Bienvenue à la version 4.0 des licences Creative Commons
Sortie d’une nouvelle version majeure des fameuses licences Creative Commons, assouplissant le droit d’auteur et mieux adaptées au partage de la culture sur Internet. Pour célébrer l’événement comme il se doit nous ne vous proposons pas une mais deux traductions issues du site officiel des Creative Commons. Dans la mesure où le sujet et les notions sont fortement juridiques, il est possible que notre traduction soit parfois sujette à caution. Nous vous invitons à signaler les potentielles améliorations dans les commentaires. PS1 : On notera que la question du droit moral, chère à la législation française, est évoquée mais nous n’arrivons pas à voir si cette nouvelle version l’impacte réellement chez nous. PS2 : Que ceci ne nous fasse pas oublier la Licence Art Libre (d’ailleurs Antoine Moreau nous annonce une excellent nouvelle sur Twitter : la compatibilité en vue entre la LAL et la CC By-Sa 4.0 !) Des licences CC de nouvelle génération — Bienvenue à la version 4.0 ! What’s New in 4.0
La Norvège offre l'accès gratuit à sa littérature publiée avant 2001
Afin de réconcilier créateurs et Internet, rapporte l'AFP, la Norvège a pris l'initiative d'offrir en ligne un accès gratuit à presque tous les livres publiés dans le pays avant 2001. Un catalogue qui comprend notamment les chefs-d'oeuvre du Nobel de littérature 1920, Knut Hamsun, ou encore les premiers romans du roi du polar scandinave, Jo Nesboe. Des dizaines de milliers de titres, toujours sous copyright, font néanmoins chauffer les scanners de la Bibliothèque nationale norvégienne avec la bénédiction des ayants droit. CC by 2.0 par jayneandd Quelque 135.000 ouvrages sont d'ores et déjà disponibles via l'étagère à livres, tandis que ce chiffre devrait grimper à terme jusqu'à 250.000. Pour chaque page numérisée et mise en ligne, la Bibliothèque nationale verse une somme prédéterminée à l'organisation fédérant les titulaires des droits, et cette dernière est chargée de redistribuer ces royalties entre ses membres.
Espace Loggia se lance dans les meubles open-source
L'avenir du meuble est-il dans l'open-source ? Après la société britannique OpenDesk, qui a lancé une plateforme de mise à disposition de plans de meubles sous licences libres, avec la possibilité de réaliser soi-même les découpes et les assemblages ou de les faire réaliser dans un atelier ou par des artisans partenaires, c'est la société française Espace Loggia qui essuie les plâtres (ou plutôt la sciure) des meubles open-source. Spécialisée dans la conception de meubles sur-mesure, fabriqués en France dans des bois nobles — un schéma radicalement opposé à la fabrication standardisée de masse d'un Ikea, Espace Loggia a lancé son projet open-source baptisé Open Loggia, qui vise à partager librement les plans de certains des meubles qu'il fabrique. Pour débuter, la société française a repris des plans de meubles conçus pour Mozilla par l'entreprise de design japonaise NODESIGNER. Mais "il ne s'agit pas de tout mettre en open-source", prévient M.
Code source de nos innovations : Brest en biens communs
Reprise du début de l’ écrituresur le wiki des codes sources de nos innovations lire la suite Résumé Les années impaires, en alternance avec le Forum des usages coopératifs, la ville de Brest propose aux acteur-ice-s soucieu-x-ses de faire connaître et d’élargir les biens communs numériques d’organiser au mois d’octobre des rencontres, débats, initiatives. En 2011 pour la seconde édition un millier de personnes ont participé à l’une des trente initiatives. Ainsi en 2013 s’ajouteront : les fablabs avec Tyfab, l’atelier numérique brestois et le Téléfab de Telecom Bretagne ; , l’Open bidouille camp, les cours massivement ouverts (MOOC), la réutilisation d’objets, les gaspillages évités, le faire soi-même, les nouvelles formes de consommation collaborative, le portail des savoirs, une copy partie par le réseau doc@brest des bibliothécaires et documentalistes, le projet Brest ville wikipedia et "Brest Creative" , le réseau de l’innovation sociale ouverte. Pourquoi Brest en biens communs ?
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