Infographie: la fidélisation à une marque L’étude, menée en septembre dans plusieurs pays (*), révèle que 69% des consommateurs (75% en France) ont tendance à rester fidèles à une marque si cette dernière fournit une assistance humaine aux instants critiques et 82% précisent que leur image d’une marque s’améliore lorsque du Live Chat temps réel est disponible. Encore plus significatif, l’étude montre que la fidélisation à une marque peut se gagner ou se perdre en 76 secondes. Les consommateurs veulent un accès à une aide en ligne temps réel sous 76 secondes. S’ils ne l’obtiennent pas, ils choisissent l’option moins rapide et plus frustrante de l’email. (*) Méthodologie de l’étude 6054 adultes âgés de 18 à 64 ans et réalisant au moins un achat en ligne par mois ont été sondés en France, Grande-Bretagne, Allemagne, Italie, Japon, Etats-Unis et Australie au cours du mois de septembre 2013.
POUR ALLER PLUS LOIN FIDELISATION, L'ERE DE LA PERSONNALISATION - Les fondamentaux du marketing Les marques en lien direct avec le consommateur Mieux connaître sa cible pour tisser avec elle une relation durable et personnalisée. C'est, aujourd'hui, l'enjeu des stratégies de fidélisation des marques. Du SAV aux offres promotionnelles spécifiques, en passant par les blogs, nombreux sont les outils mis en place pour redéfinir la relation client. Afin de fidéliser leurs clients, les marques investissent dans des outils d'analyse des données pour mieux comprendre leur cible, nouent des partenariats entre elles pour pénétrer leur univers affectif et se regroupent pour avoir plus de poids et gagner en efficacité. International, agence de marketing services: « De plus en plus de marques frappent à notre porte parce qu 'elles se préoccupent de la gestion et de l'animation de leur base de données, et ce dans des secteurs dans lesquels la constitution de fichiers n'était pas encore entrée dans les moeurs, comme l'automobile ou le luxe. » L'union fait la force
SYNTHÈSE ELEVE LES RELATIONS ENTRE LES ORGANISATIONS ET LEUR ECOSYSTEME carte de fidélité et fidélisation client Aujourd’hui, nos portefeuilles sont remplis de cartes de fidélité de tout type d’enseignes : vêtements, bricolage, restaurants, parfumerie et cosmétique… Ces morceaux de plastiques colorés aux couleurs des marques ont littéralement envahi nos sacs à main (en tout cas, ceux de nous autres chez My Marketing Manager !). Ce phénomène ne concerne pas uniquement les grandes enseignes mais également de nombreux commerces locaux, avec des moyens plus ou moins importants et des services et avantages divers (système informatisé, newsletter, alertes sms, remises, etc.) La raison à cela : tout le monde met en place un « programme de fidélisation client ». C’est bien et même très bien de valoriser ses clients, les inciter à revenir, créer un lien personnalisé avec ses clients. Quoi de plus parlant qu’un exemple ? C’est ainsi le cas du célèbre distributeur chez qui les envies prennent vie. Ce genre de situation pousse le client à l’exaspération et crée une forte frustration.
un exemple d'entreprise "taylorisée" : Mc Donald's Bien qu'il ne soit plus adapté aux ouvriers dans certaines entreprises, le taylorisme subsiste encore actuellement dans le secteur industriel: une large part des tâches de production reste déterminée par l'automatisation des chaînes. Le travail est jugé répétitif et déqualifiant par la plupart des ouvriers. De plus, le secteur des services n'est pas épargné par la monotonie des activités. ci-dessus un restaurant Mc Donald's. McDonald's, est la chaîne de restauration rapide américaine (" fast food ") la plus importante du monde.Son siège social est situé à Oak Brook en banlieue de Chicago dans l'État de l'Illinois aux États-Unis. Un restaurant "fast food " Mc Donald's compte en moyenne quarante salariés appelés " équipiers ". La plupart des employés travaillent à temps partiel (ce sont souvent des étudiants qui travaillent pour payer leurs études) . L'organisation du restaurant est assez spécifique : Chaque restaurant est en effet divisé en trois zones : la salle, les caisses et la cuisine :
A - LE CONCEPT DE FIDÉLITÉ - Décision Marketing Appropriée Tout d’abord, nous précisons la différence entre le comportement de simple réachat et la fidélité « comportementale ». Nous montrons ensuite que la fidélité ne se résume pas à un comportement : il s’agit aussi de savoir quelle est l’attitude du consommateur vis-à-vis du produit marqué. 1) Du réachat à la fidélité « comportementale » : L’analyse du comportement de réachat permet d’identifier les gros consommateurs, c’est-à-dire ceux qui consomment le plus. Il est clair que plus l’entreprise attire des gros consommateurs, plus elle consolide ses parts de marché. De façon très simple, la fidélité du consommateur « i » vis-à-vis de la marque X peut être définie comme « la quantité de X achetée par le consommateur « i » divisée par la quantité totale achetée par « i » dans la catégorie de produit/service à laquelle appartient la marque X » (il peut s’agir de céréales pour le petit-déjeuner, de boissons aux fruits ou de piles électriques) . o Le « taux de nourriture » : Exemple :
« Salariés libérés, performance assurée? échanges avec Isaac Getz et Mehdi Berrada | «Nicolas Cordier “Salarié-e-s libéré-e-s, performance assurée ? A la rencontre d’entreprises à contre courant qui font une confiance totale à leurs collaborateurs et leurs collaboratrices » : c’était le sujet qui interpellait les près de 200 participants à la soirée «Vivre l’économie autrement» du Centre du Hautmont près de Lille début décembre. Dans un monde qui ne sait plus très bien où il va, devant les incertitudes qui raccourcissent nos horizons, quand le pragmatisme semble être devenu synonyme de « baisse la tête, avance et tais-toi » ce sujet peut apparaître un rien provocant. Parler d’entreprises libérées, de bonheur pour être performant, d’autonomie, de liberté, de responsabilité ou de pouvoir confié à ceux qui font, c’est effectivement parler de pratiques managériales à contre-courant. Trois intervenants qui ont étudié, accompagné ou mis en place ce type d’organisation nous ont partagé leurs visions et expériences. Quel est l’engagement des salariés aujourd’hui ? 1. Poult, un biscuitier innovant
4- Motiver, fidéliser les collaborateurs de l'entreprise - Management Qu'est-ce que motiver des collaborateurs et en quoi cette motivation peut être source de fidélité vis-à-vis de l'entreprise ? L’art du management est l’art de la relation entre le manager et le managé. Il est le produit de cette double capacité pour chaque manager d’ adapter les méthodes et outils de gestion à l’entreprise ou à l’équipe qu’il dirige et en même temps, de prendre en compte la spécificité des personnes qu’il doit mobiliser, entraîner, contrôler. Motiver renvoie immédiatement le manager à la dimension humaine de sa mission. Pour mener à bien cette mission complexe, le manager analyse les différents ressorts du comportement et de la relation humaine qui déclenchent l’action et qui maintiennent un bon niveau de performance chez les collaborateurs et par voie de conséquence fabriquent leur fidélité. Quels sont les principaux facteurs de motivation ? Quelles sont les douze actions managériales qui fabriquent les conditions de la motivation ? La douzième est de le faire réussir.
Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Dominique Grootaers, Le GRAIN asbl, 14 décembre 2005 Henry Mintzberg est une figure de référence internationale dans le domaine de la sociologie des organisations. Le canadien Henri Mintzberg est apparu depuis les années 70 et 80 comme le théoricien de référence dans le domaine de l’analyse des organisations. Au fur et à mesure des essais de Henri Mintzberg s’est profilée une théorie qui est depuis lors abondamment utilisée, commentée et soumise à la critique et qui s’avère d’un intérêt fondamental pour analyser une organisation avant d’envisager la manière d’y opérer un changement. L’apport majeur de Mintzberg est d’avoir élaboré une typologie permettant de catégoriser les diverses composantes internes d’une organisation. 1. Mintzberg distingue en effet trois composantes essentielles des organisations, étroitement coordonnées entre elles : 1.1. 1.1.1. La dimension verticale 1.1.2. 1.2. 1.3. 2.