A Grenoble, bâtir un contre-pouvoir pour se faire entendre Formation participative par l'Alliance citoyenne à Grenoble (DR) Ils sont apparus tels des ovnis au pied des tours grenobloises de la Villeneuve, de Mistral ou celles d’Echirolles. Débarqués de la région parisienne ou de Marseille, ils ont joué les démarcheurs au pied des immeubles, s’enquérant de l’ambiance dans la cité, annonçant leur envie de lui redonner vie et d’aider ses habitants à s’organiser pour se faire entendre. Huit trentenaires –travailleur social, technicien de la politique de la ville, éducateur spécialisé, directeur de centre social– qui n’en pouvaient plus de servir les pansements sociaux sans espoir de changer les choses, ont décidé de tout plaquer et de lancer leur projet d’empowerment: espace pour des communautés et habitants organisés (ECHO) fut lancé en septembre 2010. "Tisseurs de colère" Leur idée est de s’immerger au milieu des habitants de plusieurs cités populaires grenobloises, un peu à l’image des prêtres-ouvriers des années 1960. "Formidable confiance"
Digital Engagement Framework Accueil Actualités AG Compte-rendus Evénements Régions Rhône-Alpes Zoom sur » Création de « l’Alliance citoyenne » à Grenoble: une expérience de « community organizing » à la française En cette période de préparation du prochain Congrès national des centres sociaux, dont le but est de réinterroger nos pratiques, il est particulièrement intéressant de se confronter à des initiatives émanant d’autres structures ou d’autres réseaux mais qui nous questionnent, nous bousculent ou nous inspirent, sans nécessairement y voir des modèles à reproduire. C’était l’un des objectifs de l’Université fédérale de Sangatte, notamment à travers la présence de représentants d’associations ou de réseaux « amis »: ATD-Quart Monde, les Arpenteurs ou encore Voisins & Citoyens en Méditerranée. C’est également dans ce but que nous vous avons fait partager sur ce site nos réflexions suite au colloque sur le « community organizing » co-organisé au printemps dernier à Vaulx-en-Velin par le collectif Pouvoir d’agir (dont la FCSF est membre) ou encore notre visite au Centre social autogéré de Toulouse. En quoi consiste exactement le « community organising »? Livret bilan ECHO
Démocratie et citoyenneté: la France peut-elle s'inspirer du community organizing à l'américaine? Temps de lecture: 8 min Un remède à la crise que traversent nos démocraties existe déjà. Il a été inventé aux Etats-Unis il y a plus de 70 ans et permettrait de redonner aux citoyens le goût de la politique en même temps que la capacité d'agir sur ce qui les concerne. C'est en tout cas ce que pensent certains chercheurs et militants. Au centre de leur attention: le «community organizing», une forme de mobilisation et d'organisation de la population s'appuyant sur les communautés popularisée par le sociologue américain Saul Alinsky. En 1940, cet universitaire engagé a «organisé» un quartier de Chicago en regroupant différentes communautés et permettant à ses habitants d’infléchir le rapport de force habituel et de défier les pouvoirs publics locaux aussi bien que les entreprises. Créer du conflit Et cette forme de mobilisation de la société civile est originale à plusieurs titres. De Clinton à Obama L'exception française Qu'en est-il en France? Mise en scène du contre-pouvoir Emmanuel Daniel
Saul Alinsky Signature Saul David Alinsky, né le 30 janvier 1909 à Chicago et mort le 12 juin 1972 à Carmel (Californie), est un militant et sociologue américain, considéré comme le père fondateur du community organizing[1] et un maître à penser de la gauche radicale américaine. Biographie[modifier | modifier le code] Saul David Alinsky grandit à Chicago dans une famille d'immigrés russes, juifs et pieux. L'influence de l'école de sociologie de Chicago[modifier | modifier le code] La délinquance est la conséquence de la désorganisation sociale qui est, elle-même la conséquence des désordres économiques. L'engagement avec les communistes et le mouvement syndical ouvrier[modifier | modifier le code] Saul Alinsky se politise dans les années 1930 dans le contexte de la Grande Dépression et de la montée du fascisme en Europe. Premières expériences d'organisation des communautés contre la délinquance[modifier | modifier le code] Organisation du quartier de Back of the Yards[modifier | modifier le code]
Hierarchy of Social Participation As part of the article I’m working on for the and Social Issues on using web 2.0 to promote civic discourse in museums, I’m developing an argument about the “hierarchy of social participation.” I believe that, as with basic human needs, experience design in museums (and for other content platforms) can occur on many levels, and that it is hard to achieve the highest level without satisfying, or at least understanding, those that come before it. One of the impediments to discourse in museums is that fact that designers want to jump straight from individuals interacting with content to interacting with each other. It’s a tall order to get strangers to talk to each other, let alone have a meaningful discussion. And so, I offer the following hierarchy of social participation. As always, comments are encouraged—and in this case, strongly desired as I work on refining this content for the article. Level 1: Individual Receives Content (Museum to Me) This is the level where web 2.0 sits.
Le community organizing, concrètement | Alliance Citoyenne Dans l’optique de développer des contre-pouvoirs populaires, le community organizing est une méthode d’action et d’organisation collective qui prend pour point de départ les dominations et les injustices vécues matériellement par les gens, afin de poursuivre trois objectifs. Le premier objectif, qu’on peut qualifier de pragmatique et réformiste, consiste à considérer le monde « tel qu’il est » et à mener collectivement des luttes sous forme d’action directe afin d’obtenir des améliorations dans les conditions de vie des classes populaires (comme pourrait le faire un syndicat, mais sur des terrains allant du logement à l’éducation en passant par le travail). Le deuxième objectif, qui est une véritable dynamique d’éducation populaire, va se réaliser par le fait que ces luttes menées et gagnées collectivement vont permettre de dépasser un sentiment de fatalité et une exclusion politique réelle. Ces expériences produisent déjà des résultats, mais sont encore au stade de l’expérimentation.
The Community Canvas Community participation, community development and non-formal education Contents: introduction • non-formal education and community education • competing definitions and perspectives in the contemporary context • the state and top-down v bottom-up approaches to community • programmes to promote non-formal education, community participation and development in the South – in practice • conclusions • references • acknowledgements • how to cite this piece Although community participation and community development are terms that have such current connotations, both have actually been around for some considerable time. In the post-Second World War period, community development was defined as a ‘movement designed to promote better living for the whole community with the active participation and on the initiative of the community’. This definition arose in the context of strategies to promote development in Britain’s colonies (Report of the Ashridge Conference, 1954, quoted in du Sautoy 1958: 2). Non-formal education and community education Conclusions Bibliography
Marshall Ganz On Social Change Movements Beautiful Bill Moyers interview of Marshall Ganz, who worked closely with Cesar Chavez and deeply studied movement building: Few tidbits that stood out ... "Anatomy of a movement: story, strategy, structure." Movements are distinguished from interest groups – movements have narratives (tell stories because they are not just about rearranging economics and politics; they also rearrange meaning). They are not just about redistributing the goods – they are about figuring out what is good. "Narrative stories matter -- to the heart; so also does strategy and structure. "12th century Jewish philosopher Maimonides said that hope is belief in plausibility of the possible, as opposed to the necessity of the probable. "Organizing is not about charity, but justice is working with other people in a way that respected and enhanced their agency and my own at the same time. "When you tell a public story, it becomes three stories -- story of self, story of us, and story of now.
5 Ingredients for Building Community Over the past few years, people often ask how Designer Fund has built a community of over 100 top designers including founders, leads and angels. Building and sustaining our community from the ground up hasn’t been easy. I’ve learned that you need to intentionally design a community with at least five key ingredients: Purpose, People, Practice, Place, and Progress. People naturally gravitate to communities that represent their values and beliefs. For example, Designer Fund believes the world needs better designed products and services especially in markets that traditionally lack design innovation like education, health, and energy. A purpose statement can only go so far. “There’s a universal human yearning to belong—the desire to feel welcomed, respected, and appreciated for who you are.” By definition you need people to have a community. But there’s a catch. “You need to establish strong shared practices that reinforce your community’s values.” References:
How Creative Mornings Runs Their 106 Monthly Chapters For six months in a row, I told myself I’d wake up at 6AM and get out the door to a monthly CreativeMornings event. Instead, I’d hit snooze every time, missing it and then perusing the event photos longingly a few days later. Last month, I was determined to break the cycle. So, at 8AM on February 13, I filled out my online profile, packed away some business cards, and headed out into the misty Seattle morning. As soon as I arrived, I knew why this series had captured the hearts and minds of creatives in 106 cities around the world. Later that day, I spoke with Sally Rumble, CreativeMornings’ Chief Happiness Officer, on how they’ve scaled their events and scaled the magic that comes with them. Whether you’re at a startup or established company, you may be asking yourself: how do they manage all of this? Today, Sally shares with us how the CreativeMornings team has built a global community of volunteers to spread CreativeMornings around the world. Step One: Listen To Your Members 3.
My CodeConf Talk: Your Community Is Your Best Feature Had a blast this weekend at GitHub's inaugural conference, CodeConf, where I got to give a new talk on building community around open source software based on my experience at Expert Labs running ThinkUp. CodeConf didn't record audio or video of any of the talks, so I'm posting a transcript of mine here. Enjoy. Photo by faunzy. I used to think that the process of making open source software went like this: you write software, you apply your open source license of choice to it, and you publish the source. Ta-da. Hi. Now, I've got to be upfront with you. Back in early 2009 I’d just finished a four year stint writing a web site about productivity software called Lifehacker. I only had this vague notion of what went on behind the scenes. So it’s February of 2009, and I’ve written this simple script, a to-do list manager, and posted it on Lifehacker, and people really like it, and it’s a command line tool, so it’s attracting open source hackers who have a lot more experience than I do. 1.