campagne_agir_contre_le_harcelement_guide_pratique_le_harcelement_entre_eleves1.pdf 07.3092 - Loi contre le harcèlement obsessionnel (stalking) Texte déposé Le Conseil fédéral est prié d'établir un cadre juridique, qui permettrait d'engager des poursuites pour harcèlement obsessionnel de manière plus large que par le passé et de combattre ce fléau plus en amont. Contrairement à la législation actuelle, il ne devrait désormais plus être nécessaire d'être victime de lésion corporelle, de menace grave ou d'autre infraction semblable pour pouvoir engager une poursuite. Développement Le terme anglais "stalking" désigne une manière d'agir complexe, qui se rapproche du mobbing, mais qui ne se manifeste pas dans le même contexte. Dans certains pays, comme aux Etats-Unis (dans l'ensemble des Etats), en Angleterre, au Pays de Galles, en Belgique ainsi que l'année passée en Autriche et en Allemagne, les pratiques caractéristiques du harcèlement obsessionnel ont été intégrées en tant qu'infractions dans un cadre juridique destiné à combattre ce fléau. Avis du Conseil fédéral du 16.05.2007
Albi. Un lycéen condamné pour cyber-harcèlement - 29/11/2013 - LaDepeche.fr Entre le désarroi de la victime, déposant en pleurs à la barre, et le malaise du prévenu, le tribunal qui examinait hier un dossier de cyber-harcèlement a largement penché en faveur de la première. Et prononcé un jugement (lire notre encadré) qui fera parler dans tous les lycées du Tarn... et pas seulement à Rascol, là où les deux protagonistes étudiaient en 2011, quand l’affaire a éclaté. Une affaire partie d’une rumeur : Laure (1), une lycéenne soi-disant peu farouche aurait tourné une vidéo porno avec un rugbyman. Des garçons de l’établissement se seraient lancé le pari (stupide avouons-le) de récupérer cette vidéo. Mais Serge (1), 21 ans, était seul à comparaître hier, poursuivi pour «usurpation de l’identité d’un tiers ou usage de données permettant de l’identifier en vue de troubler sa tranquillité ou celle d’autrui ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération». Pourtant, «cette vidéo n’a jamais existé» rappelle la présidente Brigitte Schildknecht. Le jugement
Stop Saying Bullying Causes Suicide | Deborah Temkin Like many, I was saddened to read the latest headlines about two girls -- one from Florida and one from Louisiana -- who died by suicide earlier this month. While their families, friends, and communities grieve, the battle cry has started once again - "we must stop bullying because that's what caused these young girls' deaths." When headlines were made in September 2010 with a string of five young men who died by suicide seemingly because of bullying, the latest era of bullying prevention and anti-bullying campaigns was launched around this very fear -- bullying causes suicide so we must prevent bullying. But there's a problem. The more we insist that bullying is the "cause" behind these suicides, the more we lose sight of the other factors that also likely played a role; and the more we insist that suicide is the "normal" outcome of bullying, the more we may actually be driving kids to that very idea. Don't get me wrong, of course we know that bullying is a factor in youth suicide.
Rebecca, 12 ans - Poussée au suicide par ses camarades Rebecca Sedwick, une jeune Américaine de 12 ans, s’est suicidée en septembre dernier. Elle était harcelée depuis un an par deux de ses camarades, qui ont été arrêtées lundi. Rebecca Sedwick n’avait que 12 ans et l’avenir devant elle. Mais une simple histoire de garçon a fait basculer la vie de la collégienne. En septembre dernier, la jeune fille scolarisée à Lakeland, en Floride, s’est suicidée en se jetant du haut d’un immeuble. Après plusieurs semaines d’enquête, les policiers ont arrêté deux adolescentes, responsables selon eux de son mal-être. Dès le mois de décembre, les premiers signes de harcèlement ont été constatés. Lorsqu’ils ont inspecté le téléphone et l’ordinateur de Rebecca, les enquêteurs ont découvert de nombreux messages violents l’incitant à se tuer. "J’ai harcelé Rebecca et elle s’est suicidée, mais je n’en n’ai rien à foutre" Le matin du 10 septembre, l’adolescente n’est pas montée à bord de son bus scolaire.
Agée de 12 ans, elle est interdite de Facebook par le tribunal - Juriguide.com La jeune fille dont le nom n’a pas été dévoilé avait annoncé sur sa page Facebook vouloir « étrangler » deux de ses camarades âgées de 13 ans. Etant donné que ce type de menaces est de plus en plus pris au sérieux par les familles et les autorités, la mère de l’une des deux victimes a alerté la police. Derrière ces menaces, selon le témoignage de la jeune fille qui a avoué les faits, il y aurait une histoire de cœur. Son petit-ami l’aurait trompée avec une de ces deux camarades ce qui aurait conduit à la publication, sur son mur, de ce statut : « Vous ne savez pas à quel point j'ai envie de vous étrangler, les filles!!! Le passé de la jeune fille n’a pas joué en sa faveur.