Rasoir d'Ockham Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le rasoir d'Ockham ou rasoir d'Occam est un principe de raisonnement philosophique entrant dans les concepts de rationalisme et de nominalisme. Son nom vient du philosophe franciscain Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), bien qu'il fût connu avant lui. On le trouve également appelé principe de simplicité, principe d'économie ou principe de parcimonie (en latin lex parsimoniae). Il peut se formuler comme suit : Pluralitas non est ponenda sine necessitate« Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité. » L'énoncé Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem, littéralement « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire », est une variante souvent attribuée à Guillaume d'Ockham sans cependant qu'il y en ait trace dans ses écrits. Une formulation plus moderne est que « les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables ». Historique[modifier | modifier le code]
Actualités de l’IHPST | Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques Ernst Mach : la disparition du sujet On sait que Douglas Harding s'est éveillé en voyant un dessin du philosophe Ernst Mach. Mais quelle conclusions Mach a-t-il tiré lui-même de sa découverte? Voici un extrait d'un très bon article de Sabine Plaud sur Mach et Wittgenstein"Le paradoxe de la subjectivité chez Ernst Mach : de l’idéalisme à l’élimination du sujetIdéalisme et phénoménisme : la primauté du Moi Ernst Mach (1838-1916) n’était pas philosophe mais physicien. La chose, le corps, la matière, ne sont […] rien en dehors de la connexiondes éléments, des couleurs, des sons […]3 Cette ontologie machienne ne se présente pas nécessairement d’emblée comme une forme d’idéalisme. Un tel phénoménisme semble bien appuyer une lecture subjectiviste ou solipsiste de la pensée machienne. Aucun subterfuge, aucun sophisme […] ne voileront ce fait indiscutable et bien clair que la doctrine d’Ernst Mach, suivant laquelle les choses sont des complexes de sensations, n’est qu’idéalisme subjectif, que rabâchage de la théorie de Berkeley. 2.
Denis Bonnay et Isabelle Drouet, lauréats du prix jeune chercheur 2009 de la SPS | SPS – Société de philosophie des sciences La Société de Philosophie des Sciences est une société savante dont le but est de promouvoir la philosophie des sciences. Elle est ouverte à toutes les formes de réflexion sur la science et sur la pratique scientifique, mais le cœur de ses activités se situe dans la philosophie proprement dite, dans la variété de ses pratiques. Les activités de la SPS comprennent notamment l’organisation de congrès et de conférences, le parrainage de colloques et journées d'études, la publication d’ouvrages et d'une revue, et la diffusion d’informations pertinentes (travaux, vie académique, ressources, etc.) liées à la philosophie des sciences. En savoir plus Le prix Jeunes chercheurs 2009 de la SPS a été attribué ex aequo à Denis Bonnay et Isabelle Drouet. Ce prix a été remis lors du IIIe congrès de la SPS en novembre 2009. Toutes les actualités Haut de page
Signifié et signifiant Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Signifiant et signifié, d'après un schéma de Saussure. En linguistique, le signifié et le signifiant sont les deux faces complémentaires du concept de signe linguistique développé par Ferdinand de Saussure et à sa suite par l'école structuraliste. Le signifié désigne la représentation mentale du concept associé au signe, tandis que le signifiant désigne la représentation mentale de la forme et de l'aspect matériel du signe. Il faut distinguer le signifié d'un signe (qui se trouve dans un dictionnaire), de la dénotation du signe, qui correspondent à l'objet désigné par le signe, et aux significations connotatives liées au contexte, respectivement. Le signifié[modifier | modifier le code] Le signifié désigne le concept, c'est-à-dire la représentation mentale d'une chose. Le signifiant[modifier | modifier le code] Le signifiant désigne l'image acoustique d'un mot. Références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Son actualité Webdeleuze Il y aura probablement une vingtaine de nouvelles transcriptions cette année ainsi que des "évènements" auxquels nous n'osons même pas penser aujourd'hui, évènements qui-nous l'espérons- auront pour tâche de nous (re)-plonger dans l'atmosphère des mardi matins qui ont illuminés notre jeunesse des années 1970 à la fin du dernier cours en 1987. Ce serait un moyen, à nous, d'innover et de créer le réel, de participer à une pluralité de mondes constitués de singularités et d'évènements. La Pensée-Deleuze est aussi cet acte de résistance. Dans la régression politique généralisée qui nous enserre, entre la Bêtise suffocante et la Servitude volontaire de la majorité grégaire, la tentative de création d'un espace diagonal, tout simplement la tentative de penser est déjà, en soi, une esquisse d'échappement. Big SysOp.
Is Justified True Belief Knowledge? Edmund L. Gettier From Analysis 23 ( 1963): 121-123. Transcribed into hypertext by Andrew Chrucky, Sept. 13, 1997. Various attempts have been made in recent years to state necessary and sufficient conditions for someone's knowing a given proposition. I shall begin by noting two points. Suppose that Smith and Jones have applied for a certain job. Smith's evidence for (d) might be that the president of the company assured him that Jones would in the end be selected, and that he, Smith, had counted the coins in Jones's pocket ten minutes ago. The man who will get the job has ten coins in his pocket. Let us suppose that Smith sees the entailment from (d) to (e), and accepts (e) on the grounds of (d), for which he has strong evidence. But imagine, further, that unknown to Smith, he himself, not Jones, will get the job. Let us suppose that Smith has strong evidence for the following proposition: Jones owns a Ford. Either Jones owns a Ford, or Brown is in Boston. Notes 1. 2. 3.
Slavoj Žižek Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Slavoj Žižek Philosophe occidental Époque contemporaine Slavoj Žižek (prononciation : /slaˈvɔj ʒiˈʒɛk/), né le 21 mars 1949 à Ljubljana, en Slovénie, est un philosophe slovène de tradition continentale. Formé en Slovénie et en France, il est chercheur en 2012 à l'Institut de sociologie de l'université de Ljubljana et est régulièrement invité dans des universités étrangères, particulièrement aux États-Unis (Columbia, Princeton, New School for Social Research, New York et Michigan). Il est connu pour son utilisation des travaux de Jacques Lacan sous l'angle de la culture populaire ainsi que pour ses analyses de Hegel. Personnalité des mouvements alternatifs slovènes, il s'est présenté en 1990 comme candidat du parti Démocratie libérale slovène (Liberalna Demokracija Slovenije, centriste) à la première élection présidentielle libre qui a précédé l'indépendance de son pays en 1991. Vie et œuvre[modifier | modifier le code] Thèse de doctorat
Gilles Lipovetsky Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gilles Lipovetsky Philosophe occidental Époque contemporaine Gilles Lipovetsky (né en 1944) est un essayiste et professeur de français. Dans sa jeunesse, il suit des études de philosophie à l'université de la Sorbonne à Paris. Biographie[modifier | modifier le code] Principaux axes de sa pensée[modifier | modifier le code] Dans ses derniers essais, Lipovetsky remet en cause le concept de post-modernité considéré comme ambigu et même inadéquat. La condition féminine participerait de plain-pied à cette révolution globale. Au cœur de l'hypermodernité, Lipovetsky analyse les métamorphoses du capitalisme de consommation, dénommé dans son ultime phase, « société d'hyperconsommation » et se caractérisant par la colonisation de plus en plus manifeste de la vie quotidienne par les marques et l'échange payant. Publications[modifier | modifier le code] Sur Gilles Lipovetsky Sébastien Charles, La philosophie française en questions. Instant présent