background preloader

Être victime ou non (Vos questions et nos réponses)

Être victime ou non (Vos questions et nos réponses)
Les échanges physiques agressifs dans le couple Il est arrivé quelquefois à mon ami de ma flanquer une gifle lorsqu'il était en colère. Je suis tellement terrorisée que je n'ose plus le contredire. Ce n'est pas une façon de vivre! Par ailleurs, je suis tellement en colère à ce sujet que j'ai le fantasme de lui rendre la pareille. Une gifle est une atteinte à notre intégrité physique et psychique. Si un geste de ce genre survient occasionnellement dans un couple, il faut chercher à comprendre pourquoi. (1) Est-ce que celui qui assène la gifle n'a pas de mots pour traduire sa réaction? Si cette relation en vaut la peine, ce sont là des questions qu'il faut explorer. Reprenons maintenant chacune des hypothèses déjà évoquées. (1) La gifle remplace l'expression verbale L'expression peut avoir plusieurs fonctions: elle peut servir à informer, à influencer, à se soulager, à s'assumer ou à nourrir la relation. Voici quelques exemples où on peut déceler une attitude hostile.

Les discours négatifs à l'encontre des victimes de violences psychologique Complaisance victimaire, un démenti Il est de plus en plus souvent question d’évoquer la complaisance victimaire pour dénoncer les excès de requêtes dont les victimes semblent inonder notre champ médiatique. En corollaire, la société compassionnel paraît comme un concept très opportuniste pour justifier un détournement d’attention au détriment de faits bien plus importants. Les neurosciences peuvent-elles nous dire si cette complaisance a un support concret. Comme tous les mardi soirs, je participais au débat du café philo « Victor Schoelcher » à Toulouse. Si nous parlons de victime nous évoquons une lésion physique, psychique voire les deux. Ceux qui dénoncent la complaisance victimaire semblent évoquer une sorte d’abus ou d’inflation de la plainte. Mais quelle serait la limite au-delà de laquelle la plainte deviendrait outrancière et, par conséquent, infondée ? Bien entendu les médias sont mis à contribution, eux qui semblent se gaver de la misère environnante en jouant avec délice des malheurs d’autrui.

Harcèlement et violence interne au travail Tensions, brimades, insultes, des relations de travail qui se détériorent… Il faut tout d’abord agir rapidement pour mettre un terme aux agissements hostiles au sein de l’entreprise. Mais, pour les prévenir, l’employeur doit rechercher ce qui les rend possibles dans l’organisation, l’environnement et les relations de travail. Propos désobligeants, insinuations, humiliations ou brimades, insultes, comportements à connotation sexuelle, actes violents, critiques injustifiées, mise au placard… La liste des violences qui peuvent prendre place au sein de l’entreprise est longue. Ces violences peuvent être exercées par une personne ou un groupe de personnes, détentrice(s) ou non d’une autorité hiérarchique, à l’encontre d’un ou plusieurs autre(s) salarié(s). Qui sont les victimes et les auteurs de harcèlement et violences internes ? Il n’existe pas de profil type des auteurs ou des victimes des différents types de violences qui se produisent au sein de l’entreprise.

À part égale À part égale Guide d'animation du cinéma-forum - À part égale Promouvoir les rapports égalitaires entre les femmes et les hommes, auprès des jeunes de 16 à 22 ans LE CINÉMA FORUM Destinée aux jeunes de 16 à 22 ans, cette forme d’intervention et de sensibilisation se déroule en deux temps : 1. Extraits (video sur Youtube) : 2. Les jeunes peuvent s’exprimer de leur place et s’ils le souhaitent, ils peuvent monter sur scène pour rejoindre l’animateur et rejouer avec lui des situations du film en intégrant les solutions qu’ils ont suggérées. Objectifs LE GUIDE D’ANIMATION Ce support s’adresse aux personnes travaillant auprès des jeunes, dans les milieux scolaire et communautaire de l’île de Montréal. LE SYNOPSIS DU FILM À PART ÉGALE Alex invite son ami Milan au chalet familial pour le week-end. c lesquels il se sent de plus en plus en décalage. Documenter le vécu et la perception des jeunes Montréalais-e-s en matière d’égalité entre les femmes et les hommes, en portant

Accueil - Zéro Cliché ! Notre projet vise à sensibiliser les jeunes filles et leurs accompagnateurs (profs, parents et intervenants) sur les stéréotypes sexuels et sexistes et sur l’importance de promouvoir l’égalité et la diversité au sein de la société. Il s’agit en fait d’une trousse éducative à l’intérieur de laquelle tu trouveras une foule d’informations pertinentes qui te permettront de reconnaître les stéréotypes sexuels et sexistes et de les déconstruire. En naviguant sur notre site, tu auras également accès à une multitude de ressources et d’outils qui te permettront de pousser plus loin ta réflexion. Nous voulons, à travers notre projet, mettre de l’avant l’aspect interculturel. Cela signifie que nous souhaitons que les filles de la diversité se reconnaissent dans les enjeux que nous soulevons. Rester à l'affût puisque la trousse sera traduite en plusieurs langues (anglais, espagnol, arabe, etc.) Pourquoi réaliser un projet sur les stéréotypes sexuels et sexistes? Plus d'exemple ?

«En France, 80 % des femmes handicapées sont victimes de violences» INTERVIEW La présidente de l’association «Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir» explique l'ampleur du phénomène à l'occasion de l'ouverture d'un nouveau numéro d'appel ... Propos recueillis par Delphine Bancaud Un premier pas pour prendre en compte la souffrance des femmes handicapées. Vendredi l’association «Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir» (FDFA) lance le premier numéro d’appel* en France dédié à l’écoute des femmes en situation de handicap victimes de violences. Maudy Piot, psychanalyste et présidente de l’association, explique à 20 minutes pourquoi il est urgent d’agir. Les femmes handicapées sont-elles souvent la cible de violences? Oui et le phénomène est massif en France, car 80% d’entre elles sont victimes de violences selon le Conseil français des personnes handicapées pour les questions européennes, contre 36% des femmes valides. Comment expliquer l’ampleur du phénomène? Quelles formes prennent ces violences? Qui sont les agresseurs de ces femmes? *01 40 47 06 06.

Cycle de la violence et victimisation | CVFE La notion de cycle de la violence dans les couples a été introduite en 1988 par la psychologue américaine Leonor Walker et reprise ensuite par la chercheuse québécoise Ginette Larouche. Ce modèle permet d’appréhender la dimension temporelle des violences conjugales et d’expliquer comment s’instaure l’usure des repères et la victimisation. Dans ce modèle, le cycle de la violence se compose de quatre phases bien distinctes : la tension, la crise, la justification et la rémission ou lune de miel. L'escalade la violence: un continuum La violence s’installe progressivement dans le couple. Le point de vue de la victime et celui de l’auteur Durant les phases de tension, de désaccord ou de conflit, l’auteur cherche à conserver le contrôle sur l’autre et sur la situation. La victime, quant à elle, sent la tension monter. La victime se coupe totalement d’elle-même Quand la victime adhère aux justifications de l’auteur, elle se sent coupable, faible et pas à la hauteur.

Chiffres clés - Les chiffres de référence sur les violences faites aux femmes Les chiffres de référence sur les violences faites aux femmes Pour une présentation plus approfondie de ces chiffres et d’autres données sur les violences faites aux femmes, consulter les numéros de La lettre de l’Observatoire national des violences faites aux femmes En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui au cours d’une année sont victimes de violences physique et/ou sexuelles commises par leur ancien ou actuel partenaire intime, est estimé à 225 000 femmes. L’auteur de ces violences est le mari, concubin, pacsé, petit-ami ; ancien ou actuel ; cohabitant ou non. 3 femmes victimes sur 4 déclarent avoir subi des faits répétés8 femmes victimes sur 10 déclarent avoir également été soumises à des atteintes psychologiques ou des agressions verbales La répartition de ces violences en fonction de leur nature est la suivante : Effectifs et taux de femmes victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur conjoint ou ex-conjoint au cours d’une année

âge de la sexualisation de la femme… et de la fille Une question épineuse et ambiguë Il y a peu, j’ai mené une micro enquête sur le réseau social Twitter. J’ai demandé aux femmes de répondre à la question suivante : « Les filles, vous vous souvenez à quel âge vous avez été draguée/klaxonnée pour la première fois par un homme adulte ? ». Comme on me l’a justement fait remarquer, la question était très vaste et c’est ce que j’ai trouvé intéressant, même si vous allez sans doute penser que c’est une erreur de ma part, puisqu’elle m’a permis d’analyser les choix de réponses qui ont été faits par les femmes. Certaines m’ont parlé de simples dragues, d’autres d’agressions verbales ou physiques, d’autres encore de cas d’exhibitionnisme, de réflexions désagréables, etc. La véritable interrogation que je posais était la suivante : à quel âge les femmes sont-elles sexualisées pour la première fois par le regard masculin ? Le compte-rendu des réponses obtenues Le compte-rendu : mes réflexions personnelles Et les garçons ?

Related: