Bureau d'intervention en matière de harcèlement (BIMH) de l'Université de Montréal Tout milieu où l'on regroupe plusieurs personnes se voit enrichi par les différences des individus basées sur des expériences, des valeurs, une éducation, des points de vue, des modes de vie, des personnalités et des intérêts qui leur sont propres. Bien que cette diversité puisse être bénéfique pour plusieurs, elle reste toutefois un terrain fertile pour l'émergence de conflits et de tensions. Ceux-ci peuvent être utilisés positivement par le groupe de travail ou d'étude pour susciter des remises en question, des réflexions et l'amélioration du climat de travail ou d'étude, mais il arrive aussi que le conflit soit un élément négatif et qu'il nuise à l'appartenance et à l'accomplissement des personnes au lieu de travail ou d'étude. Il devient alors important de comprendre la nature du conflit, le reconnaître et le comprendre afin de pouvoir l'aborder efficacement. Un conflit est un affrontement d'idées ou de besoins, de rencontres d'éléments, de sentiments contraires qui s'opposent.
Communication non violente Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. La Communication NonViolente ou CNV ("Nonviolent Communication" en anglais) est un ensemble de concepts et d'outils destinés, selon ses promoteurs, à aider les gens à établir des relations bienveillantes en eux-mêmes et avec les autres[1]. Ce processus de communication a été initié par Marshall B. Rosenberg dans les années 1970 qui s'est inspiré notamment des travaux du psychologue Carl Rogers et d'Abraham Maslow, ainsi que des religions orientales. Pour le Centre pour la Communication NonViolente (The Center for Nonviolent Communication ou CNVC), promoteur de la méthode, l'objectif est également de développer une éthique de vie fondée sur l'empathie et la compassion, et un projet pour une société pacifiée[2]. Enjeux La girafe est le symbole de la communication non violente Le modèle de société actuel repose sur la domination, la prédation et la compétition et il n’est ni viable, ni épanouissant. Résultats et impacts Mise en oeuvre Témoignages
l'assertivité un outil pour les maîtres "S'affirmer sans s'opposer" L'assertivité est une démarche personnelle dont le but est de rechercher une communication constructive et positive notamment dans les relations professionnelles ou sociales. Cette démarche se refuse à l'agression, la soumission ou la manipulation . Elle s'incarne dans une affirmation tranquille de soi et une bonne mise à distance où comportements et personnes ne sont pas confondus. Démarche non violente, elle s'inscrit dans une éthique de la responsabilité qui prend le réel en compte sans dogmatisme. Dans l'absolu, si l'on ne s'en tient pas à certaines interprétations un peu réductrices du monde du travail, il s'agit de rechercher la convergence du progrès social avec celle du projet personnel. Cette démarche permet aux acteurs d'objectiver ou professionnaliser leurs échanges, de travailler dans le cadre d'une démocratie cognitive où les objectifs sont exprimés en référence à des valeurs. Diverses définitions existent sur le net. Vincent Breton
S'émerveiller d'un rien - Un antidote au désenchantement Autant la vie blesse, autant elle nous pourfend chaque jour, autant elle nous tend la perche, nous fournit d'occasions de s'émerveiller malgré les malgré. Une vitrine de Noël, une chorale de centre commercial, une nappe blanche se posant en surprise par milliards de flocons duveteux, un «pestacle de Nowel» d'enfants rempli de maladresses et de nervosité, une mitaine orpheline oubliée derrière, dernier témoin du pêle-mêle, autant d'occasions de s'attendrir encore et de décrocher une étoile à la cime du sapin. Le mot «encore» n'est pas vain devant le désenchantement du monde qui s'offre à nous à chaque Cancún (Copenhague, Bali...), à chaque conflit qui s'éternise, à chaque enfant-soldat qu'on recrute, à chaque anniversaire de Polytechnique remémoré. Tiens, ce matin, j'apprends qu'un enfant de 13 ans et un ado de 16 ans ont choisi la mort la semaine dernière, chacun de son côté et sans explications. «Il faut aimer la vie pour s'émerveiller. Honte à celui qui va bien cherejoblo@ledevoir.com
Communication orale - La méthode Gordon Mise au point par le docteur Thomas Gordon, aux Etats-Unis, dans les années 1950, cette approche se retrouve dans la démarche de la Communication dite non-violente (C.N.V.), et peut faire référence aux besoins de MASLOW. Résumé du concept : La méthode est basée sur un postulat simple : celui de la « satisfaction mutuelle des besoins ». En effet, si j’ai un problème que je ne peux pas exprimer, ou si l’autre à un problème non-exprimé, ou que je ne l’écoute pas, nous ne pourrons pas avoir une vraie communication. Le principe va donc être : De provoquer la confrontation des besoins. Outils de la méthode : 1/ Le « message-Je » Il s’agit de s’attribuer les choses et de ne plus faire porter à l’autre la seule responsabilité d’un problème. Nous avons une fâcheuse tendance à utiliser le « message-Tu » ou le « message-Vous ». Le message efficace est celui qui dit « Je », et qui décrit à l’autre notre ressenti. 2/ L’écoute active : Il s’agit d’accepter l’autre et de le reconnaître dans son intégralité.
Utiliser la Communication Non Violente dans un groupe Qu'on soit en entreprise, en milieu scolaire, dans une association ou dans un cadre familial, la communication fait souvent défaut et dégénère en rapport de force. Face à ce constat, Marshall B. Rosenberg a initié un processus de communication inspiré notamment des travaux des psychologues Carl Rogers et d'Abraham Maslow, ainsi que des religions orientales et a donné naissance à la Communication Non Violente. Qu'est-ce que la Communication Non Violente ? Il s'agit d'un ensemble de concepts et d'outils destinés à aider les gens à établir des relations bienveillantes en eux-mêmes et avec les autres. Pour le Centre pour la Communication Non Violente promoteur de la méthode, l'objectif est également de développer une éthique de vie fondée sur l'empathie et la compassion, et un projet pour une société pacifiée. Quel impact sur le territoire ? Mettre en place la Communication Non Violente Mettre en place la Communication Non Violente permet au groupe de : Comment faire ? 1. 2. 3. 4.
Les 5 modes de gestion des conflits en entreprise Vous avez des divergences d’opinions, de valeurs et d’intérêts avec vos collaborateurs. Cette situation vous stresse et génère beaucoup de pertes de temps, vous vous sentez dans l’obligation expresse de le régler. Eh bien dites vous que c’est normal. Le conflit au boulot, c'est quoi ? Le conflit est une composante de la vie de tous les jours et il est inévitable. Un conflit peut se définir comme une situation ou des acteurs organisationnels poursuivent des buts différents, défendent des valeurs contradictoires, ont des intérêts différents ou opposés ou poursuivent simultanément le même but (bref, ils sont en compétition). Il va de soi que l’on ne gère pas un conflit avec un collaborateur comme on le ferait avec un inconnu. Solution 1 : la collaboration Les principaux conflits susceptibles de survenir entre collaborateurs sont, entre autres, le malentendu, le conflit d’intérêt et le conflit de personnalité. Solutions 2 et 3 : l'accommodation et le compromis
Comment gérer un conflit lors d'une discussion ? Le conflit est normal, inhérent au travail en équipe. L’important n’est donc pas de chercher à l’éviter à tout prix, mais de savoir le transformer en une discussion constructive, génératrice de solutions et non dommageable pour les relations interpersonnelles de l’entreprise. Un des secrets d’un bon management est de savoir désamorcer un conflit avant qu’il ne dégénère ! Distinguer conflit et désaccord Sachez discerner en premier lieu si vous êtes en face d'un conflit ou d'un simple désaccord. Comprendre les comportements de chaque protagoniste Attention piège ! Même si vous devez faire preuve d'écoute envers vos interlocuteurs, gardez vos distances avec vos émotions. 1. 2. Pratiquer l'empathie 1. 2. Maîtriser plusieurs stratégies Le conseil de ToutApprendre.com Dès qu'un conflit se déclare, imposez à vos interlocuteurs et à vous-même de clarifier le problème : parlez-vous de la même chose ? En savoir plus
Accompagnement des entreprises pour la relance de l’emploi > Entreprises > Emploi-Québec Votre entreprise a subi les effets de la récente crise économique et vous avez besoin d’aide pour soutenir la relance de vos activités? Le programme Accompagnement des entreprises pour la relance de l’emploi (AERE) de la Commission des partenaires du marché du travail soutient les entreprises lors des étapes souvent fragiles en répondant aux besoins de formation de leur personnel. Ces programmes sont financés par le Fonds de développement et de reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre (PDF, 351 Ko) . À quelle entreprise s’adresse ce programme? Ce programme s’adresse aux entreprises de toutes tailles peu importe leur masse salariale. Vous devez répondre à l’une ou l’autre des conditions suivantes : avoir bénéficié des programmes SERRE ou SEMER;avoir bénéficié du programme Travail partagé du gouvernement fédéral;avoir subi un ralentissement conjoncturel de vos activités au cours des trois dernières années. Quel est le personnel visé? Quelles activités sont admissibles?
L'approche intégrale de Ken Wilber Article de Jacques Ferber Introduction La vision intégrale fait référence à l'oeuvre de Ken Wilber, penseur américain, encore très peu connu en France, bien qu'étant l'un des auteurs les plus traduits dans le monde. Wilber part d’une constatation : aujourd’hui, pratiquement tous les contenus de toutes les cultures nous sont disponibles. Cela signifie que la connaissance est maintenant globale et que l'ensemble des réflexions, concepts, savoirs, théories, expériences et philosophies de pratiquement toutes les civilisations (prémodernes, modernes ou postmodernes) nous sont maintenant accessibles. A partir de cette considération, que se passe-t-il si l’on cherche à comprendre ce que toutes ces civilisations peuvent nous dire sur le potentiel humain ? C’est ce qu’a fait Ken Wilber, en s’appuyant lui-même sur d’autres auteurs qui avaient commencé le travail avant lui : A. Le principe consiste à assembler et à mettre en corrélation toutes les vérités que chaque culture prétend détenir.
La perspective développementale La pensée du développement, qui appréhende l’être humain dans un processus évolutif émerge au XIXème siècle avec des philosophes comme Leibniz, Schelling et Hegel puis des naturalistes comme Lamarck et Darwin. Au milieu du XXème siècle, des penseurs comme S.Freud, C. Bergson, J. Piaget, M. Certes des critiques et des débats continuent de faire évoluer ces modèles mais sans pour autant remettre en question le concept de développement. Le développement relationnel s’inscrit dans cette perspective développementale car les compétences relationnelles se développent également dans un ordre précis, que ce soit au niveau individuel ou collectif : fusion, puissance, ordre, compétition et pensée personnelle, empathie…. Autres approches :
L'approche systémique Née aux Etats Unis au début des années 50, connue et pratiquée en France depuis les années 70, l'approche systémique ouvre une voie originale qui a déjà donné lieu à de nombreuses applications en biologie, en écologie, en économie, dans les thérapies familiales, le management des entreprises, etc… La prise de conscience de la complexité explique l’émergence de la Systémique. Le rationalisme analytique était suffisant pour appréhender le monde et la science mais l'appréhension d'une réalité complexe (floue, incertaine, imprévisible, ambiguë, aléatoire) se traduit par la nécessité de comprendre et d’agir dans un monde sans pouvoir accéder à toutes les informations. Le système constitue le socle sur lequel repose la Systémique. " Nous pouvons plus que nous ne savons ", Claude Bernard. Bibliographie Daniel Durand, La systémique, PUF "Que sais-je?" Autres approches :
La psychosociologie La psychosociologie est courant transdisciplinaire d'apparition récente qui rassemble des sociologues, des psychologues et des pédagogues. A la différence de la sociologie, elle ne fait pas de césure entre l'individu et le collectif et étudie les conduites humaines et les phénomènes sociaux comme des processus relationnels articulant l’individuel et le collectif. Elle appréhende l’être humain comme un être relationnel, au coeur d'un jeu d’influence mêlant des phénomènes psychiques : singularisation d’une part et socialisation d'autre part. La psychosociologie prend en compte les phénomènes affectifs et inconscients affectant les conduites et les représentations individuelles et collectives, mais également l'implication des chercheurs et des intervenants dans les questions qu'ils étudient ou par rapport auxquelles ils interviennent. Autres approches :