L’entreprise qui croit que l’Homme est bon L’entreprise qui croit que l’Homme est bon L’expérience de la fonderie picarde FAVI est celle d’une entreprise libérée. Jean-François Zobrist, son directeur à partir de 1971 y a introduit un management à contre-courant des pratiques habituelles qui libère les énergies et a permis à ce sous-traitant de l’industrie automobile de rester localisé dans son village d’Hallencourt, de devenir leader sur son marché et d’innover pour garantir l’avenir. Le constat de base : il n’y a pas de performance sans bonheur, et il n’y a pas de bonheur sans responsabilité. Supprimer les échelons hiérarchiques. libérer les énergies, concentrer les forces sur 2 missions : la création de valeur et la génération de chiffre d’affaire. Jean-François Zobrist nous raconte ici en quelques minutes ses fondamentaux du management ou l’art de faire en sorte que les choses se fassent d’elles-mêmes. Question de confiance, c’est aussi le titre du reportage de 45′ de François Maillart, diffusé sur France 3, disponible > ici.
Ce qui rend les chefs d'entreprise heureux Développement personnel Le 28/04/2015 Dans un article de référence (1), des psychologues avancent une multitude d’arguments et de faits qui tendent à montrer que l’être humain est naturellement enclin à accorder plus d’importance aux aspects négatifs que positifs de son existence. Cette tendance est si forte qu’ils en énoncent une loi de la psychologie : « Bad is stronger than good ». L’objet de cette tribune est donc de corriger ce biais en introduisant le concept de « satisfacteur », néologisme aussi simple que nécessaire pour rééquilibrer l’analyse du travail et de ses effets sur la santé. Dans cette nouvelle optique, inutile de dire que les « satisfacteurs » d’un chef d’entreprise sont nombreux, sans quoi peu de personnes oseraient entreprendre. Méthodologie de codage de l'enquête Amarok Au total, 357 dirigeants de PME ont été suivis entre 2012 et 2013 par l’Observatoire Amarok. L’intégralité des verbatim recueillis a été codée sémantiquement en deux étapes.
Les 4 piliers du management collaboratif Face aux transformations techniques, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance. L'entrée dans le XXIème siècle aura été marquée par une accélération de l'évolution de notre société, que ce soit sur le plan économique, technologique ou social.Face à ces transformations, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance. Se posent alors de nouvelles questions :* Comment s'adapter à un environnement imprévisible et en permanente mutation ? Parce que plus de la même chose produit les mêmes effets… En réaction, bon nombre de dirigeants appliquent ce qu'ils ont appris, à savoir :* Réduire les coûts pour être plus attractif,* Limiter au maximum les risques pour éviter de se mettre en danger,* Renforcer le reporting et les contrôles pour se rassurer,* Augmenter et diversifier les projets pour accroitre la performance
La crédibilité de l’entreprise, importante aussi pour le bien-être du salarié Le changement de vision des collaborateurs de la part des dirigeants est un processus maintenant bien établi. En effet, les entreprises réalisent de plus en plus l’importance de la culture d’entreprise et l’impact de celle-ci sur la performance. L’Atelier l’évoquait récemment, il est maintenant essentiel pour les entreprises d'établir une compréhension uniforme de ce que signifie la transformation numérique. Miser sur la transparence pour fidéliser les salariés… et les clients Bertrand Bailly, co-fondateur et directeur général de Davidson Consulting tient à rappeler le double sens de la crédibilité, terme qui a un côté rationnel (quelque chose qui mérite d’être cru à travers des faits) mais qui se rapporte aussi la croyance (ou réputation). Replacer le collaborateur au centre de l’entreprise Matthieu Leclercq, intervenant à titre d'expert à l'occasion de la conférence, prône quant à lui l’alignement culturel.
10 conseils pour le manager de demain Meryel Le Saget Sommaire Page 1. Changer sa conception du futur 3 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.S’adapter en permanence 12 Changer sa conception du futur Nous avions l’habitude d’envisager l’avenir en fonction de notre expérience et des évolutions prévues : trouver un travail à la fin de ses études, se marier et avoir des enfants, monter dans la hiérarchie, améliorer son niveau de vie... L’entreprise de son côté faisait ses plans en fonction des réalisations précédentes et extrapolait le passé pour se fixer des objectifs. Dans cette incertitude, il faut néanmoins assurer la pérennité de son entreprise et prendre des décisions importantes qui engagent l’avenir. La planification traditionnelle est dépassée, parce qu’il se peut que la crise soit définitive et que l’on ne revienne plus jamais au monde que l’on a connu. La manager du futur consacre du temps à développer une vision, plutôt qu’un plan stratégique. La vision que l’on développe du futur n’est jamais complète. Equilibrer son style de management 1. 2.
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