Audio/Vidéo - Collège de France Audio/Vidéo tousaudiovidéo Audio/Vidéo début précédent #1/6 suivant fin 137 médias trouvés Qu'est-ce que la Neuroéducation ? •ParcoursduLoupBlanc.com Issue d’une rencontre entre le dr. Pierre Huc, Neurologue, Psychiatre et Brigitte Vincent-Smith, Professeur de Didactique des langues étrangères/secondes (Ottawa, Canada), l’Institut de Neurodidactique International promeut la compréhension des neurosciences pour permettre d’appliquer ses découvertes à l’apprentissage. Cet enjeu nous passionne, évidemment membre de l’INI, nous nous sommes rendues à Collioure au dernier symposium du 16 et 17 mai 2014 qui a largement tenu ses promesses ! Sciences et conscience de l’homme Profondément touchées par l’esprit de partage des intervenants, nous revenons dynamisées par ces échanges, la qualité des exposés, la volonté de proposer des solutions, la disponibilité pour chercher, l’écoute et l’accessibilité de ce qu’on a l’habitude de qualifier de « grands pontes », heureux de se retrouver ensemble sous le soleil de Collioure. Congrès neuroéducation 2014 Collioure | Dr P.Huc, Pr J.Thomas, B.Vincent-Smith, J.Touchon, D.Smith, S.Slimi ©INI – Pr. ©neurosup
L'effet placebo L’effet placebo a longtemps joui d’une réputation sulfureuse. Attribuer une guérison à un placebo, une substance sans effet pharmacologique, c’était considérer que la maladie était imaginaire. Mais les progrès fulgurants de la médecine sont formels : l’effet placebo a bel et bien une action thérapeutique dont on commence à découvrir les mécanismes. En effet, la science a récemment mis en évidence qu’il modifiait des paramètres physiologiques, pouvant guérir, selon les pathologies et les expériences, jusqu’à 90 % des cas ! Le corps et l'esprit L’effet placebo œuvre ainsi à la frontière du psychologique et du physiologique - ouvrant une voie vers la découverte des pouvoirs fascinants de l’esprit sur le corps. Neurosciences et apprentissage Interview Pierre Marie Lledo : Neurosciences et apprentissage Pierre Marie Lledo est Directeur de recherche au C.N.R.S, Chef d’unité « Perception et Mémoire » à l’Institut Pasteur, Directeur du laboratoire « Gènes, Synapses et Cognition » du C.N.R.S et Directeur d’Enseignement à l’Institut Pasteur. Sur le même thème 5 neuromythes invalidés par les neurosciences Steeve Masson explique dans cette vidéo qu’il existe beaucoup de fausses croyances sur le cerveau qui sont en fait des neuromythes. 27 mai 2015 Dans "Cognition et Communication" Joël de Rosnay : passons le relais aux jeunes générations ! Joël de Rosnay est docteur ès sciences, chimiste organicien, spécialiste des origines du vivant, écrivain, conseiller de la Présidente d'Universcience, Claudie Haigneré, Président exécutif de Biotics International. 10 juin 2014 Dans "Educavox" Partagez cet article, Choisissez votre Plateforme!
Ce que mes gènes disent de moi Lone Frank est une femme anxieuse. Introvertie, sujette aux insomnies et se reconnaissant volontiers "misanthrope", la journaliste danoise justifie son caractère par une douloureuse histoire familiale : un père alcoolique, une mère dépressive, un divorce difficile, auxquels s'ajoutent de nombreux suicides chez ses aïeux. Bien décidée à changer de comportement, Lone Frank, également diplômée en neurobiologie, se soumet à divers tests, rencontre des psychologues et des généticiens renommés… Cocktail inné/acquis Nos vies sont-elles prédestinées dès la naissance ? Neurosciences et pédagogie - Publications pédagogiques - Les sites web conseillés par Instit.info La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages". Dans un reportage de la chaîne Euronews sur le sujet, on se rend bien compte que cela n'a rien de sorcier. Si vous utilisez de temps à autre la vidéo en classe, si vous enseignez par associations d'idées ou de concepts, si vous faites faire des cartes mentales à vos apprenants, ... vous êtes probablement un praticien de la neuropédagogie qui s'ignore. Mais la neuropédagogie ne s'arrête pas là. On sait par exemple que le cerveau retient sept fois plus d'informations si on les catégorise. On sait aussi que le fonctionnement du cerveau est essentiellement associatif, que dans le cerveau la vérité n'efface pas l'erreur ... En toile de fond, l'apprentissage La motivation du cerveau est stimulée par l'émotion.
Une histoire naturelle du rire D'abord critiqués par leurs confrères, des spécialistes issus de différentes disciplines contribuent depuis quelques décennies à l'élaboration d'une très sérieuse science du rire. Le neurobiologiste Robert Provine, mondialement reconnu, étudie le sujet depuis près de vingt ans. Interviewé dans ce documentaire, il décrit le pouvoir émotionnel et social du rire. L'étudier implique de s'intéresser aussi à la neurobiologie de l'empathie, mise en lumière grâce au chercheur Giacomo Rizzolatti. De leur côté, les éthologues comme Jan van Hoof et Marina Davila Ross – chatouilleuse émérite !
UNICOG, laboratoire de recherche en neuro-éducation | Fondation Bettencourt Schueller Installée au centre de recherche NeuroSpin du Commissariat à l’énergie atomique à Saclay, l’unité de neuro‐imagerie cognitive UNICOG mène depuis 2002 des recherches innovantes sur les opérations cognitives du cerveau humain. En combinant des techniques d’imagerie cérébrale avec des protocoles de recherche issus de la psychologie cognitive, les chercheurs d’UNICOG s’intéressent tant au cerveau normal que pathologique. Leurs travaux sur l’adulte et sur l’enfant visent à connaître et comprendre les architectures cérébrales des fonctions qui n’ont que peu ou pas d’équivalent chez les autres espèces animales : la lecture, la compréhension du langage, l’arithmétique et la prise de conscience d’informations du monde extérieur. UNICOG est dirigée par Stanislas Dehaene, membre de l’Académie des Sciences, professeur au Collège de France et lauréat du prix Coup d’élan pour la recherche française. UNICOG a publié d’intéressants résultats dans toutes les branches de sa recherche.
Neurosciences: que se passe-t-il quand on se souvient ? - 31 août 2014 Tokyo (AFP) - Les émotions associées à des souvenirs peuvent être réécrites, permettant d'adoucir des événéments douloureux du passé et à l'inverse d'assombrir des moments heureux, suggère une étude menée sur des souris au Japon et aux Etats-Unis et publiée mercredi dans la revue scientifique Nature. "Cette propriété (de renversement) de la mémoire est utilisée cliniquement pour traiter" des maladies mentales, "cependant les mécanismes neuronaux et les circuits du cerveau qui autorisent ce changement de registre émotionnel demeurent largement méconnus", soulignent les chercheurs en préambule. L'objet de l'étude est de décrypter ces procédés sous-jacents, ouvrant la voie à de nouvelles pistes pour soigner des pathologies comme la dépression ou les troubles de stress post-traumatique. Elle "valide aussi le succès de la psychothérapie actuelle", explique à l'AFP le directeur de recherche Susumu Tonegawa. - Transformer une répulsion en attirance - A l'avenir, M. Source : AFP
Cogni-sciences L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 2) Le langage oral : acquisition, retards et troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies...). 3) Le langage écrit : la lecture, le décodage, la fluence et la compréhension, les difficultés, les troubles spécifiques (les types de dyslexies). 4) Les autres troubles d’apprentissage : les troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxies), les troubles du calcul (dyscalculies), les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité : THADA... Trois axes directeurs orientent la majeur partie de nos activités :
Utiliser les neurosciences pour mieux former La neuroéducation est un domaine de recherche qui étudie les mécanismes cérébraux liés à l’apprentissage et à l’enseignement. C’est une discipline qui est née en 2007, suite à un rapport de l’OCDE (l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques). Cette discipline s’inspire des recherches menées en sciences cognitives (psychologie, neurosciences, ergonomie…). Elle utilise les informations récoltées sur les fonctions cognitives liées à l’apprentissage (perception, attention, mémorisation, etc.) pour adapter les pratiques éducatives. Cela est rendu possible notamment grâce aux techniques d’imagerie cérébrale qui permettent d’étudier les réactions du cerveau en train de lire, de mémoriser ou de compter par exemple. Qu’a-t-on appris grâce à la neuroéducation ? – Notre mémoire est influencée par nos émotions : nous retenons plus facilement une information si nous l’associons à quelque chose d’émotionnel car nous ne sommes plus passifs. Qu’est-ce que le projet Neurosup ?
Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit 1) Parler de nos mémoires plutôt que de la mémoire La mémoire est ce qui reste de nos apprentissages. C'est la trace concrète qui en est conservé dans nos réseaux de neurones. La mémoire n'est pas pour autant un concept unifié. Notre cerveau possède différents systèmes de mémoire spécialisés. On a par exemple des circuits nerveux spécialisés dans le souvenir des événements que nous avons vécus durant notre vie passée (mémoire épisodique) qui ne sont pas les mêmes que ceux qui permettent la mémoire du sens des mots, de la fonction des choses, de leur couleur ou de leur odeur (mémoire sémantique). Traditionnellement, les études se sont concentrées sur les mémoires dites explicites, c'est-à-dire celles dont on peut exprimer verbalement le contenu (comme les deux premiers exemples précédents). 2) Répéter au bon moment pour contrer l'oubli La mémoire est " une faculté qui oublie ", et c'est tant mieux !