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EMC2 association d’entreprises dédiée à l’innovation des technologies avancées de production

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Elastopole | Pôle de compétitivité | Elastopôle Comprendre notre démarche - Usine du Futur Agir aujourd’hui, pour faire de l’Industrie du Futur une réalité française L’Usine du Futur… quel mécanicien ne l’a pas rêvée ? Parce que nous fournissons les équipements de production de toutes les filières industrielles, penser l’usine d’aujourd’hui et préparer celle de demain est une dimension incontournable de notre métier de mécanicien. Nous sommes au cœur des usines, nous devons être aux avant-postes de leur évolution. L’Industrie du Futur ne pourra véritablement émerger que si nous investissons aujourd’hui pour les usines de de¬main. Notre approche est donc résolument opérationnelle. *La FIM est l’un des membres fondateurs de l’Alliance Industrie du futur. Fruit d’un travail collectif, la coordination des travaux et l’animation du comité de pilotage ont été confiés à Philippe Contet, directeur Innovation et Technologies de la Fédération des Industries Mécaniques, avec un double mandat : Ce site vous offre une synthèse des enjeux et solutions identifiées par le comité de pilotage.

Mov'eo Atlanpole Biotherapies : pôle de compétitivité international en Biotechnologies de la santé Industrie du futur Qu'est-ce que l'Industrie du futur ? Le numérique bouleverse les usages et les marchés, il fait tomber les barrières entre produits et services. Pour s'y adapter, l'industrie doit intégrer le numérique à toutes les échelles et à toutes les étapes de son activité. L'Industrie du futur est donc plus connectée, plus compétitive, plus réactive aux besoins des clients et plus respectueuse de l'environnement et des travailleurs. En avril 2015 l'Etat a lancé le projet de mobilisation nationale Industrie du futur. Lancée en juillet 2015, l'Alliance Industrie du Futur (AIF) est chargée de déployer le projet sur tout le territoire.

Valorial - Valorisation Recherche et Innovation Alimentaire Introduction à Industrie 4.0 L’expression "Industrie 4.0" désigne la quatrième révolution industrielle, succédant aux trois phases d’évolution majeures qualifiées de révolutions : la mécanisation, l’industrialisation, l’automatisation. D’autres auteurs mettent en avant trois phases qui se distinguent par : la machine à vapeur, qui permet d’utiliser une énergie non musculaire (humaine ou animale) et qui affranchit l’entrepreneur de s’installer à proximité d’un cours d’eau, l’énergie hydraulique étant la principale source d’énergie "industrielle" jusque-làl’électricité, qui permettra des rendements énergétiques plus importants que la vapeur et ouvre des possibilités d’applications et conversions autres que mécaniques ou thermiquesl’automatisation, qui remplace l’humain dans des tâches répétitives, dangereuses et qui symbolise l’effet ciseau des coûts entre les technologies et l’emploi humain La quatrième révolution est celle des ressources interconnectées et communicantes et de l’analyse des données.

Industrie 4.0 : une révolution tranquille, en profondeur, à l'heure digitale Industrie 4.0 : le terme présente des contours encore relativement ouverts comme le notent les études récentes. Selon une enquête commanditée par Siemens (oct. 2016), l'Industrie 4.0 se matérialise par les outils de conception par ordinateurs (pour 70% des répondants), par des usines "intelligentes", par des produits "intelligents" (smarts) (64%), par l'Internet des objets (56%) ainsi que par des systèmes autonomes modulaires (robotique) (46%), l'impression 3D (44%) et les systèmes "cyber-physiques" (42%). Illustration du concept d'industrie 4.0 montrant les quatre "révolutions industrielles". Siemens, ce n'est pas un hasard. En juillet 2015, la France a créé l'Alliance Industrie du Futur, à l'initiative d'organisations professionnelles et d'institutions de la recherche (dont le CEA, CETIM, Arts & Métiers, ParisTech, Institut Mines-Télécom). Nouvelles formes de coopération Le périmètre de l'Industrie 4.0 (Source : BCG - Institute_Aethon.com) Robots autonomes ou impression 3D ?

Industrie 4.0 : le digital au service de l’usine du fut Repenser vos process Améliorer la performance de vos opérations en utilisant le big data vous amène à repenser vos process. Pour piloter vos actifs en temps réel, vous connectez vos machines pour mieux les localiser et les superviser. Enfin, vous devez garantir la disponibilité de vos systèmes en protégeant votre outil de production et votre Système d’Information contre les attaques. Une sécurité renforcée pour vos activités L’entrée de vos actifs de production et de vos produits dans le digital est une opportunité pour consolider la cybersécurité de vos réseaux, de votre SI et des objets et machines dans vos usines : il n’y a pas d’usine agile et connectée sans sécurité.

Cinq célèbres innovations mises au point par des immigrés en Russie Au cours de sa longue histoire, la Russie a vu défiler sur ses terres des dizaines d'étrangers ayant contribué de façon importante au développement de sa science. Certains de leurs projets ont même traversé les frontières pour finalement avoir une résonance mondiale. 1. L'acide acétique congelé D’origine allemande, Johan Tobias Lowitz partit pour l’Empire russe à l’âge de 11 ans. 2. L’ingénieur suédois Willgodt Theophil Odhner a essentiellement vécu et travaillé à Saint-Pétersbourg. Lire aussi : Top 5 des inventions d'Ivan Koulibine, génie russe autodidacte 3. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, des centaines de spécialistes techniques allemands furent envoyées aux États-Unis et en URSS afin de mettre les connaissances de ces pays au profit de l’industrie militaire nationale. 4. Yuriy Zaritovskiy/Sputnik Au début des années 1960, « le père du design industriel », Raymond Loewy, fut invité en Union Soviétique pour participer à la réalisation de plusieurs projets. 5.

Comment je fais ma veille en 2017 Certains disent que Twitter se déshumanise. La pérennité de Médium a été plusieurs fois remise en question, tout comme la pertinence des articles postés sur Hacker News. Le RSS semble tomber dans l’oubli… Mais alors, où et comment faire sa veille aujourd’hui ? J’ai toujours été obsédé par la veille (technique, concurrentielle, informationnelle…). J’avais écrit un article en 2009 pour expliquer comment réaliser une veille technique. Ma stratégie Ma veille est principalement basée sur des flux RSS. Cela fait des années que je partage le meilleur de ce que je lis sur Twitter (@camilleroux). Comment découvrir de nouvelles sources intéressantes ? Tout d’abord, je m’efforce d’être assez prudent sur mes ajouts de sources. Je trouve mes sources d’informations de plusieurs manières : Mes outils Ma veille se base principalement sur le lecteur de flux RSS Inoreader (merci à Eric Daspet pour la découverte). Mon organisation Bonne veille !

Infosec : Outils de veille technologique Pour se tenir à jour dans tous les domaines de l’informatique, il faut avoir les bons outils, je vais ici vous présenter mes outils de veille technologique. Je tiens à préciser qu’il ne s’agit que de mes outils et qu’il est fort possible que je passe à côté d’un tas de choses dans cet article. Le but étant justement de pousser au partage pour que tout le monde échange ses propres outils de veille technologique Ne travaillant pas encore dans le domaine de la sécurité informatique à proprement dit, je n’ai pas l’occasion de croiser des collègues avec qui en discuter pendant la pause café. J’ai donc dû trouver un moyen de me tenir à jour des dernières failles, des dernières attaques, des dernières solutions de défense sur le marché, etc. Pour cela, et après avoir suivi quelques conseils sur la meilleure façon de se tenir à jour, je centre ma veille technologique autour de trois outils. Twitter Suivre les bonnes personnes Utilisation des hashtags Attention, ce n’est pas une science exacte ! ).

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