background preloader

Bien-être au travail

Bien-être au travail
Sur Mesacosan, nous sommes persuadés que le développement du bien-être au travail est un enjeu majeur pour nos sociétés modernes et nos organisations. Orienté résolument vers l’humain, c’est la place même de l’Homme dans le système productif que nous interrogeons ici. Du point de vue des organisations, développer et investir dans le bien-être au travail est un chemin nécessaire et indispensable pour développer l’efficacité et la capacité d’innovation. Mais développer et investir dans le bien-être au travail c’est aussi reconnaitre et assurer le rôle social que possède chaque organisation humaine. Une vision humaniste de nos sociétés et de nos organisations, comme souhaite le développer Mesacosan, accorde forcément une place prépondérante au développement du bien-être des individus. Ensemble, redonnons sens à cette citation de La Fontaine qui affirmait que « Le travail est pour les Hommes un trésor ».

Améliorer l’ergonomie du lieu de travail La période estivale s’avère souvent un moment propice pour améliorer les conditions de travail de vos salariés. Des mesures simples peuvent être prises pour permettre à ceux-ci de disposer du cadre motivant pour accomplir leur mission. Dynamique a décidé, dans un volet de trois articles qui seront publiés pendant 3 jours à 16H, de vous donner les clés du bien être des salariés : l’ergonomie du lieu de travail (Partie I), l’amélioration du confort de travail (2) et de l’ambiance de votre entreprise (3) Une mise en place bénéfique La mise en place d’un meilleur cadre de travail est révélatrice de la considération que vous avez pour vos salariés. Celle-ci entraine aussi d’autres avantages pour l’entreprise : moins d’absentéisme, de frais liés à l’incontournable turn-over, de stress et de tension et permet aux salariés d’être plus performants. Les conseils simples pour améliorer l’ergonomie 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

Les ratés de la flexisécurité Par Muriel Jaouën, le 8/06/2010 Dépasser le concept de flexisécurité et améliorer les mobilités choisies. C’est la préconisation d’un rapport du Conseil d’Analyse Economique sur la mobilité des salariés. Dans un rapport sur la mobilité des salariés présenté le 5 mai au Conseil d’Analyse Economique (CAE) et à paraître à la Documentation Française, Mathilde Lemoine et Etienne Wasmer dressent un triple constat. La flexibilité de l’emploi a fortement augmenté en France au fil des dernières décennies, avec une accélération sur la période récente. Dans le même temps, la sécurisation des parcours des salariés n’a pas augmenté. La mobilité des salariés est insuffisante et ce, dans ses trois composantes : professionnelle, sectorielle, géographique. Dégradation de la qualité des emplois = perte de productivité ; Flexibilité via augmentation des emplois temporaires = détérioration du capital humain ; Absence de mobilité choisie = stress.

Haro sur l'open space, facteur de stress ! "Je vais m'acheter un casque anti-bruit ! Ça ne m'empêchera pas d'être interrompue en permanence par le téléphone ou une demande express mais au moins j'éviterai les conversations intempestives qui me déconcentrent", témoigne une journaliste dans ce cas sous couvert par l'anonymat. Certains de ses collègues travaillent avec bouchons d'oreilles ou écouteurs "faute de mieux" et choisissent de s'isoler, quand c'est possible, dans une salle de réunion pour réaliser une interview sans être dérangés. "J'ai toujours travaillé en open space, donc je n'ai pas d'élément de comparaison. Pour moi, ça facilite clairement le travail collectif mais pas le bien-être personnel", nuance cependant l'un d'entre eux, âgé de 30 ans. Plus de la moitié des salariés français (57%) travaillent en open space (plateau ouvert de plus de 20 personnes ou bureau partagé de 4 à 10 personnes), selon Odile Duchenne, directrice générale d'Actineo, observatoire de la qualité de vie au bureau.

Chez Amazon, des conditions de travail dignes de Zola home_theme © © France Info - Radio France Des employés sous-payés obligés de parcourir jusqu'à 22 kilomètres par jour pour transporter les produits à expédier d'un bout de l'entrepôt à l'autre, d'autres qui risquent leur place pour une journée d'arrêt maladie, des horaires de travail infernaux... L'enquête du Sunday Times au coeur du système Amazon est édifiante. Si vous avez commandé une console de jeux pour Noël, sachez que chez Amazon UK, les employés en emballent 140 par heure. A l'approche de Noël, on travaille 7 jours sur 7 et même la nuit dans l'un des quatre entrepôts britanniques du géant du shopping online. Investir dans le bien- être au travail favorise la réussite de l'entreprise — Paroles d’entrepreneurs " Les deux choses les plus importantes n'apparaissent pas au bilan de l'entreprise: sa réputation et ses hommes", affirmait Henry Ford. Florent Bonnel, consultant chez Merlane, explique pourquoi l'entreprise doit croire dans ses salariés et miser sur leur bien-être au travail. Deux ans se sont écoulés depeuis le plan d'urgence contre les risques psychosociaux en entreprise. Les risques, le stress, la violence. " Vous faites quoi dans la vie?". Au prisme de ces changements, les préoccupations sur la santé, la sécurité physique et psychologique, la qualité de la vie et le bien-être des salariés dépassent le seul cadre des questions de santé publique: il y a des enjeux humains et macro-économiques que l'entreprise, à son échelle d'action,doit prendre en considération. Entre les chocs médiatiques, l'effet de simplification qui s'y associe et l'observation de la dégradation d'indicateurs de santé et de sécurité au traval, se constitue la nouvelle classe des "risques psychosociaux".

Risques psychosociaux - stress au travail - définition On qualifie de « risques psychosociaux » (ou RPS) les éléments qui portent atteinte à l’intégrité physique et à la santé mentale des salariés au sein de leur environnement professionnel. Ces risques peuvent recouvrir différentes formes : le stress, parmi les plus connus, mais aussi le harcèlement, l’épuisement professionnel et même la violence au travail. Ils sont la cause de plusieurs maux et pathologies (problèmes de sommeil, dépression, troubles musculo-squelettiques, maladies psychosomatiques, etc.). L’INSERM définit les RPS comme la combinaison d’un grand nombre de variables, à l'intersection des dimensions individuelles, collectives et organisationnelles de l'activité professionnelle, d'où leur complexité et leur caractère souvent composite. Les RPS les plus répandus Le stress Il y a deux sortes de stress : le stress aigu : la personne doit affronter un stress ponctuelle stress chronique : la personne fait face à des situations de stress à répétition voire même qui s’accumulent.

Flexisécurité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme de « flexisécurité » (contraction de flexibilité et sécurité) désigne un dispositif social autorisant une plus grande facilité de licenciement pour les entreprises (volet flexibilité) et des indemnités longues et importantes pour les salariés licenciés (volet sécurité). Il repose sur un mécanisme économique selon lequel des procédures de licenciement facilitées inciteraient les employeurs à embaucher. Les PME hésiteraient en effet à embaucher lors des périodes florissantes, car elles redouteraient l’épreuve des procédures de licenciement lorsque la conjoncture se retourne. Ce mot-valise est d’origine récente. En anglais, le mot-valise flexicurity s'est imposé. Historique de la notion[modifier | modifier le code] La notion de « flexisécurité » trouve son origine en 1995 aux Pays-Bas suite à une note du ministre du travail, Ad Melkert, intitulée « Flexibility and Security ». Au Danemark[modifier | modifier le code]

Comment ces entreprises font l'unanimité chez leurs salariés FOCUS - Le classement «Great Place to Work» a récompensé les enterprises françaises où il est le plus agréable de travailler. Plusieurs sociétés élues ont expliqué au Figaro leurs astuces pour créer un cadre de travail optimal. Les sociétés qui chouchoutent leurs salariés ont plutôt bonne cote: Google et sa salle de jeux vidéos, ses espaces de détente ont déjà beaucoup fait parler d'eux. Mais le classement «Great Place to Work» a le mérite de récompenser à la fois les grosses entreprises internationales présentes en France, mais aussi les plus petites, moins connues du grand public. • Blablacar Cette jeune et dynamique entreprise française de 110 salariés fondée en 2004 - spécialisée dans le covoiturage - figure en 4ème place du classement des entreprises de moins de 500 employés où il fait bon travailler. Chez Blablacar, on s'efforce de minimiser le fossé hiérarchique. • Microsoft France • Accuracy • eBay et PayPal France

Un nouveau témoignage pointe du doigt les conditions de travail difficiles chez Amazon Décidément, les conditions de travail chez le géant Amazon n'en finissent plus de faire parler d'elles. Cette fois, c'est au travers d'un témoignage publié chez nos confrères du quotidien Libération que nous plongeons, une fois de plus, dans ce qui s'apparenterait à un véritable enfer. Amélie (un pseudonyme), intérimaire embauchée quelques semaines sur la plateforme de Montélimar y raconte en long, en large, et en travers son activité de « pickeuse », c'est-à-dire d'employée chargée d'aller chercher les produits commandés par les clients. Une fois de plus, le témoignage dénonce les cadences infernales, le peu de temps accordé pour s'alimenter et les rappels à l'ordre permanents dès que quelque chose n'est pas fait dans les règles d'efficacité dictées par Amazon.

Qu'est-ce qu'une entreprise performante? La performance des entreprises, dans une société industrielle et commerciale, est de savoir produire et de savoir vendre, mieux et plus vite que ses concurrents. Aujourd'hui, la plupart des entreprises savent produire et vendre. C'est la raison de leur survie actuelle. Si elles n'avaient pas cette capacité, elles auraient déjà disparues. Mais, de ce fait, au fil du temps, leur niveau de performance devient de plus en plus homogène. Croître, prendre des parts de marché se fait alors plus facilement en absorbant ses concurrents. Alain Juillet, responsable français en charge de l'intelligence économique auprès du premier ministre, nous donne sa vision de la situation dans une interview pour Informatique 01 (N°1768): "Chacun doit comprendre qu'après avoir connu le marché de l'offre pendant des siècles, puis celui de la demande dans la deuxième partie du siècle dernier, nous entrons maintenant dans celui de l'information et de la connaissance.

Related: