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Otto Dix - Collections thématiques - Collection - Musée / collection

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Vous êtes dans : Accueil > Musée / collection > Collection > Collections thématiques > Otto Dix En 1914, Otto Dix , élève de l'École des Beaux-arts de Düsseldorf, s'engage à l'âge de 24 ans dans les troupes allemandes du front occidental. Otto Dix. Maître de l'expressionnisme allemand, il réalise entre 1920 et 1924, sous l'influence de Grosz, une œuvre dans laquelle il prône son anti militarisme, sa haine de la guerre dans un style pathétique et violent. Les 50 eaux-fortes présentées à l'Historial sont regroupées dans un des rares coffrets complets de la série Der Krieg (la Guerre) : les autodafés des nazis ont en effet fait disparaître la presque totalité des 70 exemplaires édités à Berlin par Karl Nierendorf en 1924. Ce cycle, inspiré par "les désastres de la guerre" de Goya, répond à la nécessité d'oublier les horreurs vécues : "le fait est que, étant jeune, on ne se rend absolument pas compte que l'on est, malgré tout, profondément marqué. Otto Dix.

Otto Dix Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Otto Dix Otto Dix (à droite) en 1957. Œuvres réputées Biographie Jeunesse Otto Dix est issu d'un milieu ouvrier (son père, Franz Dix, travaillait dans une mine de fer), mais reçoit une éducation artistique par sa mère, Pauline Louise Dix, qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Otto Dix - Autoportrait (1926). Quand la guerre éclate, il s'engage comme volontaire dans l'artillerie de campagne allemande. Son œuvre la plus aboutie témoignant des expériences traumatisantes vécues lors de la guerre est le portefeuille de cinquante eaux-fortes, Der Krieg (La Guerre)[1],[2], publié en 1924. « Le fait est que, étant jeune, on ne se rend absolument pas compte que l'on est, malgré tout, profondément marqué. De 1919 à 1922, Dix étudie également à Düsseldorf, avant d'adhérer au mouvement réaliste et satirique Neue Sachlichkeit (Nouvelle objectivité). Sous le régime nazi En 1938, Dix est arrêté et enfermé pendant deux semaines par la Gestapo. Notes

Les peintres et la Première Guerre mondiale : commandes, productions, collections. Vers une histoire comparative Ce colloque international organisé par le Centre de recherches anglophones de l’Université Paris-Ouest Nanterre La Défense (EA 370) et la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, avec le Musée de l’Armée, le Centre d’études et de recherches sur l’espace germanophone (EA 4223) et le HAR-Histoire des arts et des représentations (EA 4414). Le colloque international, consacré aux représentations de la Première Guerre mondiale par les peintres qui l’ont vécue, s’intéressera aux œuvres réalisées et aux conditions de leur production, de leur diffusion et de leur réception. Centré sur la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne, il sera ouvert à la possibilité de comparaisons plus larges, avec d’autres pays engagés dans le conflit (l’Italie, la Russie, la Belgique, l’Autriche, les Etats-Unis, le Canada ou l’Australie, par exemple). Jeudi 4 Décembre 2014 Université Paris Ouest-­‐Nanterre (UFR Langues et cultures étrangères, Bâtiment V, Amphithéâtre Robert Merle) 13h - 14h30 -

La guerre de 14-18 L’extraordinaire production de l’avant-garde parisienne du début du XXe siècle a été bouleversée par l’avènement de la guerre : la plupart des artistes entre 18 et 45 ans ont été mobilisés. Cette mobilisation eut pour conséquence l’éclatement des mouvements et des groupes et l'intéruption des relations artistiques à l’échelle européenne. Sur le front, la guerre que les peintres ont vécue, rampant dans les tranchées et souvent confrontés à la peur et l’ennui, était loin des grandes batailles héroïques que l’on représentait depuis toujours : que peindre, alors ? La plupart des artistes « modernistes » encore en activité à l’arrière doivent abandonner leurs recherches jugées déstabilisantes, élitistes, antipatriotiques et éloignées des préoccupations du peuple éprouvé. En contrepoint, certains artistes soldats de style académique ont réalisé « sur le vif » des croquis d’une violence et d’une inspiration proches du cubisme, du futurisme, de l’expressionnisme ou de l’abstraction.

L'accueil | LA GRANDE GUERRE EN DESSINS Khavin Serge | La peinture de la Grande Guerre (1914-1918) Les Routes de l’Histoire Serge KHAVIN En 1914, les artistes, comme tous leurs concitoyens, sont mobilisés, envoyés en première ligne et confrontés aux horreurs de la guerre. Français, Anglais, Russes, Allemands, ils sont appelés sous les drapeaux. Ces artistes sont : Georges Braque, Fernand Léger, Otto Dix, Pierre Bonnard, Maurice Denis et d’autres… Fernand Léger et Ossip Zadkine deviennent brancardiers, Oskar Kokoschka cavalier, Derain artilleur. Portrait du soldat, paysages de ruines, vie quotidienne Édouard Vuillard, Interrogatoire d'un prisonnier, 1917 Les artistes dessinent et peignent ce qu’ils vivent et ce qu’ils voient. Le silence des peintres Parmi les peintres mobilisés figurent Braque et Derain qui quittent ensemble la gare d’Avignon le 2 août 1914 pour rejoindre leurs régiments, Pablo Picasso les accompagne. André Derain est versé dans l’artillerie et sert en Champagne, à Verdun, sur la Somme, sur le Chemin des Dames jusqu’en 1917. Pierre Bonnard (1867-1947), France

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