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De Tokyo à Londres en passant par Paris : Faut-il supprimer la voiture ?

De Tokyo à Londres en passant par Paris : Faut-il supprimer la voiture ?
De Tokyo à Londres en passant par Paris : Faut-il supprimer la voiture ? Christophe Boltanski pour Nouvel Obs (France) Le 17-09-2007 La chasse à la bagnole est ouverte. La France, elle aussi, se convertit au transport »doux ». Tram, vélos en libre-service, auto-partage… A l’approche des municipales, chaque maire défend son projet. A droite, deux policiers verbalisent un jeune motard, coupable d’avoir remonté la bande d’arrêt d’urgence. Des murs antibruit, recouverts de graffitis, forment leur horizon immédiat. Non, il n’y a plus d’automobilistes heureux. Longtemps associée à la voiture, elle accole son nom, depuis le début de l’été, à un moyen de locomotion beaucoup plus rudimentaire. Vélib’ ne cesse de faire de nouveaux adeptes. Le système séduit par-delà les frontières. Dans les grandes villes françaises et européennes, c’est la fin du tout-voiture. Pour parvenir à ses fins, chacun a sa méthode. On n’est pas dans l’épiphénomène. Paris, porte d’Orléans, 8h30 du matin.

Comment se forme un embouteillage? Comme prévu les routes des vacances étaient particulièrement encombrées samedi 10 août. Il y avait en milieu de journée plus de 700 kilomètres de bouchons sur les routes françaises essentiellement dans le sud-est et le sud-ouest du pays. Tout devrait rentrer dans l'ordre dimanche. Les routes étaient samedi tout simplement saturées. Mais comment donc se forme un embouteillage et comment il se résorbe? Cécile Dehesdin de Slate s'est déjà penchée sur la question. publicité Car les embouteillages, c'est de l'économie. Un embouteillage se déclenche donc à l'instant et à l'endroit où la demande dépasse l'offre: si 8.000 voitures se retrouvent sur une autoroute à trois voies qui ne peut contenir que 6.000 voitures, c'est le bouchon! Remorques et pluie comme facteurs aggravants Une pluie forte diminue la capacité d'une route d'environ 10% la vitesse baisse et les écarts entre les véhicules sont plus importants: donc plus il pleut, plus un embouteillage se forme rapidement. Faire confiance au Bison

Les transports de Londres se transforment en gigantesque terrain de jeu Et si les réseaux de transports en commun devenaient le théâtre de gigantesques jeux collectifs ? S’inspirant du principe de la Fun Theory, qui voudrait que les comportements éco-responsables soient encouragés par des infrastructures attrayantes pour le consommateur, Chromaroma propose aux utilisateurs du métro londonien une véritable guerre de territoire éco-citoyenne. Chromaroma est un jeu auquel chacun peut participer, en équipe ou individuellement. Une seule condition : posséder une Oyster Card, équivalent londonien du passe Navigo francilien, qui est l’outil principal du jeu. « Le seul prix à payer pour une personne qui veut jouer est donc celui de son abonnement aux transports », déclare Richard Birkin, ingénieur en charge du projet chez Mudlark. Aujourd’hui, plus de 10 000 inscrits s’affrontent. Un modèle français à venir ? Crédits photos : Mudlark

Les nouveaux usages de la voiture en ville En ville, les usages évoluent et la diminution de la part modale de la voiture personnelle est réelle. S’appuyant sur l’essor du numérique, ces modes de transport cherchent à s’intégrer dans le paysage urbain. Startups, villes, grands acteurs de la mobilité, tous se mettent à proposer ce type de services et cherchent à se positionner sur la voiture partagée et à la demande. Etat de la situation. I/ En ville, l’usage de la voiture évolue Depuis plusieurs décennies, la voiture est le moyen de transport privilégié des français. Ce constat s’applique surtout dans les zones les plus urbanisées : au cours des dix dernières années, l’usage de la voiture personnelle dans les centres villes a fortement diminué au profit d’un usage croissant de modes alternatifs tels que les modes doux, les transports en commun ou encore l’autopartage [3]. II/ Les nouvelles mobilités portées par le numérique III/ Les acteurs traditionnels se mobilisent

Aménager la ville pour les piétons, une "révolution urbaine" Date de publication : 20/02/2013 Format : Vu sur le web Parce que la marche à pied reste un bon moyen pour faire des économies, préserver l’environnement et être tenté d’entrer chez un commerçant, de plus en plus de villes lancent des travaux pour élargir les trottoirs ou interdire la circulation aux automobilistes. Quelles sont les villes en France qui choisissent de laisser la place aux piétons ? La rue de l’Ecole de Médecine à Paris s’aménage A Paris dans le 6ème arrondissement, la rue de l’Ecole de Médecine se refait une beauté. Marseille donne sa place aux piétons Marseille a été désignée capitale européenne de la culture 2013 et à l’occasion, de grands travaux transforment la conception de la ville. Le centre-ville de Narbonne sera piéton Au cours de l’année 2013, le centre-ville de Narbonne deviendra entièrement piéton ! « Un réseau piétonnier magistral » à Strasbourg De la place de la gare à la place du marché, les rues vont s’adapter à un nouvel itinéraire piétonnier.

Contexte et enjeux , Transport et mobilité , Dans quels domaines agir ? Chiffres clés 2007 : le CO2 représente 96.2 % des émissions de GES du secteurle transport routier est responsable de 93.6 % des émissions de CO2 du secteurle part automobile francçais émet 174 g de CO2/km (objectif 2020 : 130 g/km)les consommations de carburant du secteur aérien ont augmenté de 87 % depuis 1990 Le développement économique de ces trente dernières années a entrainé une augmentation forte de nos besoins en mobilité, devenue indispensable à nos modes de vie actuels. La voiture, de par sa praticité et la flexibilité qu’elle offre à ses utilisateurs, s’est imposée comme le mode de transport principal des ménages. Une mobilité croissante La mobilité croissante des ménages s’est conjuguée à une augmentation constante des émissions de gaz à effet de serre (GES) liées aux transports (+19,1% depuis 1990). Le rôle essentiel des collectivités territoriales La vision « transport » n’est pas une simple question de véhicules et d’offre de déplacements doux.

Le vélo dans la ville : un révélateur social Politique cyclable à Grenoble, Entretien avec MICHEL GILBERT, Adjoint au Maire de Grenoble pour l’environnement et les transports, vice-président du Club des villes cyclables Cahiers de médiologie : Quels sont les obstacles, et les chances, d’une réintroduction du vélo dans une ville comme Grenoble ? Michel Gilbert : Grenoble a été la première ville à se doter d’une politique cyclable. Sa géographie est favorable, c’est une ville très plate, au climat méridional, et où la tradition cycliste était forte jusqu’aux années 1960 puisque plus de 30 % des déplacements s’effectuaient à vélo, chiffre considérable si on le rapporte à celui d’aujourd’hui, 5 %. Ce taux est d’ailleurs bon pour la France, où nous sommes dans le peloton de tête des villes cyclables, après Strasbourg ; il est faible au plan européen : dans les villes de la plaine du Pô, en Allemagne ou aux Pays-Bas, les politiques cyclables sont très anciennes et plus développées. Peut-on déjà mesurer quelques retombées positives ?

9 bonnes raisons pour partir étudier à l'étranger Étudier à l’étranger vous y songer, vous tourner autour de l’idée sans être sûr ou alors vous vous dites que ce n’est pas pour vous? Et pourtant, cette expérience vous apprendrait tant! Que ce soit une année au lycée, une année ou un semestre Erasmus au cours de votre cursus universitaire ou même toute votre scolarité ou cursus universitaire à l’étranger, les possibilités sont multiples et il y en a pour tous les goûts? Tout le monde en parle, tout le monde encense cette expérience, mais pourquoi étudier à l’étranger est-il si unique? 1- Apprendre une langue étrangère. 2- S’ouvrir au monde et s’ouvrir aux autres. 3- Se chercher soi-même. 4- Se réinventer. 5- L’opportunité de voyager. 6- Booster son CV. 7- Étendez votre réseau. 8- Êtes-vous prêt à vivre la meilleure année de votre vie? 9- Parce que vous ne voudrez plus jamais rester en place. Étudier à l’étranger c’est tout ça et bien plus encore. Lucie Aidart

Vers une ville multi mobile La conclusion du rapport sur les nouvelles mobilités du Centre d’analyse stratégique insiste sur « un objectif central : aboutir à un système de transport plus efficace et plus durable en élargissant les choix de mobilité pour tous ». En sus des deux modèles de la voiture personnelle multi usages et des transports en commun, il s’agit d’offrir un large éventail de solutions de mobilité durables autrement dit peu coûteuses, faciles d’accès, confortables, non polluantes, adaptées aux territoires ainsi qu’aux modes de vie et aux revenus des différentes catégories de populations. Il faut que l’offre soit diverse (multi modalité) et puisse se combiner facilement et efficacement dans une même chaîne de déplacements (inter modalité), comme le résume Pierre Soulard, responsable du service Mobilité urbaine à la Direction de la Voirie du Grand Lyon : Lire l’entretien avec Gilles Vesco, vice-président du Grand Lyon en charge des nouvelles mobilités. Station de bus augmentée projet RATP

Immigration : sortir de l'idéologie pour se concentrer sur la réalité Pendant une huitaine d’années, j’ai été l’un des responsables du dossier immigration au cabinet du ministre de l’Intérieur puis à la présidence de la République, et c’est à ce titre d’ancien conseiller que je pense avoir une certaine légitimité pour m’exprimer. Dans un contexte extrêmement difficile, marqué par une formidable pression migratoire – toute une partie de la jeunesse des pays du Sud, accablée par le chômage, la misère, l’oppression ne songe qu’à émigrer en Europe – nous avons appliqué une excellente politique, la meilleure politique possible destinée à contenir le flux de population, en dépit de l’hostilité de puissants contre-pouvoirs, administratifs, juridictionnels, associatifs, idéologiques, déterminés à la combattre. En matière de lutte contre l’immigration illégale et de limitation du regroupement familial et des régularisations, par exemple, des résultats incontestables ont été obtenus. « Etre de gauche » : l’expression change de sens d’un siècle à l’autre.

Améliorer le transport urbain pour mieux vivre en ville Si certaines villes européennes mènent des expérimentations prometteuses pour réduire la facture carbone des transports urbains, les indicateurs de l'AEE montrent que ces exemples devront se généraliser pour atteindre les objectifs fixés. "Vivre en ville ne signifie pas nécessairement air pollué, congestion, bruit et longs temps de transport, de nouvelles idées dans les transports urbains sont en train de rendre de nombreuses villes plus saines et plus agréables à vivre", souligne Hans Bruyninckx, directeur exécutif de l'Agence européenne de l'environnement (AEE). Cette évolution s'avère d'autant plus essentielle que plus de 74% de la population de l'UE-27 vit aujourd'hui en zones urbaines et que ce chiffre passera à plus de 80% d'ici 2030, selon l'ONU. Le secteur aérien pointé du doigtUn des secteurs impliqués dans la faible réduction de la pollution atmosphérique : le transport aérien de passagers. De 20 à 40% des émissions liées au transport de marchandises

Les vrais chiffres sur l'immigration légale depuis 2005 - LES VRAIS CHIFFRES samedi 23 avril 2011 popularité : 47% Extrait court d’un article sur Claude Guéant : La vérité sur les chiffres de l’immigration légale Délaissant provisoirement la lutte contre l’immigration illégale, Claude Guéant, le ministre de l’Intérieur, envisage de réduire l’immigration de travail et celle pour motif familial. Philippe Martinat | Publié le 08.04.2011, 07h00 Lire l’article sur le site du Parisien.fr Voici ce que nous proposons : regarder les "vrais" chiffres... Ces graphiques ont été faits à partir des statistiques délivrées par l’OFII page 11 de ce rapport. Update : propos de M. Le ministre n’a pas été en mesure de donner une estimation de la baisse du recours à la main d’œuvre étrangère. Or nous venons de voir que ce chiffre est de 31000 en 2010 ! Pourquoi ces chiffres sont-ils martelés ???

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