Mythojulie : Arbres généalogiques de la mythologie grecque et romaine Farnese Hercules — Faculty of Classics Perhaps the most striking aspect of the Farnese Hercules is his sheer size: he stands at 3.15 metres, almost ten-and-a-half feet. This fine example of Roman sculpture shows the Greek hero – he is sometimes known by his Greek name, as the Farnese Herakles – leaning on his customary wooden club, here cushioned by a lionskin. His downcast eyes, together with his pose, suggest that Hercules has been exhausted by his Labours – and it is on account of this that the sculpture has gained another name, the Weary Hercules. In case we were to think that his latest Labour had gotten the better of him, though, there's a surprise in store when we look behind the back of the statue: two golden apples. This particular marble statue was found in the Baths of Caracalla in Rome, although it is most likely a version of a bronze statue attributed to the Greek sculptor Lysippus, who lived in the fourth century BCE. Find the Farnese Hercules in Bay KView the Farnese Hercules on the online catalogue M.
Les douze travaux d'Hercule Hercule terrassant l'hydre de Lerne | Musée des Beaux-Arts Sculpté pour le château du Vaudreuil vers 1658 ; déplacé à La Londe et brisé à la Révolution ; pièces retrouvées enterrées en 1883 ; don abbé de La Balle, chanoine Porée, Gaston Le Breton, 1884Cette œuvre avait disparu depuis près de cent ans quand un paysan en retrouva les morceaux;à demi enterrés dans un champ proche du château de La Londe (Seine Maritime) détruit en 1793. Le rapprochement fut fait avec une œuvre de Puget que des chroniqueurs et des sculpteurs du XVIIIe siècle et plus récemment un conte du marquis de Chennevières-Pointel, publié en 1848 dans la Revue de Rouen, « Suzanne ou la terre normande », évoquaient non loin de là, au château de Vaudreuil. Des sculptures, Puget en avait bien réalisées, pour l’entrée du château, propriété de Claude de Girardin, secrétaire d’Etat pour le Languedoc et ami du surintendant Nicolas Fouquet : Hercule terrassant l’Hydre de Lerne et Cérès couronnant Janus.
Gustave Doré « Un beau jour, Eurysthée, doutant de la force de son luron de frère, lui fit accepter plusieurs effroyables défis. Hercule partit en se persuadant bien que vouloir, c'est pouvoir. Le terrible lion de la forêt de Némée lui apparaît… Hercule, unissant l'adresse à la force et au courage, saisit l'animal par la queue, et le fait tournoyer avec la violence d'une fronde. » Lithographie à la plume de Gustave Doré. Planche de quatre sujets, 34,8 x 26,1 cmTiré à part avec la lettre des planches n°1 et 2 publiées dans Les travaux d'Hercule par Gustave DoréAubert & Cie (Paris), 1847. BnF, département des Estampes et de la Photographie, DC-298 (V, 1)-PET FOL © Bibliothèque nationale de France « Le maire de la commune de Némée vient féliciter le triomphateur d'avoir purgé ses états d'un voisin si incommode. Planche de quatre sujets, 34,8 x 26 cmTiré à part avec la lettre des planches n°5 et 6 publiées dans Les travaux d'Hercule par Gustave DoréAubert & Cie (Paris), 1847. Dessin de Gustave Doré. dor_157
Hydre de Lerne L’Hydre de Lerne (en grec ancien Λερναία Ὕδρα / Lernaía Húdra) est une créature de la mythologie grecque. Tuer l'Hydre de Lerne constitue le deuxième des douze travaux d'Héraclès. Étymologie[modifier | modifier le code] Généalogie et naissance[modifier | modifier le code] « [...] la divine Échidna au cœur intrépide, moitié Nymphe aux yeux noirs et aux belles joues, moitié serpent énorme et terrible, marqué de taches diverses et nourri de chairs sanglantes dans les entrailles de la Terre sacrée. Ce monstre habite un antre profond dans le creux d'un rocher, loin des hommes et des Immortels : c'est là que les dieux lui assignèrent une glorieuse demeure. Descriptions[modifier | modifier le code] L'Hydre est décrite de façon différente selon les versions : Dans la plupart des versions, elle a un corps de serpent et entre cinq et neuf têtes. Les travaux d'Héraclès (Hercule)[modifier | modifier le code] L'Hydre vivait dans une caverne près du lac de Lerne. « [...] Sur les autres projets Wikimedia :
The Unofficial Ancient Roman Monster Survival Guide Posted on 22. Oct, 2013 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture Welcome to the Unofficial Ancient Roman Monster Guide! While, everyone knows about centaurs, harpies, cyclopes, mermaids, sirens, the chimera, hydra, giants, and et cetera; this guide’s goal is expose the truth of the monsters that hide under our very noses! Number 1 Yales serving as supporters above the gate of St John’s College, Cambridge Number 2 Monster: Manticore which means “Man-Eater”First Spotting: PersiaForm: Body of a red lion, a human head, with a trumpet-like voice. Number 3 The basilisk and the weasel, print attributed to Wenceslas Hollar. Monster: Basilisk or Regulus which means “Little King”First Spotting: Cyrene, LibyaForm: A small snake “not longer than twelve fingers” with a crown shaped crest on its head. Number 4 Hercules killing the fire-breathing Cacus, engraving by Sebald Beham (1545) Number 5 Amphisbaena Safety and Caution Procedures I. or II. III. IV. Share this Post! About Brittany Britanniae
Les 12 travaux d'Hercule : l'hydre de Lerne erne se trouve près d’Argos, contrée non seulement fertile mais aussi sacrée car c’est ici que Dionysos descendit au Tartare. C’est donc dans cette région, célèbre pour ses rites nocturnes, que doit se rendre Héraclès pour sa seconde épreuve ; cette dernière consiste à débarrasser la population d’une bête terrifiante qui répand un venin si toxique que son haleine ou son odeur seuls suffisent à empoisonner les mortels : l’hydre de Lerne, monstre au corps de crustacé (de dragon ou de chien selon les sources) à qui l’on attribue de 5 à 100 têtes dont l’une est immortelle. Son repaire se trouve dans le marais de Lerne, tourbière sans fond dans laquelle disparaissent de nombreux téméraires… Guidé par son neveu Iolas, Héraclès arrive dans la région désolée de Lerne. Ne voyant ni âme qui vive, il contraint le monstre à sortir de son antre en décochant des flèches enflammées sur les roseaux avoisinants ; effrayée par les flammes, la bête surgit de sous un platane.
Monsters and mythical creatures invade Rome (photos) | FOLLOWING HADRIAN The Roman National Museum at Palazzo Massimo is hosting a superb and original exhibition called “Mostri, creature fantastiche della paura e del mito” (Monsters, fantastic creatures of fear and myth). The show brings together over 100 works from 40 museums, depicting fantastical creatures, all in a series of dark passages intended to resemble the Minotaur’s labyrinth. Monsters. Fantastic Creatures of Fear and Myth Exhibition, Palazzo Massimo, Rome There are griffins, chimeras, gorgons, centaurs, sirens, satyrs, harpies, sphinxes, alongside the Minotaur, Scylla and Pegasus, all represented on different types of objects: sculptures, architectural decorations, vases, frescoes and mosaics. I explored the exhibition and was spellbound by the mythical creatures I saw. Black figure amphora showing a Chimera, 550-525 BC, Tolfa Group from southern Etruria, Monsters. Gorgon’s head, from the Temple of Venus and Roma in Rome, 2nd century AD, Monsters.
Gods and mythological creatures in The Iliad in ancient art Homer’s The Iliad is filled with references to the gods and other creatures in Greek mythology. The gods regularly interfere with the Trojan War and the fate of various Achaean and Trojan warriors. In the following slideshow, images from Barry B. Powell’s new free verse translation of The Iliad by Homer illustrate the gods’ various appearances and roles throughout the epic poem. Fig 2.3 – In this relief from the Parthenon in Athens a bearded Centaur seizes the hair of a Lapith youth and prepares to kill him. Fig 20.2 – Zeus, naked except for a cloak wrapped over his arms, his scepter at his side, seizes the handsome naked boy by the arm and shoulder.