L’expérience client XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer “Def : L’ensemble des émotions qui accompagne l’acte d’achat. Connaissez-vous l’expérience client ? L’expérience client. A l’origine de l’engouement : une double réalité. Changer la transaction en relation A l’origine de l’efficacité du concept : son caractère subjectif, comme spécifié par le dictionnaire du marketing qui définit l’expérience client comme étant “l’ensemble des émotions qui accompagne l’acte d’achat – pendant et après – d’un produit ou d’un service”. Seule différence avec le passé : celles-ci dépendent de plus en plus d’éléments périphériques aux produits ou services vendus. En charge de la prospective chez Blackandgold, Cécilia Tassin confirme. D’autant plus efficace lorsqu’elle est assortie d’une dimension sensorielle.
La communication interne de l'entreprise De l’importance d’une bonne communication interne en entreprise Le personnel de l’entreprise est le premier vecteur de communication et de l’image de l’entreprise vers l’extérieur. Depuis l’accueil à l’entrée de l’entreprise jusqu’aux relations clients en passant par les échanges téléphoniques banals et les relations administratives, chaque membre du personnel est un vecteur de communication et de l’image de l’entreprise. Ce fait témoigne déjà l’importance de bien communiquer en interne car pour relayer l’information et être le promoteur de l’image de son entreprise, chaque travailleur doit en être informé clairement. L’objectif global de la communication interne consiste à gérer de manière optimale le couple demande/offre d’informations dans le système que représente l’entreprise. - descendante => du management vers les différents secteurs et services - transversale => entre équipes ou travailleurs de même niveau Fonctionnement de la Communication interne 5W et communication interne
Kiabi Shopping Connect : Facebook et technologie RFID au service du shopping connecté Le projet de mettre en place des dispositifs Facebook dans les lieux physiques de Kiabi est issu d’unepremière collaboration entre Kiabi, véritable référence régionale du marché de la mode à petits prix, etHobbynote, la start-up lilloise spécialisée dans le développement d’applications sur Facebook. Ce projet est donc l’initiative de deux entreprises du Nord-Pas-de-Calais. Conscientes du potentiel viral et social qu’offre Facebook, les deux entreprises se sont associées une nouvelle fois afin de donner un tout nouveau sens au Shopping connecté, mais il s’agit surtout de l’opportunité d’offrir à la clientèle de Kiabi une expérience d’achat unique et jusque-là inédite en France. Aujourd’hui, les internautes fervents du shopping en ligne souhaitent pouvoir communiquer facilement avec leurs amis, ils ont envie de partager leurs trouvailles et surtout veulent être recommandés, guidés et accompagnés par leurs proches durant leur expérience d’achat. Première étape : se rendre au magasin
Communication interne : L'hyper-communication Et si, en matière de communication électronique, le meilleur était à l'intérieur ? Depuis une petite dizaine d'années, les outils dédiés à la communication interne des entreprises enchaînent révolution sur révolution. Les systèmes de messagerie informatiques se sont faits doubler par l'e-mail, lui-même rejoint par la vague des intranets. Un mouvement innovant perpétuel aujourd'hui entretenu par de nouveaux prétendants. Car non seulement en matière de communication électronique le meilleur est à l'intérieur, mais le meilleur est également à venir. En haut de la pile, la nouvelle génération d'intranets. Les entreprises les plus en pointe ont pris la mesure du problème : il ne suffit pas de déployer un intranet pour que la communication électronique interne se fasse. Autre problème, celui de la diffusion. Mais la nouvelle communication électronique interne ne se limite pas aux seuls intranets.
Les 13 secrets des relations presse pour les startups ! Je ne crois pas qu’il existe un entrepreneur qui ne se soit dit un jour « tiens, je vais faire des RP ». Que ce soit pour des raisons d’égo, de mimétisme, ou d’intérêt pour l’entreprise en termes de communication ou avant une levée de fonds, les relations presse ont donc la cote. Et pourtant, facile de se planter ou d’être déçu des retombées, si l’on ne se prépare pas bien et qu’on poursuit les mauvais objectifs… Je partage ici quelques points de réflexion qui me sont venus après l’intervention de Rémy Debrant et Stéphane Harrouch, de l’agence de relation presse Grayling, qui nous ont donné à l’incubateur HEC leurs secrets pour aider les entrepreneurs à faire leurs RP. Réfléchissez bien avant de dépenser temps et argent en relations presse ! 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. Et vous, votre 14ème secret des relations presse, c’est quoi ?
Serious Game la solution de communication interne et externe de demain ! - Armony Developpement Mardi 26 novembre 2013 2 26 /11 /Nov /2013 21:50 La France est le 2ème pays mondiale dans le monde du numérique. La Haute-Normandie compte 800 entreprises dans la filière du numérique, dont la société Intéraction Games experte en serious games à l'international. L’enjeu est de faire de cette région, un territoire de référence dans ce domaine. Quant au marché mondial du Serious Game appelé aussi «jeu sérieux », il est estimé à 4 milliards d’€ avec une croissance annuelle de 15 à 20%. La perspective du développement de ce marché entre 2010 et 2015 est de plus de 45%. Que signifie le concept de Serious Game ? Le Serious Game va transmettre un message court ou long par le biais de la technologie. Les atouts du Serious Game sont multiples, il éveille la curiosité, interpelle et créé la surprise en immergeant l’utilisateur dans un environnement différent, virtuel et parfois décalé. Le Serious Game : plus qu'un divertissement Néanmoins, des limites existent. Naima CHAOU / Clara EPIPHANE
Rédiger un bon communiqué de presse Le communiqué de presse est l'outil le plus utilisé pour informer les rédactions. Il s'agit d'un document de 2 ou 3 pages maximum, envoyé désormais principalement par mail (je vous déconseille d’ailleurs le courrier et encore plus le fax), annonçant un fait novateur : création de société, nomination de dirigeants, mise sur le marché d'un nouveau produit, annonce de résultats financiers, signature d'un important contrat, etc. Il est plus ou moins construit sur le même format (même s'il n'y a pas de règles strictes) et je vous conseille de le suivre assez fidèlement car avec l’habitude, nous développons des réflexes quasi conditionnés pour repérer en un clin d’œil la bonne info de « l’ivraie »… Gardez à l'esprit que, chaque jour, il arrive des centaines de communiqués sur le bureau des journalistes et qu’ils ont bien peu de temps à leur accorder. La forme : N’envoyez jamais vos communiqués par mail en pièce jointe. Le fond Pour terminer, voici un exemple avec quelques commentaires.
Tendances Com | Le blog des tendances de la communication (publicité, marketing, web 2.0, internet, nouveauté, usage, innovation) La notion de besoins La notion de besoins On entend par besoin un sentiment de manque, d’insatisfaction lié à l’origine à une nécessité physiologique non contrôlée (manger, boire, ...) puis élargi à des champs plus vastes par la psychologie.Non comblé, inassouvi, le besoin crée chez l’individu une tension, une frustration. Le besoin est le point de départ de la consommation : sans besoin, pas d’achat.La force de la publicité repose majoritairement sur ces besoins, réels ou créés. Ne confondons pas le besoin et l'envie ! La pyramide des besoins de MaslowElle exprime schématiquement les besoins présents chez tous les individus de façon latente. Cette pyramide illustre le mécanisme d’ascension dans le besoin. Les besoins selon H. Exemples de publicités conçues sur la réponse à un besoin Évidents besoins d'estime (prestige, reconnaissance) et de domination : 250 cv, la plus puissante de sa catégorie ! Besoin de domination. Besoin d'agression (ouf, ça soulage !). Besoin d'exhibition, de provocation.
Quand les affiches publicitaires deviennent interactives Le leader mondial du mobilier urbain et de l’affichage publicitaire JCDecaux, lance une application innovante afin de transformer les affiches en médias et donner un certain relief aux abribus et autres colonnes Moris. Au menu, aucune caméra inquisitrice ou flashcode à scanner, mais de simples affiches à photographier. L’affichage publicitaire 2.0 a t-il trouvé une seconde jeunesse ? Lancée le 13 octobre, l’application de reconnaissance d’image baptisée U-Snap est gratuite pour les utilisateurs : « A chaque ouverture de l’application, l’utilisateur découvre les campagnes interactives du moment sur un carrousel d’images. Pourquoi faire du flashcode quand on peut faire simple ? Pour populariser cette nouvelle façon d’aborder la pub, le groupe a avant tout voulu faire simple. Invasion publicitaire ? Après 30 000 premiers téléchargements de l’application du au buzz du lancement, le rythme est de 1 000 à 2 000 téléchargements par jour. Alors, le flashcode est-il déjà dépassé ?
Le neuromarketing lit-il dans nos pensées ? Dernier-né des transferts entre sciences humaines et publicité, le neuromarketing se présente comme l’outil ultime de manipulation du consommateur. Doit-on craindre que ceux qui explorent notre cerveau puissent un jour commander nos achats ? Le marketing a toujours adoré les sciences humaines. Dès ses origines, comme le rappelle le psychologue Didier Courbet (1), il y a trouvé dans les différentes théories successivement en vogue des éléments pour peaufiner sa conception du consommateur et développer de nouvelles techniques de vente. Alors qu’ils partaient d’une approche rationnelle de l’individu, qui commande de mettre en avant les aspects utiles du produit, les hommes de la mercatique ont ainsi découvert au début du XXe siècle la psychanalyse. Après la Seconde Guerre mondiale, le marketing ira chercher l’inspiration du côté des travaux sur la réception des médias. Les neurones du Coca-Cola Des applications vagues Malgré son caractère intrusif, le neuromarketing n’a donc pas (encore ?)
S'occuper du client le fidélise-t-il vraiment ? On ne gère plus des transactions, mais des relations Dans l'histoire récente du marketing et de la vente, il est admis que nous sommes passés d'une époque à une autre. Beaucoup ont tout d'abord connu et pratiqué une approche dite transactionnelle : dans cette version-là, nous vendions au coup par coup, sans réellement nous préoccuper de développer une relation durable avec les clients. En revanche, l'époque moderne est celle de l'approche relationnelle : la relation interpersonnelle devient au contraire l'axe majeur pour les intéresser et pour les retenir. Sauf que l'on ne s'est peut-être pas assez posé la question suivante : est-ce que tous les clients veulent cela, et est-ce qu'ils en ont tous besoin ? Trois chercheurs allemands ont tenté de vérifier si, en étant effectivement très orientés client, les commerciaux parviennent à fidéliser efficacement leur clientèle(1). Un expert, ou un "bon gars" ? Le deuxième comportement est plus relationnel. Quel comportement adopter face au client ?