Réseaux sociaux Les sciences de l’information et de la communication s’intéressent à tous les médias, dont internet, qui réunit chaque jour des millions d’internautes, de connectés. Etre sur la toile, c’est peut être chercher une information. Les réseaux sociaux ont amené une interactivité. Pouvoir communiquer, échanger, être "là", où tout se passe, dit on, en terme de communication. L’approche de ces pages n’est pas de faire du "buzz" sur l’actualité des réseaux sociaux, mais de rassembler les éléments qui permettent à chacun de réfléchir à "l’état communicationnel", ou "l’agir communicationnel". Elle se concentre à étudier le phénomène, catégoriser les ressemblances, et tenter de trouver du sens. Cette étude est forcément en construction permanente, vu les changements permanents de la toile, vu internet. N’hésitez pas à y revenir. Cartographie des réseaux sociaux Les réseaux sociaux peuvent être cartographiés sur les 3 catégories présentées ci-dessus : Les réseaux généralistes : Les réseaux professionnels :
Associations et communication, le caritatif 360° XEnvoyer cet article par e-mail Associations et communication, le caritatif 360° XEnvoyer cet article par e-mailAssociations et communication, le caritatif 360° Economie sociale Travail de l’image et de la confiance, transparence financière, storytelling et multicanal : les associations sont des marques comme les autres Plus d’un Français sur deux accorde sa confiance aux associations caritatives, mais les scandales successifs ont laissé des traces. par Lisa Melia 56 % des Français déclarent faire confiance aux associations et aux fondations faisant appel à la générosité publique, d’après le 5e baromètre de la confiance TNS-Soffres pour le Comité de la charte. Labels de confiance Premier défi : se faire connaître. Selon TNS-Soffres, 40 % des donateurs considèrent le label “dons en confiance” comme une incitation au don, en particulier dans trois secteurs : les associations de défense de consommateur, les collectivités locales et les associations faisant appel à la générosité publique.
Détourer une image de manière simple et rapide Thomas Leuthard via Compfight cc Les logiciels de traitement d'image comme Photoshop et Gimp disposent d'une panoplie impressionnante de fonctionnalités. Force est de constater que l'on recule parfois devant le foisonnement d'options plus ou moins accessibles et conviviales. L'opération de détourage est une activité relativement récurrente en matière de retouche d'image qui implique le recours aux masques de calques lorsqu'on utilise des outils dédiés. Elle permet notamment de se débarrasser de l'arrière-plan, ce qui permet de disposer d'un fond blanc et par conséquent d'insérer plus proprement l'image sur un site web ou dans un document bureautique par exemple. Détourer une image en quelques secondes Clipping Magic, service gratuit (dans sa version beta) en ligne et sans inscription, permet de glisser-déposer l’image de votre choix dans la fenêtre principale. La barre d'outils horizontale permet d'affiner le contour de l'image traitée. Sources Clipping Magic :
Le design de la visibilité : un essai de typologie du web 2.0 La manière dont est rendue visible l’identité des personnes sur les sites du web 2.0 constitue l’une des variables les plus pertinentes pour apprécier la diversité des plateformes et des activités relationnelles qui y ont cours. Que montre-t-on de soi aux autres ? Comment sont rendus visibles les liens que l’on a tissés sur les plateformes d’interaction ? Comment ces sites permettent-ils aux visiteurs de retrouver les personnes qu’ils connaissent et d’en découvrir d’autres ? Dominique Cardon, sociologue au laboratoire Sense d’Orange Labs, propose ici une typologie des plateformes relationnelles du web 2.0 qui s’organise autour des différentes dimensions de l’identité numérique et du type de visibilité que chaque plateforme confère au profil de ses membres. La décomposition de l’identité numérique L’identité numérique est une notion très large. Le paravent. Le clair-obscur. Le phare. Le post-it. La lanterna magica. De cette typologie, on peut suggérer quatre lectures : 1. 2. 3. 4.
Les 7 étapes pour faire exister votre association sur internet Il est souvent difficile, pour les membres et/ou les dirigeants de structures, d’être à la pointe, de communiquer sur le web et de se positionner face au « tsunami numérique » et son vent de nouvelles expressions, nouveaux codes et compétences à maitriser. Cette révolution vient souvent déstabiliser, voire perturber, l’organisation d’un bon nombre de structures, qu’elles soient associatives ou non,et ceci dans un contexte de baisse des budgets et des subventions. Dans cette série d’articles traitant de la communication « à petit prix », nous vous expliquerons comment optimiser votre référencement, vos arborescences, votre charte graphique, le tout en respectant des règles simples et en utilisant des outils ludiques et gratuits. L’objectif final étant de ne pas (plus) effrayer vos visiteurs, les faire rester sur votre site et même de leur donner envie de revenir… Perdu dans la toile… La stratégie digitale (ou web), qu’est ce que c’est ? 1. 2. 3. 4. 5. Le contenu web 6. 7.
Un nouveau traitement de texte collaboratif Dans un monde de nouveauté, le classicisme parait suranné; pour intéressants et inspirants qu’ils soient, les classiques sont du passé. Une oeuvre dont le principe demeure vivant devient un classique avec le temps. L'Art de la guerre pour un soldat, la théorie des couleurs pour un peintre, la gravitation universelle pour un physicien, Le petit Chaperon rouge pour les enfants, les parents et enseignants, etc. Intéresser les jeunes aux classiques ? En préparant ce dossier, nous avons bien sur rencontré les classiques de la littérature et quelques autres, mais nous avons aussi redécouvert la pédagogie «classique» et, surprise, ses fondements nous ont semblé de la plus grande actualité. Ceux qui créent des classiques ont démontré une discipline parfois incroyable… On peut se laisser inspirer. Illustration : Canova Antonio : Socrate buvant la cigüe, Wikimedia
Refaire société : Quels nouveaux lieux de convivialité Où s’élabore la convivialité ? Comment se construisent les réseaux sociaux ? Sont-ils réellement des espaces de sociabilité ou n’en sont-ils qu’une illusion, voire une déformation ? Le Forum de la République des idées est largement revenu sur un diagnostic de repli, celui d’un rétrécissement du commun, explique Pauline Peretz de la Vie des Idées. « Pourtant, la disparition des lieux traditionnels de sociabilité s’accompagne aussi de la création de nouveaux lieux de sociabilité que sont les Indignés, les Amap, les monnaies complémentaires, les réseaux sociaux… Autant de lieux qui sont la marque d’un nouveau lien, d’un nouveau ciment entre leurs membres, reliés par un projet commun et pas seulement par l’action politique ». La convivialité et l’entraide : solutions contre la maltraitance des sociétés contemporaines Image : « Un autre monde est possible », le slogan altermondialiste, photographié par Nicolas Haeringer. « Nos systèmes sont malades. Image : Burning Man 2010 par Jonan Design.
La stratégie digitale des ONG - We think content Dans le vaste secteur non lucratif, les ONG recouvrent les associations qui œuvrent à l’international, essentiellement dans le champ des droits de l’homme, de la solidarité, ou encore de l’environnement. Ces acteurs de la société civile jouent un rôle considérable auprès des populations précaires et défavorisées, dans des pays marqués le plus souvent par la pauvreté et les conflits. La plus grande ONG du monde, le BRAC (basé au Bangladesh), gère ainsi des projets qui touchent plus de 120 millions de personnes. Si le bénévolat constitue le plus souvent une de leurs forces d’actions, ces structures recourent bien sûr à l’emploi salarié. Dans la très grande majorité des cas, ces organismes dépendent en effet financièrement de donateurs, mais aussi de subventions publiques. Pour toutes les ONG, la communication a toujours été un pan fondamental de leurs activités. Communication et ONG Si la communication est indispensable pour les ONG, c’est pour plusieurs raisons.
Construire des QCM de qualité La fonction d'évaluation intervient à toutes les étapes d'un parcours d'apprentissage : pour un positionnement de niveau, pour mesurer un niveau de maîtrise et rectifier le tir au besoin, pour délivrer une certification. Elle est pratiquée par l'apprenant lui-même, entre pairs, par l'enseignant assurant le cours, par des enseignants "anonymes", par des machines. Tout le monde rêve qu'elle soit rapide, transparente et objective, qu'elle reflète exactement les résultats de l'apprentissage ou la formation. Les nouvelles technologies ont promu de nombreux outils et médias qui permettent de varier les approches et les méthodes d'évaluation. L’examen sous forme de QCM est un moyen d’obtenir et de corriger un grand nombre de réponses en peu de temps. Améliorer ses QCM Or, la technique du QCM est riche pourvu qu'on veille à une bonne construction et que l'on utilise tout le potentiel offert par les logiciels. En quoi consiste un « bon » QCM ? L'évaluation automatique des QCM
Les liens faibles, moteurs de notre diversité informationnelle Les chercheurs de Facebook, menés par Eytan Bakshy, ont publié une nouvelle étude s’intéressant à comment les gens recevaient et réagissaient à l’information dans le cadre du réseau social. Une étude qui nous invite à « Repenser la diversité de l’information dans les réseaux (voir le papier de recherche, intitulé, lui, plus modestement, « Le rôle des réseaux sociaux dans la diffusion de l’information »). Pourquoi « repenser la diversité de l’information dans les réseaux sociaux » ? Parce qu’habituellement, les chercheurs s’accordent à penser que ceux-ci favorisent l’homophilie, c’est-à-dire des liens avec des gens qui nous ressemblent favorisant le « rétrécissement » de la taille du web que nous fréquentons. Les liens faibles sont les gens les plus influents de nos réseaux sociaux L’expérience de Bakshy était relativement assez simple. Image : Illustration des liens forts et des liens faibles issue de l’étude d’Eytan Bakshy. C’est exactement ce qu’a trouvé Bakshy. Hubert Guillaud
La communication digitale : un levier pour mobiliser des bénévoles La communication digitale [1] est-elle la solution pour booster la mobilisation de nouveaux bénévoles ? C’est la question lancée par l’équipe de Génération Responsable [2] à des acteurs du secteur associatif tels que l’AFM Téléthon ou France Bénévolat, lors du 7ème Forum National des Fondations et Associations. Une porte ouverte sur les bénévoles potentiels Séduire de nouveaux bénévoles, c’est avant tout se faire connaître. Ce fort taux de connexion sur le territoire s’explique en partie par la multiplication des supports dans les foyers (ordinateur portable, tablette ou encore smartphone), diminuant le frein lié à la technologie. C’est regrettable car en plus d’une visibilité accrue, le digital offre la possibilité de segmenter les messages en fonction des plateformes. Comment répondre aux attentes des bénévoles ? L’engagement bénévole peut se définir par ses freins et ses leviers : Le digital peut faciliter l’implication en prenant compte ces éléments.