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Motricité fine / Vie pratique

Motricité fine / Vie pratique
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Présentation / Explications J’ai mis à profit mes 3 premières semaines de vacances, sans enfant et sans soleil (ou presque !), pour mettre au point des ateliers de manipulation et d’expérimentation de type Montessori, comme ceux que j’avais pu voir sur Ecole Petite Section. Ces ateliers seront proposés aux enfants de Petite Section et Moyenne Section pendant des temps définis (principalement au moment du réveil échelonné) et selon un protocole précis, qu’il faudra mettre en place en début d’année : - chaque enfant prend 1 tiroir de son choix, l’emporte pour s’installer à sa place, - il réalise l’activité seul (on ne fait pas à 2) en s’aidant des consignes illustrées, mais peut solliciter l’aide de l’enseignant ou de l’ATSEM. - quand il a terminé l'acticité, il range le matériel dans le tiroir en s’aidant de la photo et remet le tiroir dans le meuble. Du point de vue matériel, j’ai investi dans 3 meubles en plastique de 8 tiroirs chacun, ce qui me permet de proposer 24 ateliers (pour 22 élèves cette année) :

Célestin Freinet Célestin Freinet "Nous savons, nous, que nous ne sommes ni des hommes universels, ni des demi-dieux, que nous sommes loin de tout connaître, tout comme le commerçant moderne qui n'a point dans l'esprit les caractéristiques et les prix de tous ses articles. Mais nous avons cette supériorité que nous sommes en mesure de procurer rapidement aux enfants les réponses et la documentation qu’exigent leur désir de s’instruire et leur curiosité." Cette déclaration sonne résolument moderne, n’est-ce pas ? Biographie 1896 : Naissance à Gars, Alpes-Maritimes. Contexte historique Célestin Freinet est un Provençal qui a fait le choix de l'enseignement très tôt : les études qu'il a choisi de suivre l'ont conduit en ligne directe vers les salles de classes. Célestin Freinet a été profondément marqué par l'expérience de la guerre de 14. Les piliers de la pédagogie Freinet « Toute méthode est regrettable qui prétend faire boire un cheval qui n’a pas soif. Principes La coopération dans l'apprentissage. 01.

Climat scolaire - La coéducation avec les familles Parmi les sept facteurs déterminants du climat scolaire, la relation avec les familles constitue également un facteur important. S’informer Pourquoi un lien avec les familles ?La qualité des réseaux sociaux et des « gardiens » est une condition de protection contre la violence. Le développement d’un lien fort entre le jeune, sa famille et l’école permet de prédire des comportements plus sûrs à l’adolescence et des problèmes de santé moins importants (Hawkins et al, 2000). Un véritable cercle vertueux s’enclenche lorsque l’enfant se sent soutenu tant par sa famille que par ses enseignants : on assiste alors à la diminution de la victimation et des conduites agressives (Slee, 2006), à la diminution des comportements antisociaux (Cunnigham et Sandhu, 2000). Voici quelques mots clés à retenir. Coéducation« La coéducation peut être définie comme une forme d’éducation qui privilégie l’apprentissage en autonomie, par l’expérience collective et la collaboration. Agir Dans l’établissement S’inspirer

Montessori, Freinet… au secours des enseignants | Montessori ? Freinet ? L'école heureuse A la suite des attentats du 7 janvier, on a demandé tout-à-trac aux enseignants de l’Éducation nationale de faire de l’éducation civique. Certains se sont retrouvés dans des situations réellement pénibles. Contestation violente, refus d’observer une minute de silence, insultes… Même dans les cas où aucune opposition ne s’est manifestée, je serais très étonnée que cette intervention ponctuelle ait servi à quoi que ce soit. Parmi les meilleures solutions évoquées dans les discussions et les propositions qui fleurissent une semaine après les attentats, on parle d’apprendre aux enfants « la compétence au dialogue ». La pédagogie active (Montessori, Freinet et tant d’autres) ne cherche pas seulement à développer des compétences. Photo Vanessa Toinet.

Dix conseils pour bien gérer les relations parents-enseignants "L’école n’apparaît plus comme l’élément structurant d’un futur réussi quand ceux qui sont exclus précocement comme ceux qui ont mené leurs études jusqu’au bout se trouvent discriminés dans l’accès à l’emploi". Dans cette situation, comment recevoir les parents d'élèves ? Jean-Louis Auduc, ancien directeur d'IUFM, analyse toutes les situations et donne des conseils concrets. Des parents angoissés pour le futur Nous sommes aujourd’hui dans une situation où aucun parent n’est assuré que son enfant vivra dans le futur mieux que lui. Cette perspective était un élément fondateur d’un projet collectif, d’une confiance dans l’école. Les parents sont souvent plus désemparés que démissionnaires. Nous sommes passés : - d’une société fondée sur des PROMESSES matérielles dans lesquelles l’école jouait un rôle clé en délivrant des diplômes reconnus sur le marché du travail - à une société pleine de MENACES matérielles où l’école joue souvent le rôle de bouc-émissaire. a) Qui a provoqué le rendez-vous ?

Situations-problèmes : regards croisés d'Astolfi et Meirieu Qu’est-ce qu’une situation problème ? La situation-problème est une situation d’apprentissage C’est un moyen d’apprentissage et non le résultat. C’est une stratégie d’enseignement qui favorise l’engagement des élèves. Elle permet la construction des savoirs. La situation-problème, c’est une tâche : globale, complexe, signifiante. La situation-problème est une tâche globale : elle est complète, c’est-à-dire qu’elle a un contexte (des données initiales) et qu’elle contient un but ; elle requiert plus d’une action, plus d’une procédure ou plus d’une opération à faire ; elle pourrait être décomposée en plusieurs parties ou éléments. La situation-problème est une tâche complexe : elle fait appel à plusieurs connaissances et à plus d’un type de connaissances (déclaratives, procédurales et conditionnelles) ; elle amène un conflit cognitif, la solution n’est pas évidente ; elle présente un défi à la portée de l’élève (réaliste et réalisable) ; La situation-problème est une tâche signifiante :

Les tâches complexes en SVT Les tâches complexes ? Les tâches complexes sont des tâches mettant en œuvre une combinaison de plusieurs procédures simples, automatisées, connues . (Extrait du vade-mecum de la compétence 3) Leur mise en œuvre prend du temps mais elle permet de varier les pratiques pédagogiques et de rendre les élèves acteurs de leur formation. Cette pratique pédagogique n’est pas une nouveauté, de nombreux enseignants de SVT l’utilisent depuis longtemps ….. Exemple: En SVT, les séances ne sont pas toujours identiques, on peut alterner : des séquences de recherche (tâches complexes: situations problèmes ouvertes, compétences à acquérir) plaçant l’élève en autonomie…des séquences centrées sur une ou deux capacités précises, réutilisables par la suite (exercices )des séquences de transmission de connaissances, plus « dirigées » . NB: Avant chaque séquence, ne pas oublier d’énoncer clairement à l’élève les objectifs à atteindre . Depuis l’institution du socle commun, cette pratique pédagogique se généralise …

Les faussaires d'Art 2015 2016 Palmarès 2015-2016 Le projet départemental "Les Faussaires d'Art" 2016 se termine par l'évaluation par le jury des oeuvres reçues et l'annonce du palmarès le 6 juin 2016. Retrouvez ici les reproductions des classes participantes Les classes lauréates 2016 Les projets présentés au jury 2016 Cette année trente-sept classes se sont inscrites et nous avons reçu vingt-quatre productions. Vous pouvez les retrouvez ici : les productions 2015-2016. Présentation des oeuvres au jury (PDF) Présentation projet 2015-2016 En cette année de la COP 21, où chacun se questionne sur l’évolution du climat et l’impact sur la biodiversité, nous vous proposons de conduire vos élèves à observer la Nature, à reproduire ses œuvres d’Art. Relever ce défi avec vos élèves vous permettra de les confronter à une situation complexe mêlant de nombreux domaines, dont l’art et la géométrie. Mais qu’est-ce qu’une situation complexe ?

Quelques repères sur la pédagogie de projet Qu'est-ce que la pédagogie de projet? Le mot "projet" est beaucoup utilisé en pédagogie, souvent avec des significations plus ou moins variables. Pour certains enseignants, travailler à partir d'un centre d'intérêt est un projet. Pour Meirieu, la mise en projet est une approche pédagogique qui donne une finalité, un but aux apprentissages rencontrés, mais touche aussi de manière plus vaste au projet personnel que peuvent construire les élèves. Ce qui entendu dans ce module lorsqu'il est question de "pédagogie de projet" est le fait de viser avec un groupe d'élèves un produit final à créer dans un laps de temps donné. A quoi ça sert? Dans le but d'une meilleure "efficacité", l'école compartimente les matières et établit un programme qui définit ce qui doit être enseigné et dans quel ordre. De plus, la démarche de projet suppose de rendre l'élève actif et surtout acteur. Quelles sont les dérives auxquelles être attentifs? Ph. Quelques liens utiles Lien sur un texte de Ph. Stéphanie Jornod

La différenciation pédagogique Ne pas gommer les différences mais ne pas être indifférent à la différence. I. Des définitions variées : La différentiation ne doit pas être vécue comme une sanction par les élèves mais comme une aide. On trouve de nombreuses définitions de cette pratique, en voici quelques exemples : « Différencier signifie savoir analyser et ajuster sa pratique de même que l’environnement d’apprentissage de façon à tenir compte des préalables et caractéristiques d’un ou de plusieurs élèves au regard d’un objet d’apprentissage particulier. » « La pratique de la différenciation pédagogique consiste à organiser la classe de manière à permettre à chaque élève d’apprendre dans les conditions qui lui conviennent le mieux. « La pédagogie différenciée s’appuie d’abord sur un constat anthropologique indiscutable : l’hétérogénéité entre les humains est de fait et ce fait constitue la justification principale de la différenciation de la pédagogie. II. Sur des principes d’éducabilité et d’intelligence. III. IV. V.

Comment impliquer l'élève dans ses apprentissages ? Nul ne peut apprendre à la place de l'élève. C'est une vérité que tout enseignant connaît bien. Mais comment impliquer chaque élève pour qu'il s'approprie vraiment le programme ? Pour Charles Hadji seul un travail sur les processus d'apprentissage peut faciliter ces acquisitions. Professeur à l'Université Pierre Mendès France de Grenoble, Charles Hadji ne cache pas les influences de l'école de Genève et du Self Regulated Learning. Il invite les enseignants à réfléchir à l'importance de doter les élèves des outils intellectuels qui favorisent l'apprentissage plutôt qu'à les gaver des connaissances des programmes. "La meilleure façon de faire son métier d'enseignant c'est d'enrichir la capacité d'autorégulation des élèves", nous dit C. Vous défendez l'idée d'une autorégulation pour impliquer les élèves. C'est la capacité de prendre en charge la régulation de son propre comportement en particulier d'apprentissage. Quelle place a l'évaluation formatrice dans cette démarche ? Le sommaire

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