Gérer ses fichiers clients ou prospects dans le respect de la législation La loi Informatique et Libertés prévoit des garde-fous pour protéger les personnes des dangers liés aux fichiers et à l'exploitation de données personnelles. Le traitement de données personnelles est ainsi soumis à formalités déclaratives, sachant que les données personnelles sont celles qui permettent d'identifier directement ou indirectement une personne. Un numéro de téléphone, de sécurité sociale, de carte bancaire, un nom et un prénom, en font partie. Faut-il le déclarer à la CNIL ? Oui, lorsqu'une entreprise a l'intention de constituer une liste de personnes physiques, elle doit préalablement déclarer ce fichier à la Commission Informatique et libertés (CNIL). Pour les fichiers clients et de prospects, il suffit d'effectuer une déclaration simplifiée (norme simplifiée n°48). Depuis mars 2010, vous pouvez l'effectuer en ligne grâce à un formulaire spécifique proposé sur le site de la CNIL. Faut-il l'autorisation des personnes « fichées » ? des conséquences d'un défaut de réponse,
Consommer en temps de crise Low cost, achats d’occasion ou groupés, location, troc… Les consommateurs développent de nouvelles stratégies auxquelles les industriels cherchent à s’adapter. Ce faisant, une modification durable des modes de consommation s’opère. Baisse du pouvoir d’achat, crainte du chômage, incertitudes quant à l’avenir… Les Français n’ont d’autre choix que de s’adapter. En temps de crise, dépenser moins se révèle un impératif pour beaucoup ; l’augmentation des dépenses dites « contraintes » ou « préengagées » limite les marges de manœuvre. Victimes de ces choix, les ventes de voitures neuves ont chuté de 14 % en 2012. Article de 3276 mots.
10 effets positifs d’une vraie stratégie Social Media sur un site eCommerce Les réseaux sociaux sont encore fortement assimilés au community management; pourtant, pour un site eCommerce, les possibilités vont bien au-delà de la diffusion de contenu ou de l’organisation d’un jeu viral. Une stratégie Social Media peut s’appliquer directement au sein d’un site eCommerce et avoir de réelles répercussions positives sur le nombre de visites, d’inscrits, les ventes, … Dans cet article, je partage avec vous 10 raisons d’intégrer les réseaux sociaux au sein même de votre site de vente en ligne, chacune avec un objectif concret. 1. En moyenne, 2% des visiteurs d’un site eCommerce passent une commande. L’intégration de “Facebook Login” s’inscrit dans cette logique d’augmentation du taux d’inscription. 2. 70% des paniers commencés sont abandonnés par les internautes. 3. Chaque partage est une source gratuite de visibilité et de trafic. Si vous décidez d’inciter vos visiteurs à partager sur le réseaux sociaux, vous devriez prendre en compte 2 éléments. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
E-commerce : les femmes sont fans du shopping en ligne Les Françaises aiment le shopping. Et l'e-commerce ne déroge pas à la règle. Non seulement 97% des françaises (de 20 à 60 ans) ont déjà effectué un achat en ligne, mais une sur deux passe commande au moins une fois par mois sur le net, selon une enquête CSA pour le site Terrafemina.com et eBay. Elles surfent en moyenne cinq heures par semaine sur des sites marchands. Vêtements et accessoires sont (naturellement) les produits phares commandés par les cyberacheteuses. 15% ont déjà acheté via un téléphone mobile et même 9% avec une tablette A la recherche d'une bonne affaire, 58% d'entre elles fréquentent les sites de ventes entre particuliers et adorent les sites de ventes d'occasion et de ventes privées. Pourtant frileuses quant à l'utilisation de leurs données personnelles, 46% des femmes aimeraient cependant, selon cette étude, recevoir davantage de notifications en push et de promotions ciblées.
Les Français de plus en plus exigeants sur la qualité de services en magasin Les acheteurs veulent retrouver la praticité d'Internet en point de vente. Et pouvoir profiter aussi, proposés par le magasin, de services qu'ils utilisent déjà depuis leur téléphone, comme des comparateurs. Internet a modifié les habitudes de consommation des Français, et notamment leurs attentes vis à vis des points de vente, qui ont tout intérêt à proposer des services répondant à ces nouveaux besoins. Une préférence pour Internet… En outre, les consommateurs adoptent des comportements, notamment via l’usage des smartphones, destinés à reproduire dans la réalité ce qui les pousse vers le e-commerce. Et un rejet des grandes surfaces… Les courses dans les hypermarchés et supermarchés sont un véritable obstacle pour les consommateurs. *Etude réalisée auprès d’un échantillon de 1005 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, du 27 au 29 août 2012
Les programmes de fidélisation sont-ils morts ? par Yan Claeyssen - Chronique e-Business Non ! Au contraire, dans un contexte de crise, les programmes de fidélisation ont la cote. Quel que soit le secteur d’activité, un programme de fidélisation constitue aujourd’hui le meilleur moyen de protéger sa marge. Les programmes de fidélisation sont tout d’abord de plus en plus relationnels et de moins en moins transactionnels. C’est-à-dire qu’ils sont moins basés sur des mécaniques promotionnelles (mécanique de points, bon d’achat…) et plus orientés services et/ou contenu. Autre changement de taille, ils se dématérialisent. Autre évolution : les bons programmes de fidélisation sont aujourd’hui drivés par la «connaissance client». Enfin, le digital permet de baisser les coûts d’animation d’un programme. Les programmes de fidélisation sont aujourd’hui face à deux grands défis : - Avoir une vision cross-canal du client. - Intégrer réellement les réseaux sociaux. Côté e-commerce, le secteur connaît une croissance à deux chiffres depuis 15 ans, mais cela ne va pas durer.
"Le consommateur en a marre de la fin planifiée des produits" A quoi ressemble le "consommateur battant" ? C'est un consommateur hyperactif qui, par nécessité ou par jeu, s'est mis à comparer et à tout remettre en cause : les marques, leurs supposées innovations, les prix. Il s'est mis à fréquenter les circuits alternatifs, à arbitrer lui-même... Il s'est approprié les marques. Les 30-40 ans nous disent qu'ils ont toujours connu la crise. Et une partie croissante de la population a une réelle nécessité de compter ses dépenses. Quelle forme prend ce raisonnement ? Les membres de la classe moyenne deviennent très critiques sur leurs dépenses, sur la valeur ajoutée de certaines marques et sur un système de communication qui a bâti une croissance non sur l'innovation réelle mais sur l'obsolescence planifiée. Ce système de l'obsolescence planifié arrive donc à sa fin ? Oui, il atteint ses limites et le consommateur le voit mieux que bien des entreprises. Oui. Plus méfiant, ce "consommateur battant" est-il pour autant devenu rationnel ? Pas toujours.
Consommateur et consommation : le dossier marketing communication Notre dossier consommateur et consommation frappe à nouveau un grand coup ! Evolution des cibles et segments de consommation Un consommateur paradoxal et rationnel Même si la consommation des ménages a plutôt bien résisté à la crise, pourquoi le désir de consommer marque-t-il le pas ? Le consommateur, 100% rationnel et raisonnable, voit ses comportements en matière de recherche d’informations avant l’achat évoluer. Heureusement, le plaisir d’acheter demeure… et reste sous la houlette du budget disponible. Consommateur mutant : quelles valeurs et insights ? Le consommateur mute. Prospective conso : nouveaux signes, nouveaux insights Les arcanes de l’évolution des attitudes et du comportement des consommateurs. 5 caractéristiques du postmodernisme Le monde postmoderne utilise des dimensions bipolaires dialectiques comme le bien ET le mal, sonnant la fin du cartésianisme et de la rationalité. Regards sur le consommateur d’aujourd’hui et de demain Consommateur, parlons prix ! (c) ill.
Performance web des principaux sites d'e-commerce en France : état des lieux Dans le Top 300 des sites web les plus visités en France, seulement 22 % des sites e-commerce se chargent en moins de 3 secondes. Qui sont les bons et les mauvais élèves ? Présentation des données et analyse. Entre 2012 et 2013 la connexion Internet moyenne des français s'est améliorée de 9,7 % en un an. Pendant ce temps les sites Internet se sont alourdis de 32 %. En 2009, Amazon avait perdu 1 % de son chiffre d'affaires pour 100ms de temps de chargement supplémentaire. L'éditeur du service www.dareboost.com fait son état des lieux du e-commerce en France en avril 2014. Un temps de chargement moyen de 5,2 secondes Les sites e-commerce les plus visités par les français, classés par temps de chargement : Quelques chiffres pour aller plus loin Environ 20 % de ces sites comportent au moins une ressource (une image par exemple) en erreur (parmi lesquels environ 40% avec la fameuse erreur 404). Plus de 67 % des contenus sont des images
Dossier : Consommation, consommateur et shopper Quels sont les nouveaux profils, typologies et tendances de consommation ? En quoi le point de vente est toujours un lieu d’expériences consommateur ? Dossier Marketing Professionnel spécial consommateur shopper. En quoi le point de vente est toujours un lieu d’expériences consommateur ? Quels sont les nouveaux profils et typologies de consommation ? Voici notre dossier de septembre ! Le e-commerce fait émerger la génération Z Les transformations imposées par la révolution du commerce agile amènent augurent de nouveaux consommateurs, la génération Z. Le point de vente, clé du rapport marque consommateur Quand la technologie permet de scénariser les étapes du rapport du consommateur à la marque, alors le point de vente devient un écrin dans lequel se noue la relation marque-consommateur, à savoir l’achat. Le point de vente physique, le magasin connecté et les attentes consommateurs Shopper : Un nouveau consommateur de lieu de vente de proximité est en train de naître.
Le digital maintenant présent dans toutes les étapes de l'expérience d’achat 90% des consommateurs français interrogés par Digitas se rendent désormais sur Internet avant d’effectuer leur choix en magasin, pour consulter des comparateurs de prix ou des avis des consommateurs. Même si le magasin physique demeure le deuxième canal pour l’information produit, il est de plus en plus utilisé comme simple showroom par les consommateurs. C'est ce que dévoile Digitas France, en collaboration avec VivaKi Advance, dans son second baromètre de l’Expérience Marchande Connectée, qui met en lumière les évolutions des comportements des consommateurs et de leurs attentes concernant leur expérience d’achat. L’étude révèle en effet que l’augmentation du taux d’équipement d’appareils connectés incite de plus en plus le consommateur à comparer les offres en ligne et hors ligne, avant de prendre sa décision. Internet consulté avant et pendant l’achat en magasin Intégrer davantage d’outils technologiques in-store
Gestion de bad buzz : le cas Décathlon Le 14 décembre dernier, un Décathlon des Vosges a publié sur Youtube un libdub reprenant le morceau « Call me maybe ». Les vendeurs du magasin dansaient et chantaient des paroles destinées à promouvoir les produits de Décathlon comme cadeaux de Noël… Décathlon Saint-Dié-des-Vosges Noël 2012 par Spi0n Décomplexée, voire légèrement grotesque, la vidéo a rapidement fait parler d’elle sur Twitter. Les moqueries ne manquaient pas : Mais les soutiens, bien que plus rares, sont aussi venus : Le CM à fond la forme Rien que du très classique donc : les gens réagissent à une vidéo qui sort de l’ordinaire. Pour éteindre le feu, donnez-lui de l’oxygène La réponse au buzz ne s’arrête pas là : plutôt que d’étouffer la vidéo, le lipdub est intégrée… en home de la page Youtube de Décathlon France ! Une très bonne initiative de la part de Décathlon. Pour conclure, quelques leçons à retenir : 1. 2. Cette rapidité est probablement due à une organisation hiérarchique aplanie. 3. 4.