Dénoncez ! Depuis quelques années, nous remettons à l’ordre du jour l’intimidation et le harcèlement vécus par les jeunes. Travaillant moi-même auprès des jeunes enfants depuis maintenant 14 belles années, j’ai dû intervenir à plusieurs reprises pour régler des situations d’intimidation. Si ce phénomène est malheureusement présent chez les jeunes, il est tout aussi présent chez les adultes. Il y a maintenant quatre ans, j’ai vécu de l’intimidation et du harcèlement psychologique au travail durant deux longues années. L’enseignement a toujours été pour moi une vocation et c’était le bonheur chaque matin de me présenter à l’école pour y exercer ma passion. Après ces deux années d’intimidation et de harcèlement, j’ai pris mon courage à deux mains et j’en ai informé ma direction. À mon grand soulagement, mon directeur m’a écouté très attentivement et m’a fait comprendre que la situation était grave et qu’il allait intervenir auprès de ces enseignantes. Je demande aux victimes de ce fléau de dénoncer.
Contre le cyberharcèlement, l’Éducation nationale mise sur la prévention Vincent Peillon, le ministre de l’Éducation nationale, a lancé hier matin une campagne intitulée « Agir contre le harcèlement à l'École ». Pour l’occasion, huit mesures ont été dévoilées, dont une vise tout particulièrement les cas dits de cyberharcèlement (via les réseaux sociaux, les téléphones portables...). Explications. L’Éducation nationale diffuse des clips sur le thème "Et si on s’parlait du harcèlement ?" C’est donc un « guide de prévention de la cyberviolence entre élèves » (PDF) qu’a présenté hier le ministre de l’Éducation nationale. Ce document a vocation à aider les personnels à mieux prévenir, identifier et traiter ce phénomène. La Rue de Grenelle met en avant le chiffre de 40 % des collégiens et des lycéens qui déclarent avoir été victimes de cyberviolence au moins une fois pendant l’année scolaire. Mais que faire contre la cyberviolence ? Sensibilisation et prévention Sanctions internes ou judiciaires Le Sénat a déjà pris les devants en matière de cyberharcèlement
Le budget pour la lutte à l'intimidation victime des coupes | Daphnée Dion-Viens À la commission scolaire des Découvreurs, qui couvre le secteur ouest de Québec, la totalité du budget consacré à prévenir et combattre l'intimidation et la violence à l'école a été coupé cette année. En 2013-2014, 47 000 $ y étaient consacrés. Au primaire, un professionnel responsable de ce dossier a toutefois été embauché grâce à une autre enveloppe budgétaire, précise le porte-parole Alain Vézina, si bien que la commission scolaire considère que les coupes sont plutôt de l'ordre de 50%. M. Les sommes consacrées à la prévention de l'intimidation ont aussi été réduites dans d'autres commissions scolaires, selon une recension effectuée par Le Soleil. «Ça fait partie des choix déchirants qu'on a dû faire à cause des compressions», affirme Lorraine Normand-Charbonneau, présidente de la Fédération des directions d'établissement d'enseignement, qui estime que le discours gouvernemental est pour le moins «paradoxal». Obligation d'agir
Quelques dangers d'Internet Les jeunes forment la population la plus exposée et la plus ciblée par les prédateurs de toutes sortes sur le Net. C'est en effet un media de référence : en 2003 plus de 87% des 12/17 ans se sont connectés à Internet et le phénomène s'amplifie avec le développement de l'Internet mobile. La toile est un espace de tentation, un espace ludique mais aussi un espace à risques dans lequel ils pénètrent d'un simple clic ! La capacité d'interagir et de communiquer avec les autres est un des grands attraits qu'Internet exerce sur les jeunes. Pornographie L'accès facile qu'Internet donne à la pornographie figure parmi les principales inquiétudes des parents de jeunes internautes. en se servant d'un moteur de recherche ; lors d'une erreur de frappe en tapant l'adresse d'un site ; en cliquant sur un lien dans un mel, une messagerie instantanée ou un chat ; en utilisant les logiciels de partage de fichiers qui véhiculent beaucoup d'images et de vidéos pornographiques facilement accessibles
Accueil - Semaine contre l'intimidation et la violence à l'école intimidation ressource MELS Les formes de violence peuvent varier, mais celle-ci est présente dans tous les contextes sociaux, culturels et économiques. La violence est une manifestation intentionnelle de force qui blesse une autre personne. Les différentes formes de violence sont les suivantes : Violence verbale (insultes, cris); Violence écrite (textos et autres messages); Violence psychologique (menaces, dénigrement, rumeurs, exclusion); Violence matérielle (vol ou bris d'objets); Violence à connotation sexuelle (propos ou comportements déplacés, gênants, humiliants, etc.). Un acte de violence peut produire des effets traumatisants chez la victime, les témoins et leur entourage. Il peut être ressenti comme une agression, une menace, un geste de domination, d'oppression ou de destruction. La violence n'est pas un accident. Contrairement à l'agressivité, à la colère ou à la frustration, par exemple, la violence n'est pas une réaction première. Il faut agir contre la violence.
DIRE > Ressources pédagogiques du programme DIRE en français Affiches | Serment | Signets | Cartons d’identité | Étoile DIRE de la semaine | Dépliants | Certificat de contribution | Guides d’implantation | Articles pour infolettres | Astuces pour maintenir DIRE Affiches Les affiches de DIRE et DIRE MENTOR peuvent être imprimées et affichées dans votre salle de classe ou dans les couloirs afin de rappeler aux élèves d'utiliser les stratégies de DIRE et DIRE MENTOR au quotidien. Le serment de DIRE La bannière du serment de DIRE s'imprime sur trois pages de grandeur lettre et est accompagnée d'instructions d'assemblage. Signets Les signets DIRE peuvent être imprimés et distribués aux élèves. Cartons d’identité Les cartons d’identité peuvent être imprimés et distribués, par exemple pour identifier le bureau de chaque élève, afin de rappeler aux élèves d'utiliser les stratégies de DIRE. L'étoile DIRE de la semaine À chaque semaine, vous pouvez présenter l’étoile DIRE de la semaine à un élève qui a bien utilisé les stratégies de DIRE. Dépliants
Respecte mon corps - cartonné - Catherine Dolto, Colline Faure-Poirée Le Mot de l'éditeur : Respecte mon corps Notre corps, c'est nous-même, il faut bien y faire attention. C'est avec lui que nous pensons, parlons, bougeons et aimons. Parfois des adultes ne le respectent pas, certaines caresses sont interdites. Les Libraires Fnac parlent de Respecte mon corps Haut de page Ma sélection A Quimper, en octobre, on fait plein de bêtises "C'est pas d'ma faute", "j'ai pas fait exprès", "c'est lui c'est pas moi" ... 1070 vues | 11 éléments Imprimer Envoyer cette page à un ami
Intimidation et violence Pour visionner le bulletin d'information destiné aux parents, édition spéciale portant sur l'intimidation et la violence, cliquez ici. L'intimidation et la violence en milieu scolaire sont des sujets difficiles parce qu'ils peuvent représenter des réalités pour certains de nos élèves. La Commission scolaire des Hautes-Rivières prend très au sérieux cette question. D'ailleurs, bien avant qu'une loi ne soit adoptée, nos spécialistes travaillaient en étroite collaboration avec nos directions et avec les équipes-écoles sur le terrain pour que toutes nos interventions soient porteuses de sens et de résultats pour les victimes, les témoins et les intimidateurs. Voici quelques éléments clés à connaître sur les actions et les mesures prises à la CSDHR. Éduquer plutôt que simplement punir... À la Commission scolaire des Hautes-Rivières, nous choisissons de miser sur l'éducation et la sensibilisation plutôt que sur la punition. Prévenir et sensibiliser, c'est le bon choix et c'est payant. Livres
Cyber-harcèlement scolaire: "Les réseaux sociaux désinhibent les utilisateurs" Cela n'arrive pas qu'aux autres. 40% des élèves de collèges et lycées déclarent avoir déjà été victimes d'une agression sur internet, 6% de manière régulière, selon l'essai de Catherine Blaya, Les ados dans le cyberespace, paru en mai 2013. Afin de lutter contre l'effet "caisse de résonance" des réseaux sociaux, une campagne est lancée lundi contre le cyber-harcèlement. Elle est pilotée par l'ONG BICE (Bureau international catholique de l'enfance), l'association française e-Enfance, l'Union nationale lycéenne et le Syndicat général lycéen. Le lancement de cette campagne intervient la veille du Safer internet day ("Jour de l'internet plus sûr"), auquel participent mardi 30 pays européens. Une pétition a été mise en ligne sur le site du BICE. 10 000 signatures sont espérées, un peu moins de 800 avaient déjà été récoltées lundi après-midi. 3 à 4 suicides par an dûs au cyber-harcèlement Les réseaux sociaux peuvent-ils être tenus directement pour responsable?