Identité virtuelle ou égo, selon Laurent Martinez - petit moi, moi, identification, soi, grand soi Ce que j'appelle identité virtuelle (ou égo) est pour moi un élément très précis de l'expérience humaine ; la mienne directement et aussi mon expérience à aider les autres humains. Par la pratique de l'échelle émotionnelle, il est possible de trouver, comme fondement de toute émotion, une croyance identitaire qui pose un attachement vital à quelque chose. C'est l'identité virtuelle, c'est l'égo ! C'est le "moi" mental ! C'est une abstraction de moi-même, une pensée à laquelle je suis identifié. La notion d'égo est très souvent évoquée mais il est rare qu'un humain sache concrètement ce qu'est son égo. Cette croyance identitaire est rarement consciente et donc encore plus rarement assumée. Dans mon expérience, nous avons tous, tant que nous vivons des émotions, une, deux ou trois de ces "phrases fondamentales" qui basent notre personnalité. Ceci est une présentation du concept tel que je l'utilise. copyleft 2012 Laurent Martinez - licence art libre
la conscience vibratoire Traduction française:linda@mayanmajix.com Il est recommandé que nous commencions et terminions chaque journée avec cette pratique – en l'utilisant comme moyen concret pour nous aligner consciemment avec le point Source de la vie: Le flux vibratoire qui nous traverse ainsi que toutes les manifestations que nous appelons "Création". La méthode vibratoire qui est offerte ici n'est ni religieuse ni spirituelle – il s'agit simplement d'un mécanisme de perception qui respecte la manière dont l'expérience humaine se manifeste extérieurement à partir de sa propre source. Grâce à l'application de cette méthode, nous pouvons développer nos capacités à travailler délibérément avec le flux naturel de notre conscience tandis qu'elle se déplace vers le monde extérieur et également vers l'intérieur jusqu'au point suprême de notre source originelle. Asseyez-vous confortablement, les jambes croisées ou sur une chaise, le dos droit, mais détendu. Assurez-vous que vous n'avez pas froid. Michael Brown © cv8vd
Transurfing de Vadim Zeland Transurfing, les cinq livres (les trois derniers ne sont pas encore traduits en français) de Vadim Zeland, deviendront indubitablement la cause de nombreux débats, car il est difficile de trouver d’autres ouvrages contenant autant d’idées choquantes et innovantes. Ces livres ouvrent la porte d’un monde bizarre où la réalité, révèle chaque jour des facettes qui ne vous sont pas familières. Beaucoup de questions sur la vie quotidienne sont perçues d’un point de vue absolument nouveau. Vous tous, d’une manière ou une autre, vous trouvez piégés par les circonstances : désirs non accomplis, rêves jamais devenus réalité. Vous ne devez pas lutter pour atteindre vos objectifs, car tout ce que vous désirez vous l’obtiendrez sans aucun effort. Incroyable ? En dépit de la fantastique nature des idées présentées dans ce livre, elles étaient déjà mises en pratique. Il existe un cercle exclusif de personnes qui ont réussi au travail, en science, art et sport. Difficile à croire, n’est-ce pas ?
24. "Même si je ne pense pas, je suis" Par la répétition perpétuelle, lassante parfois, l’hémisphère gauche, qui est peu patient, finit par capituler et, soudain, un nouveau mode d’expression apparaît. Le texte d’Eugen Herrigel : "Le Zen dans l’art chevaleresque du tir à l’arc." est exemplaire sur ce point. Ce petit livre court écrit par un Hollandais décrit le combat douloureux d’un intellectuel européen qui essaye de comprendre avec la raison ce que lui enseigne Maître Awa, jusqu’au jour où, lassé de ses multiples échecs, il renonce à trouver une explication et effectue le tir sans pensée. Le tir est parfait, le Maître salue. "Même si je ne pense pas, je suis" Itsuo Tsuda. Conscients que l’essor très rapide du Japon vers les valeurs de la société occidentale risquait de faire disparaître une connaissance issue de plusieurs siècle de pratique, les grands maîtres japonais ont exhorté leurs élèves à transmettre l’enseignement qu’ils avaient reçu hors du Japon, et notamment en Europe et aux États-Unis .
La fonction « pause » du cerveau -- La Science de l'Esprit Lorsqu'un événement extérieur se produit, une zone du cerveau se déconnecte pour ne pas perturber le réseau qui assure les fonctions cognitives, comme le raisonnement ou le langage. © Will Foster / Flickr / CC Quand un événement extérieur sollicite notre attention, on pourrait s'attendre à une mobilisation générale de tous les neurones de notre cerveau. Pas du tout ! Au contraire même, un grand nombre d'entre eux se mettent carrément en veille. C'est la découverte très surprenante effectuée par une équipe de chercheurs de l'Inserm dirigée par Jean-Philippe Lachaux et Karim Jerbi (Centre de recherche en neurosciences de Lyon). Surprenante, en effet, car cette zone du cerveau qui disjoncte ainsi brutalement était réputée, jusqu'ici, fonctionner sans trêve ni relâche. Brutale déconnexion Depuis longtemps, le "réseau par défaut", identifié par Marcus Raichle en 2001, fascine les chercheurs, car il manifeste une activité lorsque son propriétaire semble au repos total. Pause salutaire