Les Suisses appelés à limiter le salaire des patrons
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Les électeurs suisses sont appelés à se prononcer, dimanche 24 novembre, sur l'encadrement des rémunérations des dirigeants d'entreprise. Si l'initiative "1:12 Pour des salaires équitables", lancée par la Jeunesse socialiste (JS), recueille la majorité des voix dans les vingt-six cantons et à l'échelle nationale, elle interdira aux patrons de gagner plus de douze fois le salaire le plus bas dans leur entreprise. "Au cours des dix dernières années, une petite partie de la société s'est emparée de la plus grosse partie des bénéfices", s'insurge David Roth, le président de la JS, dont l'initiative a réuni les 100 000 signatures nécessaires pour permettre l'organisation d'une votation nationale. Les partisans de "1:12" ont organisé le 2 novembre une manifestation devant les bâtiments abritant la banque UBS à Zurich, symbole selon eux de tous les excès salariaux. Pour certains cadres et dirigeants, le manque à gagner serait élevé.
Chambre Régionale de l'Economie Sociale du Languedoc-Roussillon // Une ressource pédagogique
La gouvernance d'une entreprise peut être définie comme des « procédures et structures mises en place pour diriger et gérer les affaires d'une entreprise de façon à assurer un meilleur équilibre entre les instances de direction, les instances de contrôle et les actionnaires ou sociétaires ». Autrement dit, la gouvernance est la répartition du pouvoir, le pouvoir étant, selon la définition donnée par Henri Mintzberg, « la capacité à produire ou à modifier des résultats organisationnels, à faire exécuter ce que l'on souhaite pour obtenir ce que l'on veut ». Dans les entreprises capitalistes, les éléments de la gouvernance sont relativement simples et identifiables, du fait que l'objectif poursuivi par tous est la maximisation du profit : même si de nombreuses innovations, sociales et organisationnelles, se sont développées ces dernières années au sein de ces entreprises, la gouvernance y reste donc relativement unilatérale. II-1) Application du schéma de Marie-Claire Malo
Will Switzerland Vote to Limit CEO Pay?
Should CEO pay be limited? That’s a question Switzerland is putting to its voters this month. A new referendum on the ballot would institute what amounts to a “maximum wage” for business executives. Under the proposed law, Swiss CEOs would not be permitted to earn more than 12 times the amount of their company’s lowest paid employee. The idea is to halt income equality by lessening the salary gap. Switzerland’s ill will toward rising CEO pay has mounted in recent months. For what’s it worth, advocates of the proposal point out that the law would only impact 0.3% of existing businesses – and 3,400 corporate executives in total — in Switzerland. Although the proposal looked like it may pass after it first gained recognition, the poll numbers shifted in the following months. The sway in public opinion is not surprising considering a massive campaign against the potential law. Part of the problem might be that the reach is too much too soon.
L'ESS dans le programme de quatre candidats aux primaires citoyennes à Marseille
Nous avons suivi dans ce blog la place de l’ESS dans les campagnes électorales des élections régionales de 2010 et de l’élection présidentielle de 2012 suivi qui nous permis de présenter une communication lors du dernier congrès de l’Assciation Française de Science Politique (voir L’Économie Sociale et Solidaire dans les dernières campagnes électorales en France. Analyse des argumentaires dans les élections régionales de 2010 et présidentielles de 2012) Nous ne pourrons pas faire le même suivi pour les prochaines élections municipales, tant la multiplicité des campagnes rend la tâche hors de portée d’un artisan comme moi, et nous contenterons de quelques approches, soit dans des villes emblématiques, soit parce les propositions seront apparues particulièreent dignes d’intérêt. Nous avons donc consulté les sites de campagne des six candidats et recherché leurs propositions en matière d’ESS. A la date du 4 octobre, nous n’avons rien trouvé pour Henri Jibrayel et Christophe Masse. 3.21.
Prime de départ : 1750 fois plus pour le patron de PSA que pour les salariés d'Aulnay
Notre éditorialiste Olivier Duhamel se demande comment justifier les 21 millions d’euros accordés au patron de Peugeot pour son départ. >> Retraite complémentaire pour le Président du directoire : 21 millions d’euros. Philippe Varin dirige le groupe depuis quatre ans. Avec un salaire annuel de plus de trois millions d’euros. De quoi épargner un peu pour le futur. Il reçoit donc 21 millions d’euros de retraite complémentaire révèle ce mardi 26 novembre Jean-Pierre Mercier, délégué CGT à l’usine d’Aulnay sur LCI.
Les ressources - Centre d'économie sociale - Cnam -
► un choix de livres [PDF - 366 Ko]spécialisés dans les domaines de l’économie sociale, du travail social, de la culture, de l’éducation populaire et du développement local.► des revues (Revue internationale de l’économie sociale (RECMA), Sciences Humaines, Alternatives économique, Lien Social, Association Mode d'emploi…)► un choix de mémoires [PDF - 93 Ko]déjà soutenus dans le cadre du "diplôme de manager d'organismes à vocation sociale et culturelle". ► Trois ouvrages peuvent être empruntés simultanément d’une semaine de formation à la suivante. Les revues, dictionnaires et encyclopédies ne peuvent pas être empruntés mais une photocopieuse est à votre disposition. ► Les auditeurs peuvent effectuer des recherches en ligne sur un poste mis à leur disposition dans notre bureau. ► Nous proposons un guide établie par Pascale Chaput, coordonnatrice de programme, sur la documentation d'un travail de recherche avec des conseils méthodologiques.
Retraites chapeau : un renoncement et trois questions
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Maxime Vaudano « Compte tenu de la polémique », le futur ex-patron de PSA, Philippe Varin, a décidé de renoncer à l’enveloppe de 21 millions d’euros sur vingt-cinq ans que lui promettait son dispositif de retraite chapeau. Le résultat d’un long processus de délégitimation de cette pratique, lié à la multiplication des scandales dans les années 2000. 1) 21 millions d’euros, un montant inhabituel ? Apparu dans les années 1980 pour compenser l’absence de contrat de travail (et donc de droit à la retraite) des mandataires sociaux, le système des retraites chapeaux a été progressivement détourné de son objectif, venant s’ajouter aux parachutes dorés et autres primes de départ des grands patrons. Les provisions mises à disposition par les entreprises représentent généralement une avance de vingt à trente ans, calquée sur l’espérance de vie moyenne. 2) Beaucoup de patrons renoncent-ils à leur retraite chapeau ? 3) L’État peut-il faire quelque chose ? La fiscalité
"Territoire et légitimité des banques coopératives : implication du salarié ubiquiste au Crédit Mutuel de Bretagne", Sébastien Le Foll
3e Prix de la Recherche coopérative, 5e édition, organisé par le Crédit Mutuel et la Recma (UBO, IAE de Bretagne Occidentale, sous la direction de Professeur Christian Cadiou Master 2 Recherche en Sciences de Gestion Année 2012-2013) Le résumé Les banques coopératives sont aujourd’hui à la croisée des chemins entre hybridation de leur modèle de gouvernance et reconquête de l’identité coopérative. Le mémoire Sommaire Partie 1 - La place des salariés dans la gouvernance d’une banque coopérative : présentation des concepts, définition d’un cadre théorique et propositions ....................... 9 1. 1.1. contemporaines ............................................................................................................. 9 1.1.1. 1.1.2. 1.1.3. 1.1.4. 1.2. 1.2.1. 1.2.2. 1.2.3. 1.2.4. 1.2.5. 1.3. 2. place de propositions ...................................................................................................... 50 2.1. 2.1.1. 2.1.2. 2.1.3. 2.2. 2.2.1. 2.2.2. 2.2.3. 2.3. 3. 3.1. 4.