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Le jardin en carré - Blog de l' herbularius

Le jardin en carré - Blog de l' herbularius
Les jardin en carré C'est un jardinier américain, Mel Bartholomew, qui a popularisé la technique du potager en carrés dans son ouvrage "Square Foot Gardening" publié pour la première fois en 1981. Les principaux avantages de cette nouvelle approche culturale: besoin de peu d'espace : 5 fois moins que le jardinage conventionnelon peut appliquer cette technique sur une très petite surface (une terrasse suffit), comme on peut l'étendre à l'envi dans un grand jardin, en multipliant les carréspeu importe que le sol soit de "mauvaise" qualité : les cultures sont réalisées dans un mélange de terre adaptéles besoins en eau sont nettement limités : environ 5 fois moins que pour un potager normalpas besoin d'engrais ni de pesticides : méthode 100% naturelle !nul besoin d'éclaircissage, et très peu de grainesles principales difficultés du jardinage sont supprimées : seul reste le "jardin plaisir" ! Bordures Related:  jardin et conseil

Potager en carrés Présentation du potager en carrés En 1980, l’américain Mel Bartholomew écrit "Square Foot Gardening", "le jardinage en carrés" en français, un livre qui va révolutionner le monde du jardinage et permettre à nombre de petits jardins d’acquérir un potager à bon rendement. Un potager de 6 carrés procure suffisamment de légumes pour 2 personnes sur toute l’année. Le principe repose sur la culture de légumes dans 4 carrés de terre découpés chacun en 16 plus petits carrés. Ainsi organisé, le potager vous demandera moins d’entretien, moins de temps, moins d’arrosage et aucun apport d’engrais. Le potager en carrés peut être réalisé dans un jardin quelque soit sa taille, sur une terrasse ou un balcon ; il est idéal pour les petits jardins et la culture hors sol. Les carrés de potager sont le plus souvent matérialisés par des planches de bois, du pin, du mélèze, des bois certifiés FSC de préférence ! Installation du potager en carrés

Multiplier les plantes à moindre coût Il n'est pas nécessaire de dépenser beaucoup pour obtenir un jardin bien fourni ou très fleuri dès les beaux jours. Des techniques très simples de multiplication demandant un investissement minimal et juste un peu temps vous permettront de réaliser de substantielles économies et vous prendrez plaisir à faire naître vos plantes. Faire ses semis Bisannuelles Au printemps, ces fleurs permettent de composer de grandes taches fleuries mais si vous devez acheter les plantes en godets, le coût peut être important. Préférez le semis. >> Lire aussi : Plantation des bisannuelles Vivaces On plante fréquemment des vivaces élevées en godet ou on divise les souches. Récupérer graines, noyaux et semis spontanés Pendant la saison des fruits, récupérez les noyaux de pêche, d’abricot et de prune que vous stratifierez en automne et sèmerez au printemps (lire : Réveillez vos graines et noyaux). >> Lire aussi : Récupérer les semis spontanés du jardin Diviser Les rhizomes d'iris se plantent à fleur de terre

Compostage de Surface : Avantages, Déchets à Composter Voilà une idée bien étrange que de vouloir étaler ses déchets organiques dans le potager ! Pourtant, à y regarder de plus près, le compostage de surface a bien des avantages, pour le jardin comme pour le jardinier ! Entre paillis et compost Comme le compost en tas, le compost de surface vise à entretenir ou améliorer la fertilité du sol par le recyclage des déchets organiques. Pourtant, le compost de surface n'est pas, à proprement parler, un compost ; il ne fait pas intervenir le même processus de dégradation des matières organiques que le compost en tas (fermentation avec hausse des températures). Pourquoi pratiquer le compostage de surface ? Plusieurs avantages se dégagent de cette technique. D'une part, elle exige moins de travail. Quels déchets peut-on composter en surface ? Beaucoup de jardiniers utilisent le compost de surface spontanément, avec les déchets du jardin, et, en particulier, avec les feuilles mortes ou les déchets de taille (sous forme de BRF). Sous la paille

Semer la tomate : quand ? comment ? La plupart des jardiniers attendent le printemps pour acheter leurs plants. Or, le semis des tomates est facile à réussir; il permet de cultiver des variétés originales, savoureuses, anciennes, d'étaler les récoltes et le tout, en faisant de belles économies. Essayez ! Cette année, je sème des tomates ! Il faut avoir cultivé ses propres tomates au jardin (lire : Culture de la tomate) pour comprendre toute la différence qui existe entre le produit de ses propres récoltes, et ces choses rondes, rouges, farineuses et insipides que l'on vous propose dans le commerce... Les jardiniers amateurs se lancent donc généralement dans la culture de plants, qu'ils achètent en godets au printemps. La solution ? >> Lire aussi : Le semis de tomate, facile à réussir Le semis de tomate est à la portée des débutants. Quand semer la tomate ? Les premiers semis peuvent être réalisés dès la fin janvier. >> Lire aussi : Où semer les légumes ? Semis de tomate en pratique Matériel nécessaire Préparation Semis Arrosage

Association de plantes Un article de Encyclo-ecolo.com. (Redirigé depuis Cultures associées) Les cultures associées ou l'association de culture L’alternance et l’association des cultures consistent à faire des cultures associées à leur mutuel bénéfice. Dans l'agriculture moderne, les associations d’espèces de plantes ont quasiment disparu. De nos jours, avec le retour de l'agriculture biologique, avec la montée des préoccupations liées à la pollution, à la qualité sanitaire des aliments et plus généralement à l’environnement, les associations de plantes sont à nouveau à l'honneur. Avec l'association des cultures, ce que cherche le jardinier ou l'exploitant agricole, c'est à "minimiser les intrants" (engrais, produits phtytosanitaires pesticides ou herbicides, azote, eau) et une plus grande efficacité des systèmes de production dans une logique de développement durable ou de jardinage écologique. Les associations de plantes les plus connues sont les associations graminées (céréale) - légumineuses à graines. Orme :

Guide d’un bon jardinier : quand planter les tomates ? Les tomates sont les grandes stars du potager. Presque tous les jardiniers en ont une variété dans leur jardin. Les tomates sont faciles à mettre en terre et également facile à entretenir. Cela vous permettra de faire des apéros ou une bonne salade pour vos invités. Prenez soin de vos plants de tomates au préalable Peu importe la variété de tomate que vous souhaitiez, l’élément-clé qui vous permettra d’avoir des tomates bien mûres est de choisir avec soin vos plants et les traités de la bonne manière. À quelle période planter les tomates ? Si vous voulez mettre en terre vos plants de tomates, il est plus préférable de suivre un peu la prévision météo agricole. Serre ou milieu extérieur pour planter les tomates ? Beaucoup d’entre vous se demandent où est l’endroit favorable pour planter les tomates ?

Que peut-on cultiver sur son balcon ou sur sa terrasse? « Plantes L’avantage d’un jardin en pots est qu’en respectant le besoin des plantes, il y a moyen de changer de décor à volonté. Le bois, la terre cuite et le grès sont les meilleurs matériaux car ils permettent aux racines de respirer. Le grès ne craint pas les fortes gelées. Le bois présente l’inconvénient de pourrir. Quant aux bacs en plastique, d’une esthétique discutable, ils présentent l’avantage d’être léger et souvent de couleur agréable. Dans des pots ou des jardinières, on peut cultiver sur un balcon ou sur une terrasse bon nombre de légumes et de petits fruits avec un rendement correct: au printemps et en été: les plantes aromatiques dont le basilic, les tomates, les tomates-cerises, les salades, les radis, les aubergines…à l’automne et en hiver: les salades dont la mâche Cet article vous propose des idées de jardinières composées de différents légumes. Quelle exposition pour mes plantes ? La meilleure exposition demeure le sud, sud-est ou sud-ouest. > Semer de la mâche en pot Les radis

Cultures associées Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. Certaines plantes poussent mieux, ou moins bien, au voisinage d'autres plantes, notamment par un phénomène nommé allélopathie. Certaines plantes vivent en symbiose les unes avec les autres, et d'autres s'entraident... Elles sont alors dites plantes compagnes ou plantes amies. La mise en association volontaire de ces espèces par l'homme est appelée culture associée, ou encore compagnonnage botanique. Ce type de mise en cultures, permet de mieux polliniser, de stimuler et protéger efficacement les plantes cultivées, de divers parasites, micro-organismes et maladies. Les écosystèmes peuvent être facilement régénérés et protégés. En fait, dans un cadre de cultures associées, l'utilisation dans un jardin potager ou un champs, des herbicides (ou d'autres coûteux pesticides), est fortement limitée; voir peut être totalement supprimée (cas des cultures bio et biodynamiques). Principes Les types de plantes mises en association Nota Bene: En conclusions

Engrais naturel pour votre jardin : lequel choisir ? Confectionner vous-même vos engrais naturels est un moyen à la fois pratique, écologique et surtout économique ? Le bio c’est toujours une bonne chose quand il s’agit de jardinerie. Vos engrais naturels apporteront les nutriments nécessaires à vos plantes et potager. Les coquilles d’œufs en guise d’engrais Vous avez déjà sûrement vu des coquilles d’œufs tout autour des plantes ou sur la surface du sol. Engrais bio avec de la cendre Cette fois-ci, c’est du liquide fertilisant. Le purin d’ortie pour une meilleure résistance Le purin d’ortie est un engrais bio qui apporte une grande quantité d’azote à vos plantes. Une floraison parfaite avec un engrais en peau de banane Calcium, potassium ou encore phosphore ; tout cela, vous pourrez le retrouver avec les peaux de banane. Augmentez l’acidité de votre terre avec du Marc de café Certaines plantes ont besoin d’un sol acide pour bien s’épanouir. Économisez donc votre argent et orientez-vous aux engrais naturels.

°°Faire sois-même ses bacs à fleurs°° : °°lejardindeclaire°° Dernièrement, nous avons travaillé sur notre terrasse à la réalisation de bacs à fleurs. Comme ces produits valent assez cher dans le commerce (90€ en moyenne dans les magasins de bricolage pour la taille dont on a besoin), nous avons opté pour une solution bricolage maison. Comme vous le voyez, nous sommes partis de palettes que nous avons trouvées dans la rue pour fabriquer des bacs qui (je trouve) sont plutôt pas mal ! Coût total de l'opération : 10€ Consultez le reste de la note pour une explication détaillée des différentes étapes de fabrication. Détail des achats (10€) : -une boîte de vis à bois, qui pourrons servir pour de nombreux bacs, 3€ -tasseaux de bois 4x4cm. -une bâche plastique qui peut faire de nombreux bacs, 4€ -un peu de géotextile. Outils à avoir sous la main pour le montage : -marteau -pied de biche (ou quelque chose pour faire levier) -tenailles -scie à bois -serre-joints d'angle -visseuse -agrafeuse murale -ciseaux Détails du montage : Étape 1 Étape 2 Il y a 3 planches par face.

Irrigation solaire au goutte à goutte : une technique gratuite à la portée de tous » ecoloPop Baptisé kondenskompressor, ce système ingénieux de micro-irrigation solaire au goutte à goutte allie astucieusement recyclage, réduction du gaspillage et conservation de l’eau. Ce système d’arrosage d’une simplicité désarmante permet une utilisation optimale des ressources en eau, en particulier pour la culture dans un climat sec ou aride. Il est idéal pour les jardins communautaires, les potagers urbains mais aussi les serres de jardin. La technique du "kondenskompressor" semble avoir été mise au point vers 2008 par « Hortelano Hortament », un jardinier amateur originaire de Palma de Majorque sur les îles Baléares. La base d’une bouteille de 1.5l coupée en deux et remplie d’eau constitue le réservoir. Ce système présente l’avantage énorme de limiter le gaspillage de l’eau et permet de diviser par dix la quantité d’eau nécessaire à l’arrosage régulier. Ressources et documentation :

Permaculture - Quoi de neuf au potager ? Dans son guide du "nouveau" jardinage, Dominique Soltner préconise de couvrir en permanence le sol du potager d'une épaisse couche de "mulch" (déchets verts, paille, BRF,...). Cette technique (déjà bien connue en permaculture) favorise la vie dans le sol (vie bactérienne, vers de terre), le rend plus fertile et évite beaucoup de travail au jardinier. Un sol plus fertile La couverture du sol évite le "lessivage" des minéraux par les pluies d'hiver, une vraie catastrophe pour le sol. Fini le bêchage, et le désherbage ! Le sol est travaillé en permanence par les vers de terre sous la couche de mulch. Finis les arrosages ! La couverture permanente du sol évite le dessèchement l'été (où l'on utilisera plutôt de la paille). Le guide de Dominique Soltner Le "Guide du nouveau jardinage" est plutôt coûteux (30 eur). Toutefois, il ne m'a pas fallu 3 pages pour être totalement convaincue de la méthode ! Quelle différence avec la permaculture ? Pourquoi changer de méthode de jardinage ?

Pot à réserve d'eau pour moins de 2 € Fabrication ‘en image’ d'un pot de 12 litres à réserve d'eau, fait maison. Ce pot peux être fait avec n'importe quel seau, bassine ou baquet. Le prix comprends l'achat (facultatif) d'un seau à ciment, premier prix, dans certaines grandes surfaces de bricolage, et d'un dessous de pot ayant un diamètre suffisant pour rentrer dans le seau, presque au fond. Ce n'est pas l'aspect esthétique qui est abordé ici, mais le coût de réalisation. Les outils, tels que perceuse, scie sauteuse etc. ne sont pas inclus dans les frais de fabrication. Toutes les images s'agrandissent par simple click L'original du système de réserve d'eau d'un pot commercial et la copie à réaliser Le dessous de pot doit être percé pour laisser passer l'eau d'égouttage de la plante Le choix du pot qui servira de mèche est au choix, bouteille de plastique, petit pot en plastique ou là un pot vide d'orchidée. Pour tracer le cercle central du réservoir ‘mèche’, j'ai utilisé une craie grasse de couture Vue du tuyau en place

Les miracles de la permaculture ,La productivité insoupçonnée de la terre Faites le test autour de vous. Affirmez haut et fort que nous pourrions nous passer des engrais et des pesticides. Ajoutez que l’utilisation de l’espace agricole en France pourrait être optimisée et que les monocultures défigurent une grande partie de nos paysages. Prétendez que nous pourrions produire beaucoup plus, sur de plus petites surfaces, en recréant des emplois en masse. Arguez que les fermes du XXIe siècle seront non seulement productives, mais magnifiquement belles et que les paysans qui y travailleront gagneront peut être mieux leur vie que les agriculteurs d’aujourd’hui. Je ne donne pas cher de votre peau. Et pourtant, ce que l’agroécologie et la permaculture – entre autres – sont en train d’apporter à la réflexion agronomique démontre, s’il en était encore besoin, à quel point cette vision est fondée. Je m’engage aux côtés de Kaizen pour un monde de solutions. Je fais un don Recréer la diversité et l’interdépendance des écosystèmes

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