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En Afrique, quand développement durable rime avec innovation

En Afrique, quand développement durable rime avec innovation
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1. Pourquoi l'Afrique n'arrive-t-elle pas à se nourrir ? Pourquoi l’Afrique accuse-t-elle un tel retard dans son développement ? Comment expliquer qu’un demi-siècle après son indépendance, on meurt encore de faim sur le continent noir ? Qu’est-ce qui explique que les grandes firmes internationales préfèrent délocaliser vers d’autres continents et non vers l’Afrique ? *** Diffusion le dimanche à 08h10 TU vers l'Afrique, puis à 22h10 TU toutes cibles. Les sols fertiles d'Afrique peuvent-ils nourrir la planète ? Au Liberia, une employée arrose des jeunes plants de palmiers à huile. Les responsables gouvernementaux espèrent que les 35 000 emplois promis par Sime Darby, le géant malaisien de l’huile de palme, permettront d’apaiser les tensions dans un pays ravagé par la guerre. © Robin Hammond Pourquoi de grands groupes agricoles convoitent le continent où l’on souffre le plus de la faim. Le gros tracteur est arrivé sans prévenir. En quelques minutes, dans un nuage de poussière, le lopin de terre d’un demi-hectare situé près de Xai-Xai, au Mozambique, qui avait nourri Flora Chirime et ses cinq enfants pendant des années, était ravagé par une entreprise chinoise. Une exploitation agricole de 20 000 ha s’installait dessus – un damier vert et marron recouvrant une vaste partie du delta du fleuve Limpopo. « Personne ne m’a prévenue, s’étrangle Flora, 45 ans. Le cas de Flora Chirime est loin d’être isolé. Un grand nombre de ces obstacles sont en train de tomber. Peu de ces promesses ont été tenues.

Les limites du développement par l'économie informelle LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Pierre Jacquet, président de Global Development Network Le secteur "informel" évoque souvent une exception au fonctionnement normal, taxé, régulé et contrôlé de l'économie. En Afrique subsaharienne, cependant, c'est l'informel qui domine et concentre le dynamisme économique et entrepreneurial. Pourtant, cette économie informelle est mal connue. Ahmadou Aly Mbaye (université des sciences économiques et de gestion de Dakar) et Nancy Benjamin (Banque mondiale) comblent en partie cette lacune dans Les Entreprises informelles de l'Afrique de l'Ouest francophone. Leur étude s'appuie notamment sur une collecte de données factuelles par enquêtes auprès de 300 entreprises dans les trois capitales du Sénégal, du Bénin et du Burkina Faso. L'une des originalités de l'étude est de mettre l'accent sur les grosses entreprises informelles, en général ignorées en dépit de leur rôle majeur dans le commerce et les services. Comment sortir de ce cercle vicieux ?

L’Afrique est-elle réellement victime de la mondialisation Version imprimable La mondialisation n’a pas bonne presse en Afrique. Elle est présentée souvent comme étant responsable de l’exploitation des richesses naturelles et humaines du continent noir et de sa paupérisation. Il est souvent dit que les multinationales pillent les ressources de l’Afrique, sous-paient ses travailleurs et accaparent ses terres. Concernant l’accaparement des terres, faut-il blâmer la mondialisation ? On met aussi la paupérisation de l’Afrique sur le compte de la mondialisation. Admettre que l’Afrique est victime de la mondialisation suppose qu’elle est pénalisée par son intégration dans l’économie mondiale. Dès lors, la question pertinente est plutôt de savoir pourquoi l’Afrique ne profite pas de la mondialisation. La première réside dans la rigidité de la spécialisation choisie par l’Afrique dans l’exportation de produits primaires de faible valeur ajoutée et qui plus est leurs cours sont volatils accroissant leur vulnérabilité aux chocs exogènes.

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