Kiabi Shopping Connect : Facebook et technologie RFID au service du shopping connecté
Le projet de mettre en place des dispositifs Facebook dans les lieux physiques de Kiabi est issu d’unepremière collaboration entre Kiabi, véritable référence régionale du marché de la mode à petits prix, etHobbynote, la start-up lilloise spécialisée dans le développement d’applications sur Facebook. Ce projet est donc l’initiative de deux entreprises du Nord-Pas-de-Calais. Conscientes du potentiel viral et social qu’offre Facebook, les deux entreprises se sont associées une nouvelle fois afin de donner un tout nouveau sens au Shopping connecté, mais il s’agit surtout de l’opportunité d’offrir à la clientèle de Kiabi une expérience d’achat unique et jusque-là inédite en France. Aujourd’hui, les internautes fervents du shopping en ligne souhaitent pouvoir communiquer facilement avec leurs amis, ils ont envie de partager leurs trouvailles et surtout veulent être recommandés, guidés et accompagnés par leurs proches durant leur expérience d’achat. Première étape : se rendre au magasin
Les 10 entreprises qui trustent les marques alimentaires (1) !
On connaît tous nombre de grandes marques de produits alimentaires et de consommation courante, certaines françaises et bien d’autres avec des noms à consonance étrangère. Quelquefois, on ne s’en doute pas, mais elles appartiennent à un même groupe. A y regarder de plus près, on se rend d’ailleurs compte que la majorité de ces marques sont propriété d’une poignée de grands groupes agro-alimentaires. 10 entreprises dominent ce marché et possèdent la plupart des marques connues ! Dans le but d’être le plus précis et synthétiques possible, les marques montrées ci-après sont celles qui sont commercialisées en France. Truster = monopoliser, accaparer Nestlé est la 1ère entreprise agro-alimentaire du monde au point de vue chiffre d’affaires (74,4 milliards d’euros en 2012)1. Ce groupe dépense 354 millions d’euros en marketing, tandis que 179 millions sont dédiés aux activités du groupe. Le saviez-vous ? > Suite : Unilever
Stromae, l'affaire marketing à suivre
Stromae a bluffé la Belgique avec la stratégie marketing entourant la sortie de "Formidable". Stromae, une stratégie marketing à l’ère des réseaux sociaux? Claire Gruslin, Assistant Professor in Marketing à HEC-Ulg Parler d’un jeune artiste belge de 28 ans pour converser de stratégie marketing, c’est quelque chose qui ne se refuse pas… Dans une industrie musicale se relevant de la crise du disque de 2003, Stromae a su créer la « disruption » par sa capacité d’innovation et son intelligence marketing en déployant une belle maîtrise des nouveaux « business modèles » du marché du disque (ventes numériques, téléchargement internet, streaming, réseaux sociaux...) et en exploitant une redoutable stratégie SoLoMo (social, local, mobile) créant le buzz autour de ses chansons avant leurs sorties officielles et entretenant une relation directe avec son public en ayant recours aux medias de son temps. La recette marketing telle que pratiquée par Stromae repose ainsi sur des leviers forts:
Les MDD en déclin condamnées à innover (étude)
Les marques de distributeurs (MDD) marquent le pas en France, subissant une érosion lente depuis 2011 et enregistrant une nouvelle année de stagnation en 2013, autour des 30% du marché des produits de grande consommation (PGC), selon deux études publiées vendredi 17 janvier. Selon les données du panéliste IRI, fin novembre 2013, les MDD représentaient 29,5% du chiffre d'affaires et 40% des volumes des PGC vendus en grande distribution. Elles représentent par ailleurs environ 26% de l'offre de produits présentée dans les linéaires des hyper et supermarchés français. Une érosion constatée début 2011 Selon le cabinet Nielsen, qui a inclus dans son étude le drive (récupération de commandes passées sur internet) en plus des circuits traditionnels, les MDD comptent pour 34,8% en valeur des PGC en France, contre 43,1% aux Pays-Bas, 39% en Espagne et en Allemagne. Entre 1997 et 2007, elles étaient pourtant passées de 18% du marché à 29%. Guerre des prix Miser sur l'innovation (avec AFP)
Kinder Bueno, un grand appétit pour la petite faim - Benoît Jullien
Revue des marques : numéro 78 - avril 2012 17 %de croissance en 2011, ce n'est pas si fréquent pour une marque déjà vieille de vingt ans et dans une conjoncture a priori peu propice. Explications sur les ingrédients d'une recette commerciale à succès. Benoît Jullien La marque de Ferrero est désormaisleader des barres chocolatées en France Kinder Bueno a connu une croissance remarquable sur ces dernières années" résume Céline Geais, chef de groupe chez Ferrero France, "en s'appuyant sur des atouts qui lui ont permis de se développer au-delà de son marché de référence". Dans l'univers des produits dits de "petite faim" dont elles représentent 8 % des volumes, les barres chocolatées affichent de loin les meilleures performances, devant les barres de céréales (1,4 % de l'ensemble, seulement, +3,3 %), les viennoiseries fourrées (4,6 %, +1,5 %) et les deux mastodontes que sont les biscuits (54,8 %, +1,3 %) et les pâtisseries fourrées (31,2 %, +1,3 %). Une barre pour adulte, moderne et légère
Moins de succès pour les MDD
Deux études et même son de cloche : les marques de distributeurs marquent le pas en France, subissant une érosion lente depuis 2011 et enregistrant une nouvelle année de stagnation en 2013, représentant autour des 30 % du marché des produits de grande consommation. Selon les données du panéliste IRI, fin novembre 2013, les MDD représentaient 29,5 % du chiffre d’affaires et 40 % des volumes des PGC vendus en grande distribution. Elles représentent par ailleurs environ 26 % de l’offre de produits présentée dans les linéaires des hyper et supermarchés français. Selon le cabinet Nielsen, qui a inclus dans son étude le drive en plus des circuits traditionnels, les MDD comptent pour 34,8 % en valeur des PGC en France, contre 43,1 % aux Pays-Bas, 39 % en Espagne et en Allemagne. Mais depuis 2011, « on assiste à une légère érosion qui se confirme encore en 2013 » a indiqué Catherine Goudounèche de chez IRI.
Comment définir une stratégie de communication en ligne
Articles en lignes, communiqués enrichis, salles de presse virtuelle, réseaux sociaux, publicité Pay Per Clic, publicité Display, SEO, référencement, pages Facebook, compte Twitter, compte Linkedin, chaîne YouTube, Internet mobile, applications, e-réputation … j’arrête l’énumération avant que Google ne me prenne pour un spammeur. Gentil Google. Pourtant, ces sujets et bien d’autres encore traversent l’esprit d’un responsable de la communication ou du marketing lorsqu’on lui parle d’une stratégie de communication en ligne. Autant de sujets à prioriser, coordonner et justifier en termes de retours sur investissement. Habituellement, je préfère m’appuyer sur des rapports et des études que sur des citations fumeuses pour argumenter mes billets. Mais celle-ci fera exception puisqu’elle décrit parfaitement le sujet. Une stratégie sans tactiques est le chemin le plus lent vers la victoire. Yeah! Mais poussons plus loin. En d’autres termes, quel est l’objectif de votre présence en ligne? J'aime :
Shell, GDF Suez et Samsung, cancres du développement durable
En vitrine, elles tiennent un discours vertueux sur le développement durable. Mais en coulisses, elles adoptent des comportements et des pratiques néfastes pour l'environnement et les droits sociaux. Elles, ce sont les entreprises Shell, GDF Suez et Samsung. Elles ne sont pas les seules — loin s'en faut — mais les pires, aux yeux de 61 000 internautes qui ont voté à l'occasion des prix Pinocchio du développement durable. Mardi 18 novembre, les Amis de la Terre, en partenariat avec Peuples Solidaires et le Centre de recherche et d'information pour le développement (CRID), leur ont décerné cette anti-récompense qui épingle, pour la 7e année, les plus gros mensonges et les plus graves omissions des groupes en la matière. Comme chaque année, les prix sont répartis en trois catégories. "En Argentine, plus de 550 puits de pétrole et gaz non conventionnels ont déjà été forés. Quant aux prix Pinocchio, les ONG veulent croire qu’ils contribuent à modifier les pratiques des entreprises.