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Le secret professionnel du sourire des Étrusques - Arts & Spectacles

Le secret professionnel du sourire des Étrusques - Arts & Spectacles
Tête votive de jeune homme - Musée national des Etrusques de la Villa Giulia © Mauro Benedetti "Un sourire flotte sur la France. C’est un sourire venu du Sud, il illumine le Nord ; la ville de Paris et la ville de Lens en particulier. Quand je vais dans une des capitales du Sud, Rome, l’une de mes visites presque systématiques est pour le musée de la Villa Giulia. Vous savez, en bas du Pincio, au bout de la viale delle Belli Arte où se trouvent la galerie nationale d’Art moderne et quelques académies étrangères, d’ailleurs, pas les musées les plus riches de Rome. On contourne, on descend, et on arrive dans un autre musée où je n’ai jamais vu plus de dix personnes. Le musée de la Villa Giulia se trouve dans une belle maison dessinée par Vasari et Vignola pour un pape Jules, d’où son nom, et c’est le Musée national étrusque. Charles Dantzig Canope sur son trône- Soprintendenza per I Beni Archeologi della Toscana © Antonio Quattrone Bibliographie : Catalogue exposition Louvre Lens Related:  ETRUSQUES

Les Etrusques et la Méditerranée Cerveteri était considérée dans l'Antiquité comme "la plus prospère et la plus peuplée des cités d'Étrurie", ainsi que l'écrit l'historien grec Denys d'Halicarnasse. Cette cité, que les Étrusques appelaient Kaisra, les Romains Caere et les Grecs Agylla, est en effet emblématique de la grandeur de la civilisation étrusque : elle a occupé une place centrale en Italie et en Méditerranée tout au long du 1er millénaire avant J.-C. Ce sont ces quelques dix siècles d'histoire que l'exposition entend retracer : comment des communautés éparses ont progressivement formé une cité, comment cette cité ouverte sur la mer est devenue une des principales puissances méditerranéennes, et comment cette cité qui rivalisait d'importance avec Rome a finalement été dominée par cette dernière et absorbée au 1er siècle avant J.-C. dans l'Empire romain naissant. Après le Louvre-Lens, l'exposition sera présentée à Rome, au Palazzo delle Esposizioni, du 14 avril au 20 juillet 2014.

D.H. Lawrence, Croquis étrusques Dès le printemps 1926, lors d'un séjour en Ligurie, D.H. Lawrence envisage de se rendre sur les hauts lieux de l'histoire étrusque avec l'intention d'écrire sur ce sujet, qui le passionne de longue date. La fascination de D.H. « Voilà la Toscane, et nulle part ailleurs les cyprès ne sont aussi beaux, aussi fiers, pareils à des flammes noires venues des temps primitifs, avant l'arrivée des Romains, lorsque les Étrusques étaient encore là, élancés, beaux et sereins, d'une élégance nue, les cheveux noirs et les pieds étroits ». Désireux de pénétrer le secret, désormais « perdu », de ses « précieux » Étrusques, D.H. Au printemps suivant, malgré un état de santé précaire, Lawrence se décide à entreprendre son voyage, dont il confie les détails à son ami Earl Brewster : La première excursion en Étrurie, en compagnie de Frieda Weekley, épouse de Lawrence, et du couple Brewster, Earl et Achsah, s'étire sur quatre jours. Cependant, dès la fin du mois d'avril 1927, D.H. « [...] Angèle PaoliD.R.

The Mysterious Etruscans - Pre-Roman Civilisation in Italy La civilisation Etrusque : origines et histoire Peuple habitant l'Italie dans l'Antiquité et qui prospéra au VIIe siècle, les Étrusques restent un mystère sur bien des points. D'où viennent-ils ? Comment vivaient-ils ? Pourquoi ont-ils disparus ? Origines et implantation de la civilisation Etrusque L'origine des Etrusques est aujourd'hui encore assez floue. Les Etrusques vont d'abord fonder Tarquinie, une cité proche la mer Thyrénienne, puis se développer sur la zone côtière et l'intérieur des terres. Organisation politique et religieuse Les Etrusques forment des cités-états, parfois regroupées par 12 (dodécapoles), unies par des liens religieux, mais non politiques. Jusqu'au Ve siècle avant J. Non loin des villes se trouvaient les grandes nécropoles. Il ne nous est pas parvenu beaucoup d'éléments concernant la religion Etrusque, si ce n'est le nom de quelques Dieux qui pourrait s'apparenter aux Dieux grecs : Aïta, roi des Enfers (Hadès) ou encore Tinia, Dieu suprême (Zeus). Sciences La langue et les arts L'armée La fin d'une civilisation

Sarcophage des époux de Cerveteri Ce monument exceptionnel, sarcophage ou urne cinéraire, provient de Caere, une cité célèbre à l'époque archaïque pour sa sculpture en argile. Il figure les défunts tendrement enlacés, à demi étendus sur un lit dans l'attitude de banqueteurs, selon une mode née en Asie Mineure. Ceux-ci font le geste de l'offrande du parfum, un rituel qui caractérise, avec le partage du vin, la cérémonie funéraire. Un exemple de la sculpture en terre cuite de Caere Le Sarcophage des époux a été trouvé en 1845 par le marquis Campana dans la nécropole de la Banditaccia à Cerveteri, l'antique Caere. Acquis en 1861 par Napoléon III, ce monument a souvent été considéré comme un sarcophage en raison de ses dimensions exceptionnelles. Banquet et rituel funéraires Cette urne se présente sous la forme d'un lit sur lequel reposent les défunts dans l'attitude des banqueteurs. L'influence de la Grèce de l'Est Bibliographie

The Clay Models Used to Analyze Entrails in the Ancient World - Atlas Obscura The ancient world offered up tons of unusual ways of telling the future and divining the will of the gods. These methods ranged from cleromancy (interpreting lots that were cast) to the Homeric practice of ornithomancy (interpreting the flight of birds). In second-millennium B.C. Mesopotamia, professional oracle-priests—a.k.a. barutu—would ritually sacrifice an animal—think oxen, goats, sheep, cattle—and read the entrails (a process called extispicy). In the process, they created models of the organs in question that served as tiny prophecy libraries. Very often, the priests chose to inspect and evaluate a sacrificed animal’s liver, which was deemed the location of the soul and number-one site for all internal activity. Each liver model was uniquely shaped, with divinatory interpretations inscribed for future generations. Both the divine inscription on the organs and the barutu writing them down represented a very early tradition of literacy.

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