That Appalling Seralini GMO Cancer Paper Has Been Withdrawn As my colleague Jon Entine notes that seriously bad paper claiming that GMO crops gave lab rats cancer by Seralini et al has been withdrawn. In a stunning development, Food and Chemical Toxicology, which last year published the controversial rat study by Gilles-Éric Séralini that claimed to show that genetically modified corn could lead to a high incidence of cancer will be retracted and evidence of it expunged from the journal’s database. The editor of the journal, A. Wallace Hayes, sent the French scientist a letter saying that the paper will be withdrawn if he does not agree to do it voluntarily. According to Le Figaro, which broke the story, Séralini rejected Hayes’ findings. Excellent news: when it first came out I was highly critical of it. The argument was quite simple. And that company does not keep GMOs, including Roundup Ready corn, out of its supply chain.
OGM: les super mauvaises herbes contre-attaquent Aux États-Unis, la vente d’herbicides a augmenté de 26 % entre 2001 et 2010. Principalement dans les cultures OGM, les agriculteurs n’obtenant pas les résultats promis avec les graines génétiquement modifiées. Alors qu’en France, le débat sur les OGM s’intensifie après la décision du Conseil d’État de suspendre l’interdiction de cultiver le maïs transgénique de Monsanto, puis celle de François Hollande de prolonger le moratoire sur ces semences, aux États-Unis, un rapport vient apporter de l’eau au moulin des anti-OGM. Quelques années seulement après la mise sur le marché des semences de Monsanto Roundup Ready, génétiquement modifiées pour être résistantes à un pesticide, le Roundup (également vendu par Monsanto), « les mauvaises herbes ont développé une résistance au glyphosate (le principal composant du Roundup Ready) et les agriculteurs se sont mis à appliquer de plus en plus d’herbicides : la consommation totale d’herbicides a augmenté de 26 % entre 2001 et 2010 », y lit-on.
OGM : rebondissements dans l’affaire Séralini Étude de Séralini et al. sur les rats nourris au maïs NK 603 : après la manipulation médiatique, l’intimidation judiciaire !Par Anton Suwalki. Dans la catégorie de la mauvaise science et des études nullissimes, celle de Séralini et al. sur les rats nourris au maïs NK 603 est sans doute exemplaire. Mais ce qui l’a rendue vraiment exceptionnelle, c’est l’extraordinaire mise en scène médiatique dont se sont entourés ses auteurs pour prendre en otage l’opinion publique et tenter de verrouiller la critique scientifique. Pour autant, les scientifiques ont fait leur boulot. Les optimistes qui, devant ces saines réactions, pouvaient espérer la page tournée doivent maintenant déchanter. 1/ Un formidable coup de bluff : Le CRIIGEN se réjouit de la confirmation des recherches de l’équipe du Pr. 2/ Le CRIIGEN a remis « solennellement » à un huissier les données brutes de l’étude. 3/ Le CRIIGEN annonce enfin qu’il va recourir une nouvelle fois à l’intimidation judiciaire. Quel crime ! Mais oui, M.
OGM : Lepage et Seralini veulent faire taire «Marianne» Paolo Giovannini/AP/SIPA Du même auteur Ainsi donc, pour Corine Lepage, présidente d’honneur et fondatrice du Criigen (Comité d’information indépendante et de recherche sur le génie génétique) et le directeur scientifique de son association, Gilles-Erice Seralini, auteur d’une étude très controversée sur la toxicité de l’OGM Monsanto NK 603, il y aurait de bons et de mauvais journalistes. Ceux qui abondent dans leur sens et qui méritent d’être loués publiquement, et ceux qu’ils poursuivent devant la justice au motif qu’ils portent un regard critique sur leurs publications.
Gilles-Eric Séralini : l'homme aux rats Les photos de ses rats aux tumeurs grosses comme des oranges ont fait le tour de la planète. Gilles-Eric Séralini a gagné. Comment ne pas être glacé d'effroi, à la vue des difformités de ces animaux sur lesquels le biologiste a testé les effets d'un régime à base de maïs transgénique et de désherbant ? Lundi 19 novembre, l'audition publique organisée par l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques n'a pas tranché la controverse. En même temps que ces rongeurs dénaturés, la France, le monde ont découvert, sur les plateaux de télévision, le visage de l'"homme aux rats". Dans la rue, les passants l'interpellent.
OGM: Séralini publie une liste de soutien de 193 scientifiques internationaux L'organisme de recherche sur les OGM dont le professeur Gilles-Eric Séralini est un membre-clé, le Criigen, a publié vendredi dans un communiqué une liste d'environ 190 noms de "scientifiques internationaux" de "33 pays" qui "apportent leur soutien" à l'étude controversée du chercheur. Ces personnes ont "témoigné de leur soutien à l'étude en envoyant une lettre souvent très argumentée, soit au Criigen, soit directement à la revue scientifique qui a publié l'étude" sur le maïs NK603 et le RoundUp, affirme l'organisme, dont l'eurodéputée Corinne Lepage est présidente d'honneur. En pièce jointe du communiqué envoyé par mail, le Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen) publie un document intitulé "soutien au Pr Séralini: 193 signataires de 33 pays" suivi d'une liste de noms et de centres de recherche. "Il y a aussi des gens qui ont participé à la rédaction mais n'ont pas signé par crainte de conséquence pour leur carrière.
Faut-il considérer les OGM comme des poisons ? - Sciences Peekaboo - Rat sortant de son nid de laine Pockafwye © Via Flickr - CC Le 19 septembre 2012, Gilles-Eric Séralini et son équipe publient un article dans la revue Food and Chemical Toxicology montrant que des rats soumis, pendant toute leur vie, c’est à dire deux ans, à un régime alimentaire comprenant des OGM et de l’herbicide Round Up ont développé des tumeurs spectaculaires. Le même jour, l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur met ce sujet en couverture sous le titre : « Oui, les OGM sont des poisons ». Une campagne de communication sans précédent se déclenche alors avec la publication, le 26 septembre, du livre de Gilles-Eric Séralini sous le titre « Tous cobayes, OGM pesticides, produits chimiques » chez Flammarion. Le même jour, sort au cinéma un documentaire de Jean-Paul Jaud intitulé « Tous Cobayes » qui sera diffusé sur France 5 le 16 octobre. Cap21photo © via Filckr CC Questions : Que reste-t-il du titre provocateur du Nouvel Observateur : « Oui les OGM sont des poisons ? Invités :
Faut-il considérer les OGM comme des poisons ? - Sciences Peekaboo - Rat sortant de son nid de laine Pockafwye © Via Flickr - CC Le 19 septembre 2012, Gilles-Eric Séralini et son équipe publient un article dans la revue Food and Chemical Toxicology montrant que des rats soumis, pendant toute leur vie, c’est à dire deux ans, à un régime alimentaire comprenant des OGM et de l’herbicide Round Up ont développé des tumeurs spectaculaires. Le même jour, l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur met ce sujet en couverture sous le titre : « Oui, les OGM sont des poisons ». Une campagne de communication sans précédent se déclenche alors avec la publication, le 26 septembre, du livre de Gilles-Eric Séralini sous le titre « Tous cobayes, OGM pesticides, produits chimiques » chez Flammarion. Le même jour, sort au cinéma un documentaire de Jean-Paul Jaud intitulé « Tous Cobayes » qui sera diffusé sur France 5 le 16 octobre. Cap21photo © via Filckr CC Questions : Que reste-t-il du titre provocateur du Nouvel Observateur : « Oui les OGM sont des poisons ? Invités :
Les OGM, autour de l’affaire Séralini Avec : Frédéric Jacquemart, membre du Haut conseil sur les biotechnologies ; Christophe Noisette, d’Inf'OGM, veille citoyenne sur les OGM ; Yves Bertheau, directeur de recherche à l'Inra de Versailles et coordinateur du programme européen CoExtra et Chantal Gascuel, agricultrice. Jacquemart, F., "Expertise des OGM : l'évaluation tourne le dos à la science", édition Inf'OGM, octobre 2012, A4, 60 pages, 6 euros ETC Group : Le gouvernement mexicain s'apprête à autoriser la plantation massive de maïs transgénique (communiqué en anglais) Exceptionnellement il n’y a pas de revue cette semaine, mais vous pouvez toujours suivre l'actualité environnementale sur le site suivant :
Pas de risque sanitaire avec les OGM autorisés en Europe À Parme L'Agence européenne de sécurité des aliments (Efsa), qui fête cette semaine ses 10 ans, a été créée en 2002, au lendemain de la crise de la vache folle, pour mettre la science au cœur de l'évaluation des aliments consommés dans l'Union européenne par les hommes ou les animaux d'élevage. Basée à Parme, l'Efsa est pourtant critiquée, notamment par certaines ONG, pour son «manque d'impartialité», son «opacité» ou ses «lacunes», en particulier depuis la publication, il y a deux mois, de la fameuse étude Séralini sur les OGM. LE FIGARO. - Le Pr Séralini, auteur de l'étude controversée sur la dangerosité du maïs transgénique NK603, qui a fait sensation, accuse l'Efsa de cacher des données. Catherine GESLAIN-LANÉELLE. - Nous ne cachons rien. Pourquoi l'Efsa n'impose-t-elle pas des études à long terme sur les OGM? De telles études ont déjà été menées, certes pas sur le maïs NK603, mais sur d'autres plantes transgéniques, et aucune n'a montré un risque sanitaire. » Qu'est-ce qu'un OGM?
Les OGM des poisons ? L’étude de Séralini est clownesque ! | Rue89 Planète Près de deux mois après la parution de l’article de Gilles-Eric Séralini portant sur la toxicité supposée d’un OGM – ou plus exactement une PGM, plante génétiquement modifiée – dans la revue Food and Chemical Toxicology, il est possible de tirer un premier bilan de tout ce qui a été écrit à ce propos. C’est donc une sorte d’étude bibliographique qui est proposée dans cet article, avec toutes les références permettant au lecteur de se documenter plus en amont s’il le désire. Nous ne reviendrons pas ici sur la forme prise par la publication et sa publicité, qui ont été un vrai déni de science. Les auteurs se sont en effet arrangés pour éviter toute critique de l’article avant que les images, choquantes, et les raccourcis journalistiques de certains médias, hasardeux, ne suscitent l’effroi populaire et annihilent ainsi tout débat serein. Mais faisons fi de tout cela pour nous intéresser au fond de cette publication, la seule chose qui importe sur le plan scientifique. L’article P.
OGM : la guerre secrète pour décrédibiliser l’étude Séralini | De l’intérêt du conflit Des grains de maïs MON810, génétiquement modifiés, produits par Monsanto, lors d’une manifestation anti-OGM à Trèbes, près de Carcassonne, le 23 janvier 2012 (ERIC CABANIS/AFP) Pour enterrer définitivement l’étude controversée du professeur Gilles-Eric Séralini tendant à démontrer la nocivité potentielle d’un maïs OGM et de l’herbicide Roundup,ses détracteurs ont trouvé un moyen simple : obtenir de la très sérieuse revue Food and Chemical Toxicology (FCT) qui l’a publiée, qu’elle se rétracte et « retire » l’étude de la liste de ses publications. C’est à quoi s’emploient de nombreux experts, dans une bataille qui ressemble à une opération savemment orchestrée. Une véritable guerre de relations publiques où tous les coups sont permis. La revue scientifique a publié en ligne une vingtaine de lettres de détracteurs ainsi qu’une « réponse aux critiques » rédigée par l’équipe Séralini. La tactique de ces partisans de la biotechnologie ? Un réseau international P. Des conflits d’intérêts masqués
Les dessous des OGM Les OGM sont des organismes génétiquement modifiés, sous-entendu par l'homme. Les OGM microbiens sont utilisés depuis des décennies en biologie pour soigner l'homme. L'insuline actuellement procurée aux diabétiques est produite par des OGM. Par ailleurs, certains hommes sont même en train de devenir des OGM eux aussi, puisque la thérapie génique, qui consiste à changer le répertoire génomique des humains, a commencé en France, en 1989, à l'hôpital Necker, sous l'impulsion du professeur Fischer. Plus précisément, il s'agit d'introduire chez le patient la copie normale d'un ou de plusieurs gènes déficients qui sont les causes de sa maladie ou encore de modifier l'expression des gènes délétères impliqués dans une pathologie. Les OGM qui font régulièrement polémique, ce sont les plantes génétiquement modifiées. Données scientifiques Conflit d'intérêts La deuxième question mérite réflexion. (1) Seralini GE, Clair E, Mesnage R, Gress S, Defarge N, Malatesta M, et al.