Pourquoi j'ai laissé tomber le sexe et comment cela a sauvé mon couple | John Kinnear Premier avertissement: je ne suis pas un professionnel. Ce qui suit ne constitue pas un conseil avisé. Il ne s'agit ici que du partage de mon expérience personnelle, de ce qui fonctionne et ne fonctionne pas pour ma famille et moi dans notre situation très particulière. Ce qui fonctionne pour nous peut très bien ne pas fonctionner pour vous, parce que nous sommes différents, et c'est très bien ainsi. Si vous ressentez le besoin de me dire que j'ai tort, ou que j'ai raison, en tout ou en partie, ou si vous avez envie de partager ce qui fonctionne pour vous, je vous encourage à le faire. Deuxième avertissement: Vous devriez peut-être inviter ceux de vos enfants qui savent lire à quitter la pièce, car, au cas où le titre de ce billet n'aurait pas été assez clair, il sera ici question de l'existence du sexe, de sa non-existence ou de son existence sporadique. Troisième avertissement: Maman. Bon. Quand nous étions jeunes et sans enfants, le sexe était une chose qui venait naturellement.
Prostitution : Vous n'êtes pas mes alliés Hier matin, je suis tombée sur un article qui réunit à lui seul toute la problématique des "faux alliés". Son propos se veut à la fois anti-abolitionnisme, putes friendly et anti pénalisation des clients. Théoriquement, je devrais donc adhérer à celui ci en grande partie, puisque je suis moi même pute opposée à la pénalisation des clients et anti-abolitionnisme. Mais en fait, non. Pour tout dire, j'ai plutôt passé ma lecture à osciller entre gros (mais gros, gros quoi) facepalm et nausées, pour finalement terminer à peu près dans cet état : Pour commencer, l'article est titré "Proud to be a PUTE" pour ensuite s'ouvrir sur un paragraphe à la première personne : "Mais qui sont ces contempteurs du corps pour juger de ma liberté d’user du mien comme je le souhaite ? L'introduction du texte s'ouvre quant à elle sur une empilade de poncifs à propos de la "police des moeurs" qui serait trop anti-sexe et trop reloue : "La prostitution est un vice. Oh mais qui c'est que voila là ? Alors là, non.
Commentaire juridique de l’avis 118 du CCNE sur l’assistance sexuelle | C2 Le Comité consultatif national d’étique pour les science de la vie et de la santé (ci-après « CCNE ») a rendu public son 108ème avis du 4 octobre 2012. Il porte sur la question de l’assistance sexuelle aux personnes handicapées. L’assistance sexuelle est une prestation qui ressemblerait à la prestation d’un personnel paramédical. L’affaire a pris une tournure politique sous la pression d’associations militant pour la reconnaissance de cette pratique, mais aussi par le film « The Sessions » qui traite de ce sujet. Au sein de cet avis à la facture classique, le CCNE passe un certain temps à justifier sa légitimité (rappel de la méthodologie de recherche, de son lien avec les lois de bioéthique, de sa tradition de réflexion), comme pour répondre aux différentes critiques qui ont étés émises lors de la discussion du projet de loi du « mariage pour tous » au cours duquel le Comité s’est auto saisi de la question de la procréation médicalement assistée[2]. Like this: J'aime chargement…
Les témoignages des chattes Au départ, on avait envie de monter les Monologues du Vagin de Eve Ensler. On les a travaillé, et puis, au fil du temps, on a rajouté un texte par ci, un texte par là dans le spectacle... Des textes qui nous parlaient, des textes dont, nous semblait-il, le thème était moins abordé dans les Monologues du Vagin. J’étais inquiète à cause des vagins. la Foufoune. le Minou. la Zézette. la Marguerite. le Piou-piou. la Plotte. la Minche. le Sexe. la Bibiche. la Dignité. la Minette. la Chatte. le Turlututu. la Quéquette. le Mimi. la Foufounette. Le clitoris Le clitoris est le tissu le plus sensible qui existe. Le clitoris n’est pas qu’un petit bouton magique. Seules 30% des femmes ont des orgasmes lors des rapports sexuels sans stimulation directe du clitoris. Il y a très peu de nerfs dans le vagin. Lorsqu’une femme a un orgasme, les muscles ne se relâchent pas de la même façon, c’est pour cela que les femmes peuvent avoir plusieurs orgasmes. Extraits du film « Le clitoris, ce cher inconnu »
Questions sur l'abolition de la prostitution Alors que l'assemblée nationale s'apprête à voter un texte de loi visant à abolir en droit la prostitution, avec notamment un volet pénalisant les clients de 1500 à 3000 euros, un certain nombre de questions se posent pour tout citoyen soucieux du respect des droits humains, à commencer ici par ceux des prostitués et prostituées. Je partirai de la discussion d'un éditorial de l'Humanité résumant les arguments "abolitionnistes" tiré de l'Humanité, pour poser des questions qui concernent tout républicain pour qui la définition des droits de chacun est une question d'intérêt général. Pour commencer, les quelques fois où comme tout le monde j'ai pu croiser dans la rue des professionnelles, je n'ai rien ressenti du romanesque qu'on peut voir dans certains films des années 50, j'ai plutôt perçu du glauque et de la misère. Pour autant, j'estime que ces sensations ne me donnent pas le droit de chercher à faire disparaître une activité sans demander leurs avis aux premiers concernés.
Suis-je libre de faire ce que je veux avec mon corps ? - Drogues info service : information, aide sur drogues alcool Cet article ne reflète pas une opinion personnelle et ne prétend pas à l’exhaustivité. Il se veut un modeste éclaircissement du rapport entre droit de disposer librement de son corps et interdiction de l’usage de drogues. N’hésitez pas à prolonger la discussion sur le sujet dans le forum spécialement ouvert pour l’occasion. Pour commencer L’interdit concernant la consommation - même dans le cadre privé - de stupéfiants (terme désignant les drogues illégales) pose la question de savoir si j’ai le droit de faire ce que je veux avec mon corps. Les drogues ont une action directe sur lui, par la modification les sensations, des perceptions et des réflexes. D’un autre côté, je suis censé pouvoir disposer librement de mon corps. Un droit garanti… La société nous garantit certains droits en tant que personne, dont celui de disposer librement de son corps (article 16-1 du Code civil). … mais aussi limité Il existe des limitations de deux ordres à ce que je peux faire avec mon corps. En conclusion
LE GRADE DE M.. S.. La base est identique au Rite Ecossais Ancien Accepté, le temple est décoré de tenture noire, parsemé de larmes. Derrière le Trône, bien en vue, un grand cercle dans lequel est placé un Triangle sacré portant au centre l’Etoile Flamboyante. Seize colonnes blanches, quatre à chaque angle du Temple. L’intérieur du Temple représente le Saint des Saint. La lecture du Rituel explique le pourquoi de ces dénominations ; l’ambiance est en effet, biblico-mystique, la liturgie israélite, le président de l’assemblée représente Salomon, la légende est Hiramique. Adonhiram, le lieutenant du Maître assassiné, est l’emblème de l’élévation que doit avoir celui qui veut régénérer son esprit et construire son temple en mettant de côté les mauvais matériaux qui sont les préjugés et les superstitions. La Parole Sacrée, le corps d’Hiram et les Lois renfermées dans le Saint des Saint représentent la Vérité qui ne peut être révélée qu’à ceux qui sont au grade capable de comprendre.
Débat : faut-il abolir la prostitution ? Où en est-on en France ? En juillet 2010, l’Assemblée nationale créait une mission d’information sur la prostitution en France. En avril dernier, Danielle Bousquet (PS), présidente de la mission, et Guy Geoffroy (UMP), rapporteur, présentaient leurs conclusions. La proposition de résolution qui sera présentée à l’Assemblée nationale le 6 décembre a pour but de réaffirmer la position abolitionniste de la France. L’idée ? Pénaliser le client et réduire la prostitution de rue. > Le site « Abolition 2012 ». Martine Billard, députée et co-présidente du Front de Gauche « Il n’y a eu pour l’instant que des réponses sécuritaires à la prostitution, notamment avec la loi sur le racolage passif adoptée en 2003, avec des mesures sur le terrain où les policiers repoussent les prostituées dans l’invisible. Les victimes, ce sont les femmes. Aujourd’hui, si les prostituées dénoncent leurs proxénètes, elles obtiennent une carte temporaire de trois mois mais ne sont pas protégées.
Dossier : Mon corps m'appartient ! « Mon corps m’appartient… » : ça veut dire que la loi protège le corps humain de manière très spéciale. Tu disposes d’un droit essentiel sur ton corps : le droit au respect de son intégrité. Personne ne peut y porter atteinte. Le corps est « inviolable ». Ton corps ne doit pas subir de violences qui te seraient opposées de l’extérieur mais de la même façon, ton corps ne doit pas être utilisé pour faire subir des violences aux autres. La loi sanctionne sévèrement les violences physiques, le viol, les agressions sexuelles. Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement de la personne concernée (article 1111-4 du code de la santé publique). Quelques limites sont tout de même imposées par la loi. « Mon corps m’appartient… » : mais tu ne peux pas en faire commerce. Les parents doivent protéger l’enfant mineur, notamment dans sa santé (article 371-1 du code civil). Toute personne majeure peut se faire tatouer ou percer en toute liberté. Du vivant du donneur
¤ Portail des civilisations anciennes "Ce sont les acheteurs de sexe qu’il faut pénaliser" Un collectif de médecins, dont le généticien Axel Kahn, prend position en faveur de la proposition de loi pénalisant les clients et dépénalisant la prostitution. La prostitution, c'est un nombre incalculable et quotidien de pénétrations vaginales, anales, buccales non désirées. La question de la santé des personnes prostituées ne peut être posée si l'on refuse d'ouvrir les yeux sur cette réalité. L'Inspection générale des affaires sociales (IGAS), dans son rapport sur la santé des personnes prostituées, alerte sur les divers et nombreux problèmes liés à l'exercice de la prostitution : maladies sexuellement transmissibles, addictions et pathologies liées à la précarité, problèmes gynécologiques, lésions secondaires consécutives à des violences… La violence est inhérente à l'activité prostitutionnelle. Certains tentent de réduire la question de la santé au seul problème que constituent les maladies sexuellement transmissibles.
Proposition de loi sur la prostitution : une étape historique ? La proposition de loi « Lutte contre le système prostitutionnel » a été déposée par le Groupe Socialiste à l’Assemblée nationale le 9 octobre 2013. Elle est porteuse d’un renversement historique puisqu’elle ferait passer la charge pénale sur les « clients » prostitueurs et en libérerait les personnes prostituées par l’abrogation du délit de racolage. Elle créerait de plus un ensemble de mesures cohérentes et coordonnées. Issue du Rapport d’information parlementaire présentée par Maud Olivier le 17 septembre 2013, cette proposition de loi (PPL) aborde enfin la prostitution dans sa globalité. L’apport du terrain La philosophie de cette PPL repose sur deux grands principes, la lutte contre les violences faites aux femmes et l’égalité entre les femmes et les hommes. Afin d’éviter aux victimes de la traite une mise en danger, il est également proposé de ne plus suspendre l’accès aux titres de séjour à la dénonciation des réseaux. Pour les « clients », amende et stage de sensibilisation
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