Lucidchart Commerce en ligne: en 2017, les Français ont dépensé 81 milliards d'euros 37 millions. C'est le nombre de cyber-acheteurs en France, recensés par le sondage Médiamétrie pour la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) diffusé ce mardi. Comme le relève cette étude, l'an passé, les Français ont dépensé en ligne 81,7 milliards d'euros, une somme en croissance de 14,3% en un an, grâce à une clientèle élargie, à l'augmentation de la fréquence d'achat et aux nouveaux comportements d'achats sur mobile, a annoncé mardi la Fédération du secteur. 1,2 milliard de transactions en ligne "En 2017, 1,2 milliard de transactions en ligne ont été réalisées, soit une croissance de 20,5%", ajoute la Fevad dans un communiqué. Ainsi, durant la période précédant Noël, les ventes sur internet ont progressé de 17,5%, à 16,5 milliards d'euros, précise la Fevad. "La barre des 100 milliards d'euros devrait être franchie fin 2019"
Les espaces de co-working, une alternative au travail à domicile ? Pressions du manager, sentiment d’avoir toujours une personne derrière son dos, le travail en open space n’a pas rencontré le succès auquel on le destinait il y a quelques années. Ainsi de nombreux salariés décrochent. Ils deviennent free lance ou employés nomades. Avec la possibilité de travailler tranquillement chez eux ou dans des espaces dédiés au co-working. Parmi les nouvelles pratiques qui sont apparues avec l’avènement de l'Internet mobile et de l’hyper disponibilité que nous confèrent les smartphones, le télétravail est une forme d’organisation qui séduit de plus en plus de travailleurs. « Nos habitudes de travail subissent d’importantes transformations à travers le monde. Si ce modèle de travail à domicile pourrait paraître idéal à certains, cela a aussi entraîné une forme de désocialisation auprès d’autres. Il faut dire que travailler chez soi, amène à éprouver un sentiment de solitude pesant sur le quotidien. Ségolène Kahn
Les communications unifiées : vecteur de transformation pour les RH ? Travail collaboratif, recrutement, télé-travail sont des éléments qui disruptent fortement l'univers des RH. Pour le plus grand bien de l'entreprise mais aussi des collaborateurs et des clients. Portées par les nouvelles technologies, les ressources humaines opèrent actuellement une mutation profonde pour répondre aux besoins d’une population active en attente de plus de flexibilité et de collaboration. L’heure est donc à une réflexion sur de nouveaux dispositifs, au-delà du simple cadre du "travail à distance" (télé travail), pour attirer les talents de demain et fidéliser des collaborateurs en recherche de nouveaux environnements de travail. L’entreprise libérée et la digital workplace sont autant d’opportunités qui doivent amener les responsables des ressources humaines à repenser leur vision de la collaboration pour devenir de véritables supporters de la transformation numérique de leur entreprise. Travailler quel que soit le lieu comme au bureau : c’est possible !
La French Tech est championne de la mobilité numérique... et ce n'est pas un hasard Dans l’ombre des objets connectés ou de la fintech, se cache une filière française très dynamique, celle de la mobilité numérique. Pour preuve, en septembre 2015, BlaBlaCar, le numéro un mondial du covoiturage, levait 177 millions d’euros. Un record. Valorisée à 1,4 milliard d’euros, la start-up devenait une "licorne" (une PME non cotée valorisée plus de 1 milliard de dollars), la deuxième en France avec Criteo. La SNCF, de son côté, propose à ses usagers de partager leur véhicule avec Ouicar. Derrière BlaBlaCar et la SNCF, c’est tout un écosystème à la croisée des transports et du numérique qui s’épanouit. le précurseur Velov Il faut dire que la France a mêlé très tôt les deux thématiques. L’idée de la première plate-forme web de covoiturage, qui allait devenir BlaBlaCar, est née encore plus tôt, en 2004. champions du covoiturage et du partage de véhicule Du covoiturage au partage de véhicules, il n’y avait que quelques kilomètres à parcourir et quelques années à franchir.
Toute l'actualité des Ressources Humaines Pour 88 % des salariés français, le numérique change leur travail tandis que 55 % d’entre eux considère avoir une parfaite maîtrise des outils numériques, selon l’enquête du HRM Digital Lab de Télécom École de Management. Près de 40 % des salariés français pensent que le numérique va transformer leur métier et le rendre plus attractif. En effet, seulement 26 % perçoivent négativement cet impact. Certains pensent que le numérique ferait petit à petit disparaître leurs métiers, d’autres que cela le rendrait moins intéressant. Quel est l’impact du digital sur les compétences dans les entreprises ? A l’ère du digital, la société est entrain de vivre un véritable changement et des études ont été menée dans le but de mesurer l’ampleur de ce phénomène. «Ceux qui ne travaillent pas dans le secteur du numérique ont vu leurs pratiques de travail changer, notamment en matière de rapidité d’action, de travail collaboratif, de quantité de données à traiter. Un nouveau type de salarié Lysa ACHACHA.
Le gouvernement invité à se pencher sur un « droit à la déconnexion » Alors que les appels et mails professionnels s’immiscent de plus en plus dans la sphère privée des salariés, notamment suite à l’arrivée des smartphones, un rapport remis hier au gouvernement plaide pour la mise en œuvre d’outils à même de garantir un « droit à la déconnexion » pour les travailleurs. Le sujet devrait d’ailleurs être abordé lors de la conférence sociale du 19 octobre. Après quasiment six mois de travaux et d’auditions, le directeur général adjoint des ressources humaines d’Orange Bruno Mettling a remis hier à la ministre du Travail son rapport relatif à la « transformation numérique et [à la] vie au travail » (PDF). Bruno Mettling observe en ce sens « une profonde transformation de la relation au travail avec le mélange dans un même temps des temps de la décision, de la réflexion et de l’action ». Entre droit et devoir de déconnexion La balle est lancée dans le camp des partenaires sociaux Xavier Berne Journaliste, spécialisé dans les thématiques juridiques et politiques.
Progiciel de Gestion Intégré PGI : définition, intérêts et limites en comptabilité Un progiciel de gestion intégré (PGI) est un outil informatique permettant de piloter une entreprise. Il s’appuie sur une base de données commune à tous les services de l’entreprise et permet de gérer l’ensemble des processus de celle-ci. Compta-Facile vous propose une fiche détaillée sur les progiciels de gestion intégrés : définition, intérêts et limites. 1. Définition du Progiciel de Gestion Intégré PGI Un PGI est la traduction en Français du terme ERP « Enterprise Resource Planning » qui signifie « planification des ressources de l’entreprise ». Un Progiciel de Gestion Intégré PGI regroupe donc plusieurs modules indépendants qui partagent toutefois une seule et unique même base de données (contenant les fiches « produits », fiches « fournisseurs », fiches « clients », les gammes, les stocks etc.). 2. 3. Le recours à un PGI n’est malheureusement pas sans inconvénients :
Pourquoi le progrès technique dope de moins en moins la croissance Et si tout cela ne servait à rien ? Les robots, l'intelligence artificielle, le big data, les algorithmes de gestion, les machines-outils connectées, les imprimantes 3D, les drones... toutes ces incroyables innovations sorties des labos de recherche et des cerveaux de la Silicon Valley. Comme ça, de but en blanc, la question peut paraître un peu brutale. Pourtant certains économistes commencent bel et bien à se la poser. A leur grande surprise, ils ont en effet découvert que ces formidables avancées technologiques ne faisaient plus guère progresser la productivité - la richesse produite à partir d'une même quantité de travail - telle jadis l'invention de la roue ou du palan. Le phénomène n'est certes pas nouveau - en 1987, le Prix Nobel d'économie américain Robert Solow s'étonnait déjà que les ordinateurs soient partout sauf dans les statistiques - mais il s'accentue année après année. Simple bataille d’experts ? Autant dire que la panne actuelle est plutôt préoccupante. Optimiste
Comment les nouveaux modes de travail sont-ils réellement perçus ? L’écosystème RH ne cesse de s’interroger sur les enjeux des nouveaux modes de travail, mais que sont au fond ces nouveaux modes de travail, et quelle perception en ont ceux qui les vivent en entreprise ? En s’appuyant sur une enquête réalisée auprès de 717 de ses lecteurs, RH info a produit une infographie riche d’enseignements sur le sujet. De nombreux articles de ce blog, bien que traitant de thématiques très diverses, font ce constat : la révolution digitale a profondément changé le monde du travail et le rapport de l’homme à celui-ci. Le développement de l’automatisation à tous les niveaux crée de nouveaux métiers, lesquels nécessitent de repenser profondément les modes de collaboration et d’organisation. Bref, la question du sens de la transformation digitale se pose aujourd’hui de façon cruciale. L’organisation du travail et les modes collaboratifs en première ligne Ce constat sur la révolution digitale est largement partagé par les personnes interrogées pour l’infographie.
Les avantages et les inconvénients du télétravail Qui n’a jamais entendu parler du télétravail ? Ce mode de gestion est très en vogue à travers le monde et s’est même installé dans les entreprises françaises. Selon une étude dirigée par le cabinet LBMG Worklab sur 20 entreprises, il y aurait au moins 12% de télétravailleurs en France. Ils sont plus de 2 millions de salariés à promouvoir cette pratique depuis 2006. À savoir que le télétravail requiert une discipline de fer et une touche de qualités indispensables. D’où vient le télétravail ? Avant de souligner les bénéfices et les inconvénients du télétravail, parcourons un peu l’historique de cette formule de travail. Avantages : Le télétravail pour un meilleur train de vie Le télétravail apporte de multiples avantages aux employés et aux employeurs. Comme un sentiment de liberté Outre la « zen attitude », le télétravail inspire un réel sentiment de liberté. Une culture d’entreprise à privilégier Le télétravail symbolise un important gain d’argent aux yeux des employeurs. Inconvénients :
Les coûts réels,cachés et coût total de possession - PGI-ERP 1. Les coûts réels : Le budget nécessaire à l’implémentation d’un ERP dépend du nombre futur d’utilisateurs du progiciel et du nombre de modules que vous souhaitez implémenter. Vous devez alors lister les différents postes de coûts sans en oublier : · Le coût des infrastructures et du matériel (serveurs dans le cas du choix d’unearchitecture client/serveur, salle réfrigérée pour les serveurs, hébergement…) · Le coût des licences du progiciel : bien identifier le nombre d’utilisateurs finaux. · Le coût des ressources humaines extérieures (consulting) : combien de consultants ERP avez vous besoin et pendant combien de temps ? · Le coût des ressources humaines internes : des employés en interne devront se consacrer au projet à temps partiel ou à temps plein selon l’organisation projet, ce qui représente un coût. 2. Ne pas oublier les « coûts cachés » qui sont inversement proportionnels à la qualité de la préparation, du déroulement du projet et de la conduite du changement organisationnel. 3.
Le « technostress » : lâimpact des nouvelles technologies de lâinformation et de la communication sur nos habitudes et notre qualité de vie au travail L’essor du travail nomade et ses bienfaits Le déploiement du travail nomade a notamment été favorisé par l’arrivée sur le marché de toutes sortes de technologies et moyens de communication mobiles, en particulier les smartphones et tablettes. De nombreuses tâches ne requièrent plus nécessairement un lieu de travail spécifique : grâce au développement technologique, il est désormais possible de travailler sans contrainte de lieu et donc, bien souvent, sans contrainte de temps. Le concept de travail nomade peut se définir comme une manière de travailler s’affranchissant de toute contrainte de lieu et de temps ; l’aspect lié à l’absence de contrainte de lieu étant peut-être le plus flagrant. Selon les indicateurs actuels, près de la moitié des Européens ont ainsi le monde à portée de main partout et à tout moment (ou presque). Les TIC modernes permettent également de recueillir plus facilement et plus rapidement les informations nécessaires à l’exécution du travail.