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Ecarts de rémunérations entre salariés et PDG : quelles sont les entreprises françaises les plus inégalitaires ?

Ecarts de rémunérations entre salariés et PDG : quelles sont les entreprises françaises les plus inégalitaires ?
Quel devrait être l’écart raisonnable de rémunération entre les salariés et leur patron ? Dans les années 1930, l’industriel Henry Ford, grande figure du capitalisme, estimait que pour être « admissible », l’échelle des salaires au sein d’une entreprise ne devait pas dépasser 1 à 40. Un bon demi-siècle plus tard, suite à la crise financière de 2008, le président Barak Obama propose de plafonner à 500 000 dollars la rémunération annuelle des dirigeants des entreprises renflouées par l’État. Soit un écart d’environ 1 à 25 avec le salaire minimum. De son côté, le gouvernement français décide en juin 2012 d’encadrer les rémunérations des dirigeants des entreprises publiques, sur une échelle de 1 à 20 comparé au salaire moyen. Le « marché » est, lui, beaucoup plus généreux avec les dirigeants d’entreprises cotées que ne le sont Barack Obama et François Hollande, ou que ne l’était Henry Ford, pourtant très éloigné de l’idéal socialiste. Derrière Publicis, arrive LVMH. Écarts inadmissibles Related:  Salaires (ceux des grands patrons et des autres)

Les Suisses appelés à limiter le salaire des patrons Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Les électeurs suisses sont appelés à se prononcer, dimanche 24 novembre, sur l'encadrement des rémunérations des dirigeants d'entreprise. Si l'initiative "1:12 Pour des salaires équitables", lancée par la Jeunesse socialiste (JS), recueille la majorité des voix dans les vingt-six cantons et à l'échelle nationale, elle interdira aux patrons de gagner plus de douze fois le salaire le plus bas dans leur entreprise. "Au cours des dix dernières années, une petite partie de la société s'est emparée de la plus grosse partie des bénéfices", s'insurge David Roth, le président de la JS, dont l'initiative a réuni les 100 000 signatures nécessaires pour permettre l'organisation d'une votation nationale. Les partisans de "1:12" ont organisé le 2 novembre une manifestation devant les bâtiments abritant la banque UBS à Zurich, symbole selon eux de tous les excès salariaux. Pour certains cadres et dirigeants, le manque à gagner serait élevé.

« Is This Brand a Friend? Le Dr Antonella Mei-Pochtler, Senior Partner and Managing Director pour le BCG (Boston Consulting Group) à Munich et à Vienne, se demandait en mai 2009 si une marque pouvait être une amie. Le titre de son étude était tout simplement « Is This Brand a Friend? The Emergence of Citizen Brands as a Missing Link Between Social Responsibility, Growth, and Value”. Et, elle penchait pour l’affirmative. Henkel en constituait selon elle un symbole. Même son de cloche en France. Dès février 2008, Paolo Landi, Directeur de la publicité monde du groupe Benetton (Stratégies Magazine n°1490) indiquait que le designer avait du s’adapter à Pour les spécialistes, les marques doivent adopter la bonne attitude face aux réseaux sociaux: faire savoir sans mentir, être transparent, écouter avant de parler, accepter les critiques, se remettre en cause, faire vivre une communauté, adopter un langage adapté,... L’attachement se mérite. Mais, il peut se révéler aussi utile de bien s’entourer.

Les salaires des Français n'ont pas beaucoup augmenté depuis 1995 Vos salaires stagnent depuis deux décennies. L’Insee dans l'édition 2013 de son étude «France, portrait social», publiée ce jeudi, relève que de 1995 à 2011, le revenu salarial a augmenté en moyenne de 0,7% par an en euros constants. Dans le détail, l'augmentation est de 0,8% dans le privé et de 0,3% dans le public. En fait, dans le privé, les salaires ont augmenté, mais le temps de travail a baissé. Le reveenu salarial ralentit depuis 2008, et baisse de 0,2% en 2011, de manière plus prononcée pour les salariés de la fonction publique et les seniors. Par ailleurs, l'Insee rappelle qu'entre la fin des années 1970 et le milieu des années 1990, le revenu salarial moyen a reculé à un rythme de -0,3% par an.

Will Switzerland Vote to Limit CEO Pay? Should CEO pay be limited? That’s a question Switzerland is putting to its voters this month. A new referendum on the ballot would institute what amounts to a “maximum wage” for business executives. Under the proposed law, Swiss CEOs would not be permitted to earn more than 12 times the amount of their company’s lowest paid employee. The idea is to halt income equality by lessening the salary gap. Switzerland’s ill will toward rising CEO pay has mounted in recent months. For what’s it worth, advocates of the proposal point out that the law would only impact 0.3% of existing businesses – and 3,400 corporate executives in total — in Switzerland. Although the proposal looked like it may pass after it first gained recognition, the poll numbers shifted in the following months. The sway in public opinion is not surprising considering a massive campaign against the potential law. Part of the problem might be that the reach is too much too soon.

Revenus-Salaires - Les très hauts salaires du secteur privé Michel Amar, division salaires et revenus d’activité Résumé En 2007, 1 % des salariés à temps complet, les mieux rémunérés du secteur privé, perçoivent un salaire annuel moyen de 215 600 euros : ce sont les très hauts salaires. C’est sept fois plus que la moyenne des salariés à temps complet. Ce sont principalement des dirigeants d’entreprise, des professionnels de la finance ou des commerciaux. Les très hauts salaires qui avaient déjà un emploi en 2002, ont bénéficié, au cours des cinq années suivantes, d’augmentations substantielles : + 5,8 % par an, en moyenne et en euros constants, pour ceux qui étaient déjà « au top de la hiérarchie salariale » en 2002 et + 14,5 % pour ceux qui y ont accédé en cours de période, contre + 2,3 % en moyenne pour l’ensemble des salariés ayant travaillé continûment sur la période 2002-2007. Sommaire Encadré Des emplois bien rémunérés aussi chez les non-salariés Publication Dans le secteur privé, un salaire moyen de 215 700 euros pour 1 % des salariés Encadré

Prime de départ : 1750 fois plus pour le patron de PSA que pour les salariés d'Aulnay Notre éditorialiste Olivier Duhamel se demande comment justifier les 21 millions d’euros accordés au patron de Peugeot pour son départ. >> Retraite complémentaire pour le Président du directoire : 21 millions d’euros. Philippe Varin dirige le groupe depuis quatre ans. Avec un salaire annuel de plus de trois millions d’euros. De quoi épargner un peu pour le futur. Il reçoit donc 21 millions d’euros de retraite complémentaire révèle ce mardi 26 novembre Jean-Pierre Mercier, délégué CGT à l’usine d’Aulnay sur LCI. untitled Retraites chapeau : un renoncement et trois questions Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Maxime Vaudano « Compte tenu de la polémique », le futur ex-patron de PSA, Philippe Varin, a décidé de renoncer à l’enveloppe de 21 millions d’euros sur vingt-cinq ans que lui promettait son dispositif de retraite chapeau. Le résultat d’un long processus de délégitimation de cette pratique, lié à la multiplication des scandales dans les années 2000. 1) 21 millions d’euros, un montant inhabituel ? Apparu dans les années 1980 pour compenser l’absence de contrat de travail (et donc de droit à la retraite) des mandataires sociaux, le système des retraites chapeaux a été progressivement détourné de son objectif, venant s’ajouter aux parachutes dorés et autres primes de départ des grands patrons. Les provisions mises à disposition par les entreprises représentent généralement une avance de vingt à trente ans, calquée sur l’espérance de vie moyenne. 2) Beaucoup de patrons renoncent-ils à leur retraite chapeau ? 3) L’État peut-il faire quelque chose ? La fiscalité

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