir la vente, mais à la diriger avec assurance et efficacité. Même si vous n’avez pas le sentiment d’avoir la fibre commerciale, vous pouvez mener un entretien de vente avec assurance et conviction. Il vous suffit de redéfinir clairement votre stratégie de vente sur des techniques qui ont démontré leur efficacité. Le principe de la vente est de comprendre le client et de s’y adapter. Les comportements dans la vente En situation de vente, plusieurs comportements sont possibles, en tant qu’acheteur, mais aussi en tant que vendeur. Les arrangeants sont un peu plus souples, de manière générale. - le langage visuel
De l’énorme influence du smartphone sur les... On connaissait l’effet showrooming, voici la mesure de l’influence même de l’utilisation d’un smartphone en magasin. Selon les résultats d’une étude Tradedoubler menée dans neuf pays en Europe, 20% des personnes interrogées finissent par acheter le produit consulter depuis un smartphone dans un autre magasin. Tandis que 22% abandonne l’achat en magasin pour privilégier l’acte en ligne. Finalement, ce ne sont que 19% des personnes qui consultent sur smartphone en magasin qui y mènent leur transaction jusqu’au paiement. Pour Pascal Gayat, directeur France de Tradedoubler: "Notre étude démontre l’influence considérable du smartphone sur le comportement d’achat en magasin. Plus de la moitié des consommateurs changent d’avis après s’être renseignés sur un produit via leur smartphone. Sur Magasin LSA, contactez tous les prestataires e-commerce qui développeront votre magasin sur internet
Recrutement de commerciaux : Faut-il être extraverti pour être un bon commercial ? Recrutement de commerciaux : Faut-il être extraverti pour être un bon commercial ? Le recrutement de commerciaux n’est pas une chose facile. Le recrutement des meilleurs commerciaux, encore moins… J’ai une question pour ceux qui recrutent encore au feeling : Vaut-il mieux recruter des gens introvertis ou extravertis ? Alors ? La réponse est ni l’un ni l’autre. Daniel PINK, dans son dernier (excellent) ouvrage, présente le résultat d’études à ce sujet. Daniel Pink commence par rappeler que les individus chez qui l’extraversion est forte, sont décrits comme sociables, affirmés, vifs. Comme pour faire bouger les autres il faut entrer en contact avec eux, les extravertis sont, par définition, plus à l’aise dans les situations sociales où les introvertis le seraient beaucoup moins. Les extravertis n’hésitent pas à dire ce qu’ils veulent et cette affirmation de soi est utile lorsqu’on doit convaincre un prospect. Eh bing ! Mais alors, est-ce que cela veut-il dire ? Voici un résumé de cette étude :
Guerre des supérettes en centre-ville Alors que les ventes des hypermarchés de périphérie stagnent, les distributeurs alimentaires s'affrontent au coeur des zones urbaines. La bataille y est plus féroce et plus complexe. Débarqués en mars dans le XVe arrondissement de Paris, les Mousquetaires veulent devenir la référence du quartier Balard. Leur arme: Intermarché Express, une nouvelle enseigne calibrée pour le centre-ville. Ils ont inauguré une supérette de 875 m2, installée à la place d'un ancien garage. La zone est pourtant déjà richement pourvue en petits commerces alimentaires. Un foyer typique de l'intensification de la guérilla que se livrent la quasi-totalité des distributeurs en centre-ville. 200 Intermarché Express d'ici à 2018 «Compte tenu des évolutions démographiques (vieillissement de la population, manque de temps, fragmentation des courses, baisse de la taille des ménages), ce format retrouve l'intérêt des grands distributeurs, analyse Jacques Dupré à l'IRI. Marks & Spencer Food à l'offensive à Paris
La répartition géographique de la grande distribution en France et à Paris L’implantation des enseignes la grande distribution n’est jamais anodine. C’est ce que révèle cette analyse de la carte de la grande distribution en France, constituée à partir des listes de magasins disponibles sur les sites des enseignes de grande distribution. Une situation d’autant plus particulière à Paris, où le groupe Casino est en situation de quasi monopole dans certains quartiers. Distribution : ces cartes qui prouvent qu’il y a des monopoles La répartition territoriale des enseignes est fortement liée au revenu : l’exemple parisien. Toutes les enseignes n’ont pas la même clientèle cible, bien entendu. La division Franprix/Monoprix, toutes deux du groupe Casino, à Paris est représentative de cette répartition des enseignes. Nombre de magasins Monoprix pour 10.000 habitants par arrondissement à Paris (cliquez sur les codes postaux dans la légende pour faire apparaître ou disparaître les données de l’histogramme) Nombre de magasins Franprix pour 10.000 habitants par arrondissement
But, Conforama, Ikea :comment la bande des trois réagit à la crise du marché du meuble Les clients se font un peu prier pour venir dans les magasins de meubles ? Les trois leaders du secteur, But, Conforama, Ikea, se rapprochent d'eux avec des formats plus petits et en développant les services Web. Encore une exception culturelle : en France, plus qu'ailleurs, la crise de l'immobilier a un impact direct sur la vente de meubles. Dans ces conditions, comment les as de la commode, Ikea, Conforama et But, se débrouillent-ils pour attirer le chaland ? La première initiative des enseignes pour résister à la crise ? But a accéléré le déploiement de son concept urbain But City et de But Cosy à proximité des petites villes. Pour conserver les grâces de la clientèle, la deuxième initiative de nos rivaux a été de revoir l'offre. Mais qu'on le veuille ou non, en période de vaches maigres, le meilleur argument reste le prix. Enfin, les enseignes s'efforcent de rendre l'expérience d'achat plus agréable. Jean Botella
Le terminal mobile, l'allié du commercial en rayon Mallette de travail ouverte sur le sol, PC portable posé sur une palette, catalogue papier coincé sous le bras... Pas facile pour un commercial de travailler dans ces conditions! C'est pourtant souvent le cas, car le chef de rayon a de moins en moins de temps pour le recevoir dans ses bureaux. Du coup, le chef de secteur doit se contenter d'un quart d'heure d'entretien, dans le rayon, en se débrouillant comme il peut pour sa présentation. Pour pallier ce désagrément, les industriels de la grande conso ont alors décidé, lors du renouvellement de leur parc informatique, d'équiper leur force de vente d'outils nomades: smartphone, tablette, PC hybride. Les avantages sont nombreux: plus petits, plus légers, plus performants et rapides, plus autonomes (les batteries peuvent tenir jusqu'à 18 heures pour certains appareils, quand le maximum pour un PC portable est d'environ trois heures...), plus connectés, ludiques et modernes...
High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! «Souvenez-vous, quand les pure players sont arrivés, beaucoup annonçaient la mort rapide des magasins classiques, rappelle Frédérique Giavarini, directrice de la stratégie à la Fnac. Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique.
Sept innovations « waouh » qui arrivent en magasin - Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub 1 – Chez Audi, des casques de réalité virtuelle pour essayer les voitures Le mois dernier, lors du salon automobile de Détroit, Audi a annoncé qu’il allait déployer d’ici la fin de l’année un casque de réalité virtuelle dans certaines de ses concessions. L’objectif ? Permettre au client de visualiser, de la façon la plus immersive et la plus détaillée possible, la voiture qu’il s’apprête à commander. Grâce à ce système dénommé « Audi Virtual Reality experience », le conducteur peut se mettre virtuellement au volant de sa future Audi et observer toutes les options (couleur, équipements, intérieur cuir…) qu’il a choisies. Cette expérience de réalité virtuelle est destinée « aux marchés à forte croissance », précise la marque (Asie, Amérique du Nord). Plus d’infos : Les numériques 1 bis – Thomas Cook propose de tester les voyages avant de les acheter Thomas Cook est aussi en train d’installer des casques de réalité virtuelle dans ses points de vente. Thomas Cook Que propose ce miroir ?
Le Drive : Un modèle en questions 1. Jusqu'où ira la part de marché ? 2,9 % de marché en décembre 100 % de croissance annuelle 5 millions de ménages utilisateurs (soit 15 %) à fin 2012 2 000 drives (points de retrait compris) à fin 2012 Sources : LSA, Kantar Une seule certitude : foncer. La course à l'armement Qu'on en juge. « En novembre, le drive a conquis 900 000 ménages de plus, indique Frédéric Valette, directeur chez Kantar Worldpanel. Une véritable course à l'armement... 2. 200 000€ d'investissement moyen pour un drive accolé un peu ambitieux 2 M € pour bâtir un drive solo 10 % de drives solo dans le parc global de drives Source : LSA Drive solo, planté à proximité de la concurrence, destiné à grappiller de la part de marché, ou accolé, installé à côté de son propre magasin, pour faire en sorte de ne pas en perdre... Domination des accolés Conséquence somme toute logique : le premier modèle domine largement. Et les autres ? 3. Elles sont au nombre de trois, ni plus ni moins. Nécessité de l'omnicanal Son intérêt, alors ?