L’ACTIVITÉ PHYSIQUE, UN ANTIDÉPRESSEUR NATUREL? "L'activité physique serait un traitement plus efficace que les anti-dépresseurs pour les dépressions légères et modérées." C’est ce que révèle un article de la Coop Santé de l’Université de Sherbrooke. La sérotonine est un messager chimique du système nerveux central impliqué dans plusieurs fonctions physiologiques comme le sommeil, l’agressivité, les comportements alimentaires et sexuels, ainsi que dans la dépression. La sérotonine est le baromètre de nos états d'âme, quand le taux dans le cerveau est élevé, nous sommes de bonne humeur, quand il est bas, nous sommes déprimés. En effet l'activité physique boost la sécrétion de la sérotonine. La sérotonine intervient sur la joie de vivre, la confiance en soi, elle régule le sommeil, l'humeur, l'appétit, la libido et la température du corps. Bien que le système nerveuxentérique soit en interaction avec les autres parties du système nerveux autonome, il fonctionne de façon indépendante des autres centres nerveux. - détente musculaire l'ACH
Faire du sport : comment notre corps réagit organe par organe SPORT - Que vous fassiez du sport pour perdre du poids, pour vous remettre en forme, ou – va-t-on oser le dire ? – juste pour le plaisir, cette pratique vous change. Il y a le visage rouge et la sueur, le cœur qui bat la chamade et les poumons qui pompent, votre vigilance et votre humeur qui s'améliorent, cet empressement qui n’existait pas auparavant de ne parler que de grand écart, de tours de piste, et de record personnel. Mais si nous savons tous que rester physiquement actif est essentiel pour avoir une vie longue, saine et productive, nous ne savons pas exactement ce qui se passe dans notre corps. Lire aussi:» 8 bienfaits étonnants du sport » BLOG De l'exercice physique, oui, mais pas trop quand-même! Nous avons demandé à des experts de nous expliquer – de la tête aux pieds – ce qui se passe dans notre corps quand nous faisons de l’exercice. Les muscles Il utilise aussi l’adénosine-triphosphate (ATP), mais le corps n’a que de petites réserves d’ATP et de glucose. Les poumons Le cœur
La chimie du cerveau | Les bases en neuropédagogie et neuroéducation | Neuropédagogie et neuroéducation Le cerveau est un lieu où se produisent de nombreuses réactions chimiques. Celles-ci sont influencées par nos actes comme notre environnement (nourriture, activités physiques, etc.), qui modifient à leur tour nos émotions, comportements, capacités cognitives et même ce que nous pensons ! Neurotransmetteurs, neuromodulateurs et hormones influencent donc considérablement notre vie. Les neurotransmetteurs, appelés également neuromédiateurs, sont des produits chimiques synthétisés (créés) par le cerveau. Les neuromodulateurs sont aussi des substances chimiques synthétisées par le cerveau, mais leur rôle se limite à moduler (modifier) la libération des neurotransmetteurs ou la sensibilité des récepteurs. Les hormones sont des molécules sécrétées par une glande. 1. L'acétylcholine est un neurotransmetteur qui influence la mémoire à long terme, la motivation, l'attention ou encore l'agressivité. 2. 3. La solitude augmente considérablement le taux de cortisol selon Lyons & Levine, 1994. 4. 5.
Endorphines, sport et dépendance - le-sport-et-les-endorphines.overblog.com Cette dépendance n'est par ailleurs pas due qu'aux endorphines bien que ces dernières y participent fortement. En outre, depuis 1999 il est possible pour une personne sportive de vérifier si elle est dépendante ou non grâce à un test d'addiction ( présenté ci-dessous). Running Addiction Scale (Champan et Castro, 1990) Bibliographie Bryan Kolb et Ian Q. Whishaw. M. Patrick Crettenand Phyréa. Bruno Dubuc. Dr Claire Condemine-Piron. Valérie Caron Laidez, La dépendance à l'effort [en ligne].juin 2010, mis à jour en juin 2012 [consulté le 02/01/13]. Priorité Santé Mutualiste, La dépendance au sport : une addiction comme les autres. MoroccanTriathlonTv, La bigorexie résume l'addiction au sport. Chimie, biochimie et biochimie moléculaire 1ere année, Santé, omnisciences, 704 pages, de Bernard Sablonnière, dépôt légal : juillet 2010, ISBN : 978-2-916097-27-5 Biochimie Médecine-Sciences, Flammarion, 5eme édition, de Lubert Stryer, Jeremy M.Berg, John L.Tymoczko, ISBN : 2-257-17116-0
Les effets du sport sur le cerveau Pourlascience.fr Cerveauetpsycho.fr Blogs Archives Mon compte Je m'abonne Panier (0) Article : Les effets du sport sur le cerveau Cet article a bien été ajouté à votre panier. Continuer ma visite Voir mon panier Article intégral en PDF Téléchargez cet article 2 pages - 341.1 Ko Télécharger Abonnez-vous ! Je m'abonne Achetez ce numéro Cerveau&Psycho n° 86 mars 2017 Voir le sommaire Acheter Restez informé de toutes nos parutions en vous inscrivant à nos newsletters AddThis Sharing Buttons Share to TumblrShare to Facebook10.6KShare to TwitterShare to ImprimerShare to Plus d'options...98 Sur le même thème Mots-clés Cerveau Sport Neurones Hippocampe Cortex Corps calleux Dopamine Anxiété Attention Mémoire Matière blanche Stress Thèmes Comment gérer son stress L'entraînement cérébral Le sport Les troubles de l'attention Articles Neurobiologie € Quand le sport muscle le cerveau Quel est le meilleur moyen de rester vif intellectuellement ? Neurobiologie Les troubles du transport du cholestérol reliés à la maladie d’Alzheimer
La régulation de la glycémie Le glucose est une molécule essentielle pour le fonctionnement cellulaire car elle est la principale source d'énergie. Fournie par l'alimentation, elle pénètre dans l'organisme au niveau de l'intestin et est distribué dans tout l'organisme grâce au sang. La concentration de glucose dans le sang (la glycémie), chez une personne en bonne santé, est toujours comprise entre 0.8 et 1.2 g.L-1 dans le plasma sanguin. I. La glycémie (= concentration de glucose dans le sang) est sans cesse remise en question au cours d’une journée, mais est aux toujours comprise entre 0.8 et 1.2 g.L-1 dans le plasma sanguin, c'est l'homéostasie glycémique. A) Après un repas, la glycémie augmente transitoirement Après les repas chez une personne en bonne santé, le glucose provenant de la digestion des glucides de l'alimentation traverse les parois de l’intestin avec les autres nutriments et passe dans le sang (au niveau de villosités intestinales). Glycémie au cours d'une journée chez une personne en bonne santé
Les hormones de la course à pied - Smilesrun Lorsqu’on court, notre corps secrète en quelques minutes une multitude d’hormones. Ces hormones ont différents effets sur le corps et sur la psychologie du coureur. Explications du docteur Sébastien Le Garrec, médecin du sport à l’INSEP. Les endorphines : antidouleur et euphorie Le premier effet d’une bonne séance de running, c’est une sensation agréable de bien-être. Celle-ci survient pendant l’activité et se prolonge même après la séance ! Cette sensation est due à la production d’endorphines, un groupe de neurotransmetteurs dont la structure est très proche de la morphine et qui constitue un puissant antidouleur. La dopamine : plaisir et vigilance Outre les endorphines, le sport contribue à stimuler la production de dopamine, l’hormone du plaisir et de la vigilance, qui diminue aussi la sensation de fatigue. “Le sport contribue à stimuler la production de dopamine, l’hormone du plaisir et de la vigilance, qui diminue la sensation de fatigue.
Des molécules essentielles Les 6 super-neurotransmetteurs de votre cerveau Les neurotransmetteurs suivants sont les plus importants du cerveau pour le contrôle qu’ils exercent sur les neurones. Ce sont aussi les plus étudiés, et ceux qui sont le plus souvent la cible des molécules naturelles (nutrition) ou de synthèse (médicaments). Acétylcholine : le mémorisateur L’acétylcholine est le seul neurotransmetteur majeur qui n’est pas fabriqué à partir d’un acide aminé (constituant de base des protéines). Il est synthétisé à partir d’une substance de l’alimentation, la choline, et de la forme active de l’acide pantothénique (vitamine B5). L’acétylcholine est un neurotransmetteur « à tout faire » qui intervient dans le contrôle des mouvements, y compris le pouls, ainsi qu’une multitude de fonctions physiologiques. Pour résumer, l’acétylcholine commande la capacité à retenir une information, la stocker et la retrouver au moment nécessaire. Pour favoriser la synthèse de l'acétylcholine Dopamine : le moteur Pour favoriser la synthèse de dopamine GABA : le relaxant