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Pourquoi le bien-être au travail est-il autant générateur de profits ? par Philippe Rodet

Pourquoi le bien-être au travail est-il autant générateur de profits ? par Philippe Rodet

La motivation des salariés, un facteur de réussite des entreprises aujourd'hui. A une époque où le travail a changé de sens et se réorganise, où la compétition est devenue mondiale, la motivation du personnel à tous les niveaux de l'entreprise devient un problème prioritaire. Les dirigeants sont plus que jamais dans l'obligation de tenir compte de la motivation des salariés. D'abord, parce que le travail est une valeur en voie de disparition, à cause de l'évolution du contexte socio-économique. Il perd de l'importance aux yeux des salariés, qui en quelque sorte deviennent spectateurs de leur activité, plus qu 'acteur, ils voient leur marge décisionnelle s'atténuer. Ensuite, il est important de tenir compte de la situation de compétitivité récente, qui place les salariés au centre de l'amélioration de la productivité, ce qui fait de la motivation un facteur fondamental de la réussite de l'entreprise. Enfin, la globalisation, les fusions, les acquisitions et l'ampleur des multinationales se fait de plus en plus sentir.

Ces entreprises qui chouchoutent leurs salariés Microsoft, Accenture, Total et d'autres rivalisent d'originalité pour accroître le confort au travail de leurs salariés. Objectif: motiver leurs troupes et valoriser leur marque employeur. Les bureaux de Google France.Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro Dans le hall, une 2CV rouge trône sur une moquette bleue. Derrière, un espace cuisine à l'ambiance familiale. Bien loin d'impersonnel «open space», Google France a joué la carte du bien être en dévoilant, début décembre, le nouveau cadre de travail de ses 350 salariés. Comme Google, les entreprises qui investissent pour le confort au travail de leurs salariés sont de plus en plus nombreuses. Une piscine chez Total L'espace pwCool de PricewaterhouseCoopers. Dans le cadre de son projet «Moving forward» («Allons de l'avant»), la succursale française d'Accenture a par exemple installé des cocons design pour les conciliabules de ses employés, et un «happenspace» où se déroulent spectacles, concerts ou projections.

Quand formation rime avec motivation et responsabilisation Le modèle traditionnel de la formation est mort ! Vive la formation ! Oui mais pas à n'importe quelles conditions : tandis que les fondements de la formation vacillent sous la tension grandissante imposée par le changement perpétuel de l'entreprise, il est grand temps de se poser les bonnes questions. S'assurer que les collaborateurs possèdent les compétences nécessaires pour mettre en œuvre la stratégie de l'entreprise, explorer les nouvelles compétences dont l'entreprise aura besoin demain, voilà les conditions nécessaires à l'évolution de la compétitivité des entreprises … Certes. Mais les entreprises ne peuvent pas forcer le développement des compétences, quoiqu'elles proposent en termes de plan de formation. Une "consumérisation" de la formation Transférer chez l'apprenant la responsabilité de se former, n'est-ce pas la clé du succès de l'apprentissage ? Un exemple : huit métiers sur 10 relatifs à l'IT, à échéance de quatre ans, ne sont pas encore connus ! Un défi organisationnel

7 idées reçues sur la motivation des salariés C'est la grande question que tout dirigeant est un jour amené à se poser : comment motiver ses collaborateurs sur la durée ? Alors que les salariés français apparaissent comme les champions de la démotivation à l'échelle européenne, plusieurs leviers existent pourtant pour fédérer vos troupes autour de votre stratégie (primes, intéressement, formations, opérations de team bulding...) et faire grandir les talents de vos collaborateurs. Mais, pour emporter leur adhésion et leur engagement, commencez d'abord par vous débarrasser d'un certain nombre de poncifs sur ce qui les booste réellement. Spécialistes de la motivation, Zwi Segal, docteur en psychologie du travail et professeur en ressources humaines et Yves Duron, psychologue du travail et psychosociologue, ont détecté sept idées reçues pour démotiver à coup sûr vos collaborateurs. Idée reçue n°1 : Penser que la rémunération est la seule chose qui peut motiver les salariés Et vous, comment motivez-vous vos collaborateurs ?

Voici comment les grandes entreprises motivent leurs salariés Travailler chez Google, Microsoft ou Facebook, ça en fait rêver plus d’un. Dans la majorité des classements sur les entreprises où il fait bon travailler, ces multinationales caracolent généralement en tête de liste. Question d’image, de moyens financiers mis à disposition, de fidélisation des employés et d’attraction des meilleurs talents de ce monde. Et oui car pour attirer les meilleurs candidats, il faut les choyer, leur proposer des avantages qu’ils ne trouveront pas ailleurs, les faire se sentir unique, leur montrer que l’entreprise est (quasiment) prête à tout pour qu’ils se sentent bien. Mais comment font ces multinationales pour motiver leurs salariés? Motivation au travail rime avec avantages! Voici une infographie très complète réalisée par NexGeneration sur la manière dont ces grandes entreprises motivent leurs collaborateurs. Avantage proposés aux salariés de Google, Airbnb ou encore Facebook (Source: Nextgeneration) Les grandes entreprises ne s’y trompent pas.

Définition de la motivation des salariés | La démotivation au travail | Les thématiques | Enjeux et Obligations RH Stressés, mal payés, peu encouragés, seuls 7% des Français se disent vraiment motivés au travail, loin derrières les allemands qui sont deux fois plus nombreux. Selon cette étude qui s'est intéressée à l'Hexagone et à cinq de ses voisins - l'Allemagne, l'Espagne, la Belgique, le Royaume-Uni et l'Italie, les français sont « recordmen de la démotivation en Europe », avec 40 % de salariés qui affirment que leur motivation diminue. Les cadres sont en première ligne: ils sont plus de la moitié à estimer qu'ils passent trop de temps au bureau (51%, soit 4% de plus qu'en 2008), pour une reconnaissance insuffisante (41 % d'insatisfaits), le tout en étant de moins en moins bien dirigés. En découle un niveau de stress « élevé et en hausse ». Tous salariés confondus, le manque de reconnaissance, une rémunération jugée trop faible (à 68 %) et la charge de travail, sont les principaux griefs de la baisse de motivation des salariés.

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