10 trucs pour (re) trouver l’inspiration photographique | Anne-Laure Jacquart Je dois vous faire une confidence… Mais certains d’entre vous l’avez peut-être déjà remarqué ? Il y a quelques mois, mon inspiration photographique était un peu en berne… Je connais en partie les raisons de cet état « un peu à bout de souffle photographique » et je n’étais pas vraiment inquiète, à vrai dire, car j’ai déjà vécu cela auparavant et je sais que mon inspiration revient toujours. Mais j’ai créé tant et tant de photos, notamment ces 10 dernières années, que j’ai sans doute commencé à toujours voir les mêmes choses de la même manière, et me sentais moins inspirée pour produire des images. Malgré que je sois absolument convaincue que l’on peut faire d’incroyables photos en toute situation et partout, les choses ne faisaient plus « tilt » de la même manière qu’à l’ordinaire, pour moi, ces derniers mois. ), je me sens revigorée, requinquée, rafraichie et prête à recommencer à déclencher comme une petite folle !! C’est le premier point, essentiel. En bref, créez ! créez malgré tout !
Photographie. Les gens de Dublin Eamonn Doyle est né à Dublin en 1969. Il a étudié la peinture et la photographie, mais a ensuite travaillé pendant vingt ans dans la musique avant de revenir à la photographie, en 2008. Son principal sujet est sa ville natale, Dublin, et surtout ses habitants. Son premier livre de photographies, i, a été publié en 2014. Le photographe britannique Martin Parr l’a décrit comme “le meilleur livre de photographies de rue de la décennie”. Pour On, Eamonn Doyle s’est posté dans Parnell Street et O’Connell Street. Il a volontairement inscrit leurs histoires dans la ville : “Une ville dont les murs hermétiques se sont fissurés, laissant d’une certaine façon le monde se déverser en elle.” “Ces silhouettes en noir et blanc filent dans le paysage dublinois, tour à tour perdues, inquiètes, intimidées ou extatiques, mais toujours en décalage avec leur environnement. “Les silhouettes sont dynamiques : muscles tendus, têtes à demi tournées, corps en mouvement.
Lumière sur un métier méconnu : la photographie culinaire À grand renfort de #foodporn #foodie ou #yummy, les photos de nourriture s'imposent sur les réseaux. Pourtant, n'est pas photographe culinaire qui veut. © Pierre Lucet-Penato La revue vidéo Cinq26 diffusait il y a quelques semaines un documentaire consacré à la photographie culinaire, au sein de sa série Coulisses. Parce que, pour donner envie, il est souvent nécessaire de rester dans la suggestion plutôt que d'en faire des tonnes. De plus, la photographie culinaire a aujourd'hui souvent d'autres finalités que simplement nous faire saliver. La photographie culinaire ou l'art cultivé du mensonge Le magazine en ligne Resource a partagé une liste de certaines des astuces les moins appétissantes des photographes culinaires. The Guardian présentait une séance de travail avec Kim Krejca, une styliste culinaire : "Kim [...] soudait ensemble deux coquilles de tortilla à l'aide de glu. © Kim Krejca Quand nourriture rime avec art : rencontre avec Pierre Lucet-Penato Filtre Clarendon, maggle !
Comment le laboratoire de Getty Images cherche à prendre de l'avance sur la technologie - Business À l'occasion de la Maddy Keynote, nous avons pu rencontrer Anne Boussarie. L'occasion d'interroger la Directrice Générale de Getty sur le laboratoire qui prépare cette entreprise aux mutations du marché. Vous ne le savez peut-être pas, mais l’entreprise Getty est partout. Vraiment partout. Elle travaille bien entendu avec des médias pour illustrer des articles, mais également avec des studios de cinéma ou de télévision, en passant par la publicité et la communication interne. Il n’est pas rare qu’un plan de coupe, dans un film hollywoodien ou une série soit un plan acheté sur Getty Images. Cette grande boutique de l’image, fixe ou animée, est un bon indicateur pour savoir quelles tendances vont se dessiner dans l’industrie. Pour les chercheurs qui travaillent dans l’ombre, les recherches des clients sont essentielles. Dès 2014, Getty s’est lancé dans la production d’image et de vidéos à 360 degrés alors que les premiers casques n’étaient pas encore sortis.
Photographie : à la recherche de l'auteur de clichés du Barcelone des années 1950 et 1960 Des photographies du Barcelone des années 1950 et 1960 ont ressurgi dans le XXIe siècle. En 2001, sur un marché aux puces, ce touriste américain achète ces négatifs pour une bouchée de pain, 3,50 euros. Dès les premiers tirages, il sait qu'il est tombé sur un petit trésor. "J'étais d'abord sidéré qu'un inconnu puisse être un si bon photographe. Ensuite, qu'on puisse trouver de tels négatifs comme ça, en chinant, il devait forcément y avoir une histoire derrière tout ça", témoigne Tom Sponheim, le découvreur des photos. Sur les réseaux sociaux, il se met en quête du mystérieux photographe, sans doute pas un professionnel, mais un amateur très doué. Le JT
Des colonnes lumineuses ont été observées au Canada Oubliez les aurores boréales, elles n’arrivent pas à la cheville de ces surprenantes colonnes lumineuses observées au Canada à la fin de la semaine dernière. Le plus fou ? Il s’agit d’un phénomène naturel. Timothy Joseph Elzinga habite en Ontario depuis plusieurs années. Ces colonnes lumineuses ont pas mal tourné depuis le début de la semaine. Il l’a pris contre lui et il a commencé à le bercer. Des colonnes lumineuses sont apparues en pleine nuit Timothy s’est en effet retrouvé face à un spectacle à la fois unique et rare. Comme il l’a expliqué plus tard à CBC, il a tout de suite pensé à Star Trek. Plutôt que de les garder pour lui seul, il a choisi de les partager en ligne, sur ses différents profils sociaux. Un phénomène parfaitement naturel Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces colonnes lumineuses n’ont rien de surnaturel. National Geographic lui avait d’ailleurs dédié un article complet en 2009 et il avait expliqué la formation de ses colonnes.
Photographie. Eilon Paz et les dingues du disque vinyle Entretien avec le photographe new-yorkais qui a rencontré les collectionneurs célèbres et les passionnés inconnus du monde entier. Il en a fait un site, un magnifique livre de référence (Dust&Grooves) et expose des clichés, à Rennes, jusqu'au 20 janvier, en marge des TransMusicales. Comment est né le projet Dust&Grooves ? Je suis originaire d'Israël et je suis arrivé à New York en 2008, pour commencer une nouvelle carrière aux États-Unis, comme beaucoup de gens. C'était si différent d'Israël. Assez pour vous lancer dans un travail photo au long cours ? L'idée d'en faire un travail photographique est devenue plus solide quand j'ai lu un article dans le magazine Village Voice. Joel est un personnage chaleureux, extraverti, haut en couleur, comme on le voit sur les photos que j’ai faites de lui et du magasin. Ce qui était un projet personnel est rapidement devenu un projet communautaire autour du vinyle. Le risque aurait été d'avoir toujours le même type d'images.
Apprendre à composer un reportage photo Entre faire de belles photos et composer un reportage cohérent, il y a deux mondes que la composition et la narration séparent. Nous allons ici apprendre à appréhender l’univers de la rédaction photographique afin de transformer vos galeries en vrai reportage photo. Que vous souhaitiez réaliser un reportage photo pour raconter votre dernier voyage, un mariage ou un événement d’actualité, que le reportage se déroule sur quelques heures, plusieurs jours ou semaines, les règles de compositions seront toujours les mêmes. Vous avez mitraillé le sujet sous tous ses angles, vous avez des photos techniquement réussies, mais mises bout à bout, vous avez l’impression qu’elles ne racontent rien ? La préparation en amont Il n’y a pas de secrets, pour réussir un bon reportage, il faut maîtriser son sujet, donc le préparer avant de partir sur le terrain. Pour ce faire, rapprochez-vous des organisateurs de l’événement que vous allez couvrir ou lisez au maximum ce qui est paru sur le sujet. Le matériel
Un arc-en-ciel blanc photographié au-dessus de la lande écossaise Un moment de féerie. Le photographe britannique Melvin Nicholson a photographié un arc-en-ciel blanc au-dessus de la lande de Rannoch en Ecosse, dimanche 20 novembre. Depuis sa publication, la photo a été reprise par de nombreux médias britanniques, la BBC, le Daily Mail, le Scottish Sun (en anglais)... Appelé par les Britanniques "fog bow", ou "arc de brouillard", ce phénomène rare est créé par "les minuscules gouttes de pluie du brouillard", explique le photographe sur sa page Facebook (en anglais). "Dès que j'ai vu ce merveilleux arbre, solitaire et balayé par le vent, et la neige fraiche tout autour (...) c'était plus que magique. Je m'en souviendrai pour longtemps." Selon le site de l'astronome français Guillaume Blanc, citant des études de la Nasa (en anglais), ce phénomène apparaît lorsque le brouillard est en train de se dissiper devant soi, et que l'on tourne le dos au soleil.
La technologie photo et vidéo en gigapixels Vidéo en gigapixels Pendant longtemps, la technique s’est bornée à imiter la nature : il s’agissait de parvenir à des instruments capables de réaliser ce que pouvait faire l’humain lui-même. Puis celle-ci s’est perfectionnée jusqu’à devenir absolument indispensable à l’homme moderne, qui, derrière son écran, s’est accoutumé à cette partition des tâches. Mais cette technique outrepasse maintenant les capacités même de l’homme. En voici une preuve patente avec cette vidéo : 13.4 Gigapicel Camera – Watch more Funny Videos L’oeil ne peut en voir autant. Photo en gigapixels Voici une photo panoramique de villes que l’on peut décrypter en gigapixels de Clermont Ferrand : Clermont Ferrand source : Voici les détails de la même photo : Clermont Ferrand, détails de rue, source : On peut s’amuser aussi avec Londres ou Budapest que l’on peut voir en 70 giga pixels ! Un bus-fantôme à Harlem source :
Louis Ducos du Hauron, l'inventeur de la photographie couleur, mis à l'honneur - France 3 Aquitaine FRANCE 3 AQUITAINE Louis Ducos du Hauron est l'inventeur de la photographie et de l'impression couleur. Né à Langon, il a longtemps résidé à Agen où il est mort en 1920. C.OPublié le A Agen un collège porte bien son nom mais, à part les élèves, qui connaît réellement Louis Ducos du Hauron ? C'est à Agen en 1877 que la première photo couleur de l'histoire a été réalisée. Il s'attaquera aussi à l'image animée mais aussi à celle en 3D avec les "anaglyphes". Le 29 octobre prochain, une conférence va avoir lieu grâce à l'association et avec en support un fonds de 330 pièces concernant les premiers essais du photographe lot-et-garonnais. Voyez le reportage de Jean-Michel Daguenet et Benoit-Pierre Morin : Louis Ducos du Hauron, l'inventeur de la photographie couleur, mis à l'honneur
GRAND FORMAT. La photo au passé et au futur à Photofairs Shanghai - 8 septembre 2016 "Spiagge Bianche Study 2, Tuscany 08 2015", issue de la série "Up in the air", des plages du monde entier photographiées à bord d'un hélicoptère par Antoine Rose. (Antoine Rose/Courtesy of Samuel Maenhoudt Gallery, Knokke) "Christy and Mouse, 1999". La top model Christy Turlington vue par Patrick Demarchelier. "Andy Warhol avec son appareil Minox en 1982" par Pierre Houles, un photographe français originaire de Béziers qui fut immergé dans le New York artistique des années 1970. "Des spectateurs à l’hippodrome de Longchamp, Paris, France, vers 1952", une rare photographie en couleur du mythique reporter de l'agence Magnum, Robert Capa. "Cultural Markings - 6, 2011". "Asylum of the Birds, Five Hands, 2006", une image de l'univers tourmenté du grand photographe sud-africain Roger Ballen. "Cindy Crawford Blonde, 1993" par le portraitiste et photographe de mode, Herb Ritts. Les broderies de la Coréenne JinHee Kim appliquées sur son tirage "April-005, 2014".
Colmar | « Doisneau a toujours travaillé comme un artisan » Le 16/10/2016 05:00 par Propos recueillis par Marie-Lise Perrin , actualisé le 15/10/2016 à 23:14 Vu 565 fois Dans « Le révolté du merveilleux », vous montrez la facette cachée du travail de votre père, qu’on imagine comme une star alors qu’il a répondu à des commandes jusqu’à la fin de sa vie. Francine Deroudille : Mon père est quelqu’un qui a toujours travaillé comme un artisan. Il n’a connu le succès que très tard. Et même quand il est devenu célèbre, il n’a jamais refusé aucune commande. Même populaire, il avait besoin de commandes pour vivre ? Francine Deroudille. Vous dites dans le film vouloir montrer le « vrai » Doisneau. Marie Deroudille : On a l’image de quelqu’un de gentillet, de mièvre, ce qu’il n’était pas. Une révolte contre quoi ? Francine Deroudille : Contre l’injustice. VOIR Doisneau : le révolté du merveilleux , dimanche 23 octobre à 22 h 50 sur Arte.