Retour sur une double hélice ADN,trois simples lettres qui rendent l'individu unique. A pour acide, D pour désoxyribo, N pour nucléique: ce sigle désigne ce que chaque être humain a de plus personnel, le support chimique de son hérédité. Véritable carte d'identité génétique, l'ADN sert à des tests, aujourd'hui très courants. Avec des objectifs variés: confondre un criminel, diagnostiquer la prédisposition à une maladie, prouver une paternité ou identifier les victimes d'une catastrophe. Ces techniques découlent directement de la découverte faite, voilà un demi-siècle, par le Britannique Francis Crick et l'Américain James Watson. Cette découverte est elle-même l'aboutissement de cinq décennies de recherches sur les mécanismes de l'hérédité. Une question se pose alors: quelle est la substance chimique dépositaire du patrimoine génétique? James Watson, brillant étudiant de l'université de Chicago, est fasciné par la lecture de ce livre. Au départ, la publication de Nature n'aura pas un grand retentissement.
Grands singes - Primates - Extinction Les grands singes Non, l'homme ne descend pas du singe... il est simplement un singe, et plus précisément un grand singe... Carl Linné puis Charles Darwin, en leurs temps, en avaient déjà choqué plus d'un en plaçant l'homme dans le règne animal. Ils étaient arrivés à cette conclusion à partir de l'étude des morphologies humaines et simiesques. L'anthropologie puis la génétique ont depuis apporté les preuves scientifiques de cette évolution à partir d'un ancêtre commun. Définition Les grands singes forment la super famille des hominoïdés. En 1871, Charles Darwin avait déjà recomposé notre famille ! La lignée humaine se dessine Les trois dernières grandes séparations avant l'homme... - La lignée des gibbons (Hylobatides) s'est séparée des autres depuis 25 millions d'années, ce qui en fait l'espèce la plus éloignée génétiquement parlant Les dernieres études se contredisent... Portraits des 6 derniers Grands singes Cliquez sur les images pour en savoir plus sur l'espèce concernée.
De l'homme au singe - Comparaison - Dossiers Homme et singe – points de convergence et de divergence Un peu de généalogie… Pour comprendre la place de l'homme sur notre planète détaillons la classification des especes et regardons de plus près la carte d'identitée des Homo Sapiens... Comme cette classification le montre nous sommes très proche du chimpanzé... puique nous partageons la même famille (Hominidés). Comparatif homme - singe Sans vouloir jouer le test comparatif de « 60 millions de consommateurs » nous pouvons mettre côte à côte les principales caractéristiques humaines et simiesques. Le squelette et la musculature En savoir plus sur la taille du cerveau et la mesure de l'intelligence... La bipédie ou plutôt les bipédies La bipédie n'est pas l'apanage des Homo sapiens. En savoir plus sur la bipédie Le langage L'homme est le seul animal à posséder un langage très élaboré qu'il peut retranscrire... L'utilisation d'outils L'homme n'est pas le seul à utiliser des outils. Latéralité - Droitier ou gaucher ?
L'évolution de l'homme - Dessin Reprenons une à une toutes les erreurs véhiculées par cette image. L'évolution du singe à l'homme Première anomalie, le dessin laisse entendre que l'ancêtre de l'homme moderne était un chimpanzé. Qui plus est, ce singe ressemble à un chimpanzé actuel. Ce que nous savons Nous savons que nous avons un ancêtre commun avec les grands singes en général, et les grands singes africains en particulier. Pour François Marchal (UMR 6578 - Unité d'Anthropologie Bioculturelle - CNRS / Université de la Méditerranée / EFS) : "Evidemment que l'ancêtre de l'homme est un singe. Au cours de son évolution, l'homme se redresse pour marcher Deuxième anomalie, le schéma montre un singe (pratiquant le knuckle-walking) qui se redresse pour finir en bipède parfaitement humain. Ce que nous savons Il n'y a pas une seule bipédie mais plusieurs selon les animaux. L'animal évolue pour devenir parfait... un homme moderne ! Dans la presse et à la télévision Sur internet et humoristique Les origines de cette image
Colorants Naturels En cuisine et tout particulièrement en pâtisserie, nous le savons tous, la première impression c’est l’apparence, la deuxième étant l’odeur ! Plus c’est beau, plus grande est la promesse de régal à venir. Un peu comme au théâtre, nos mets se doivent d’être mis en scène et le décor accrocher l’œil des gourmands. Pour ce faire, il faudra parfois avoir recours à quelques stratagèmes, comme par exemple les colorants. Commençons par le vert. Le bleu peut être obtenu très facilement grâce au légendaire bleu de méthylène. La teinte rouge s’obtient quant à elle très facilement grâce à de nombreux fruits qui portent bien leurs noms : Fruits rouges. La couleur jaune quant à elle n’est pas si simple à trouver au premier abord. Le noir représente le plus grand défi. Noir => Charbon Végétal en poudre (complément alimentaire Carbotherapie/Magasins Bio) Jaune => Curcuma en poudre (Epiceries Indiennes) Rouge/Rose => Jus de betterave concentré (Aroma-Zone) Bleu => Bleu de Méthylène en poudre (Pharmacie)
Les origines de l’Homme Durée : 54 sec Si la vidéo ne démarre pas, suivez ce lien : Description du MOOC À travers 6 séquences, découvrez l’histoire de notre espèce, de ses origines et de son évolution. Sur quoi porte ce MOOC ? Depuis toujours, les Hommes sont taraudés par une question simple et fondamentale : pourquoi et comment sommes-nous devenus ce que nous sommes ? À cette question, des milliers de réponses… Dans ce MOOC, nous vous proposons de découvrir ce que les sciences nous disent de nos origines et de notre devenir. Paléontologie, archéologie, génétique, anthropologie, biologie … De nombreuses disciplines sont mobilisées pour retracer la grande aventure humaine. Le MOOC « Les origines de l’Homme » invite donc tous les Homo sapiens curieux à effectuer un merveilleux voyage dans le temps long de nos origines. Alors, prêts à embarquer ? Ce MOOC vous est proposé par Orange, le Muséum national d’Histoire naturelle et le Musée de l’Homme, en partenariat avec TV5MONDE.
« INPN ESPÈCES » : LA NOUVELLE APPLICATION DU MUSÉUM POUR EXPLORER LA BIODIVERSITÉ FRANÇAISE Cette application mobilise les 35 millions de données de l’Inventaire National du Patrimoine Naturel (INPN), coordonné et mis à jour en permanence par le Muséum en partenariat avec de nombreux partenaires nationaux, régionaux et locaux. « INPN Espèces » est la seule application en France permettant de découvrir l’ensemble des espèces de la faune et de la flore métropolitaines et ultra-marines à travers leurs caractéristiques, leur répartition ou encore leur statut de conservation. Grâce à une entrée facilitée par l’image et une géolocalisation depuis son mobile, chacun peut ainsi en un « clic » mieux connaître la nature autour de soi. Disponible en deux modes, grand public et expert, l’application dispose de deux filtres, par famille et par localisation, et permet en mode hors-connexion de consulter 200 espèces de tous groupes, parmi les plus courantes de France métropolitaine, quel que soit le lieu où l’on se trouve.
Evolution biologique-Histoire du vivant-biodiversité-mécanismes de l'évolution-le temps en géologie Origine de l'homme et évolution de l'espèce humaine Vous entendez souvent dire l’homme descend du singe ? Connaissez-vous Lucy l’australopithèque ? Avez-vous déjà entendu parler de l’homme de Neandertal ? Dans cette vidéo, retrouvez plus d’explications sur l’origine de l’homme et évolution de l’espèce humaine. Bien que nous sachions que nous sommes des homo sapiens, nous nous posons tous des questions sur l’espèce humaine. La cellule à la base de tout être vivant Avant de savoir comment serons-nous demain, voyons d’abord quelle était notre apparence au début de la vie. Nos cousins les chimpanzés En comparant l’ADN humain à celui du chimpanzé, la différence s’élève seulement de 1 à 5%. Un peu de généalogie de l’espèce humaine Fabrice Demeter, paléoanthropologue, détient les restes de nos premiers ancêtres. Différents en apparence, mais issus de la même cellule Mais, si l’homme moderne est issu d’un même individu, tous n’ont pas la même nature de cheveux, les mêmes yeux ou encore la même couleur de peau.
Les tables... Quel cauchemar! Certains élèves ont une mémoire des chiffres incroyable et peuvent vous réciter les tables sans avoir à réfléchir. Pour d'autres, dont moi, c'est un apprentissage qui nécessite beaucoup d'entrainement et de réflexion. Lorsque j'ai commencé à enseigner en 5e année, j'ai eu à mémoriser à nouveau certaines tables que j'avais oubliées par manque de pratique. Je suis tombée sur ce document fait en 2010 par Shirley Kenney et Nathalie Vezeau REAPROF, école Chante-Bois: Ce qui est génial dans leur document, c'est que les tables ne sont pas présentées dans l'ordre traditionnel, mais plutôt dans un ordre permettant d'en faciliter la rétention. Je l'ai présenté à mon amie orthopédagogue et nous y avons apporté quelques minimes changements afin de répondre à nos besoins. Petite astuceJe pense que ce pourrait être bien de regarder à chacune des semaines quelles sont les tables déjà acquises. Cahier d'étude Je vous offre donc mon document que vous pourrez télécharger plus bas. Socrative À bientôt
Accueil petrography En cliquant sur certains items des menus ci-dessus, vous aurez accès à des panoramas zoomables sur des lames de roches vues au microscope polarisant. La technologie utilisée est celle de "zoomify" et se déplacer dans la fenêtre de visualisation est assez intuitif (plusieurs modes possibles). Le taux de zoom se règle par un curseur présent en bas de la fenêtre de visualisation, mais aussi avec le scroll de la souris. Vous noterez que pour toutes les vues présentant un cadre, la longueur des traits, blancs ou noirs, correspond en réalité à 2 mm. Dans la partie consacrée aux minéraux, toujours en mode LPA et parfois en mode LPNA (pour les minéraux pléochroïques), vous pourrez faire tourner la platine, soit en vous servant du bouton qui est en haut à gauche, soit en tirant sur l'image. D'autres items permettent de faire de comparaisons de lames, d'ouvrir un glossaire, de déterminer des minéraux à partir d'une clé... Ce site est en perpétuelle construction. Bonne visite.
La classification du vivant, mode d'emploi Auteur : Guillaume Lecointre Guillaume Lecointre est Professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris, Département Systématique et Evolution, Laboratoire "Systématique, Adaptation, Evolution" UMR 7138 CNRS-UPMC-MNHN-IRD-ENS.Adaptation et mise en ligne : Gilles Camus Table des matières Retour au début 1. On pourrait penser que classer les êtres vivant est une activité maîtrisée des naturalistes amateurs, des enseignants et des utilisateurs de la nature (agriculteurs, sélectionneurs, agronomes, pharmaciens, vétérinaires, paysagistes, conservateurs de parcs et de musées, etc.). Même chez les scientifiques dont le métier est très proche des classifications, il arrive encore trop souvent qu’on se méprenne sur ce qu’est que « classer ». C’est mal connaître le contexte. 2. 2.1. Dans les livres scolaires, on confondait encore il y a quelques années trier, assigner et classer. 2.2. Trier, ce n’est pas tracer des ensembles, ce n’est pas créer des groupes. 2.3. 2.4. 3. 3.1. 3.2. 4. 4.1.
Un petit crâne de 13 millions d’années éclaire l’origine des grands singes Le crâne extrêmement rare découvert au Kenya appartenait à un animal d’une espèce jusqu’alors inconnue mais très proche de celle qui a donné naissance à l’homme. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Barthélémy La scène se passe en 2014 sur le site de Napudet, au Kenya, non loin du lac Turkana. Une région désertique où se battent les cailloux et affleurent les fossiles. John Ekusi a l’œil pour ce genre de pierres et il en a repéré une qui émerge du sol et qu’il prend tout d’abord pour une tête de fémur. Mais la chose s’avère un peu trop volumineuse. Son analyse a pris trois ans et elle a été publiée, mercredi 9 août, par Nature. Une époque-charnière de buissonnement d’hominoïdes Pour comprendre pourquoi, il faut retourner à l’époque où ce petit singe vivait. Tout l’enjeu de l’étude de ce crâne était donc de le placer dans le buissonnement d’hominoïdes qui se produit à cette époque-charnière. « L’oreille interne d’un grand singe classique » Mort à seize mois