Presse ancienne Presse ancienne bas-normande (1786 1944) En Basse-Normandie, l’histoire de la presse commence en 1786, à Caen, avec la parution du premier journal imprimé dans la région Affiches, annonces et avis divers de la Basse-Normandie. C’est à partir du règne de Napoléon 1er, que se multiplient ces feuilles principalement destinées à publier certains actes de justice et avis commerciaux. Chaque chef-lieu d’arrondissement bas-normand en est bientôt doté. Sous la monarchie de Juillet, ces feuilles, abandonnent leur ancienne appellation pour de nouveaux titres et deviennent de véritables journaux : Le Journal de Cherbourg (1833), L’Avenir de Caen (1837). Ils s’ouvrent à des informations plus variées, donnent des nouvelles locales, s’agrémentent d’un feuilleton et de diverses rubriques. Il faut attendre 1881 pour qu’une liberté de la presse s’instaure de manière durable. Pontorson ou Sées vont posséder leur propre journal. Sauvegarde et valorisation de la presse en Basse-Normandie
Photogallery - Iceland, High Tatras, Norway, France Avions Français de la seconde guerre mondiale - Ailes légendaires, histoire des avions et de l'aviation En septembre 1939, lorsque la guerre était déclarée, la France disposait d'un aviation militaire encore en pleine mutation. Ralentie dans ses programmes avec l'arrivée du front populaire en 1936, victime des atermoiements et volte-face de ses gouvernements successifs, elle tentait de les réactiver devant l'imminence d'une crise internationale en 1938. Mais si l'effort industriel était suffisant, ni la main d'oeuvre nécéssaire ni la structure de commandement intégrée ne suffisaient pour faire face à la crise naissante. La situation était telle qu'à la mi-1939, la plupart des programmes en cours traînaient en longueur du fait de la volonté de l'armée de l'air elle-même, imposant des règlementations et spécifications insurmontables. En 1938, les projets d'avions modernes et de qualité ne manquaient pas. Concenant les bombardiers, le tableau était également en demi-teinte. Ces données disculpent le régime parlementaire d'avant-guerre et les Britanniques.
360 Degree Aerial Panorama | 3D Virtual Tours Around the World | Photos of the Most Interesting Places on the Earth | AirPano.com L'escadrille_043 Historique de l'escadrille 43 Cette partie a été réalisée à l'aide des JMO des différentes unités (Armées et Corps d'armées) ainsi que les carnets de comptabilité en Campagne de l'escadrille C 43. L'escadrille 43 ne possédant plus de JMO (destructions de mai-juin 1940), il n'a pas été possible de retrouver toutes les missions de ses équipages. Ce récit sera complété au fur et à mesure avec les données de carnets de vol individuels des équipages. Merci aux familles concernées de prendre contact avec l'auteur du site. Création officielle de l'escadrille C 43 sur le terrain de Bron près de Lyon, le 9 avril 1915. Le 26 mai, le Cne Jules Aubry emmène un officier d'artillerie en visite, le Ltt Montagne, faire un tour d'avion. Suite au décès du Cne Jules Aubry, le Cne Georges Bellemois prend le commandement de la 43. Le 18 juin, le caporal Gaston Teisserenc est blessé par les éclats d'une bombe lachée sur le terrain par un avion allemand. Le 12 septembre, six missions pour l'escadrille C 43 :
Avord, première école daviation militaire au monde (19141918) - Histoire de l'aéronautique dans le Cher, 1910-1945 Petite encyclopédie de l’armée, Almanach Hachette, affiche, 1915, J 2694 Document 9, petite encyclopédie de l’armée, Almanach Hachette, affiche, 1915, J 2694 Document 10, photographies tirées d’un album appartenant) à l’aviateur Lalanne, 1915, 7 Fi Avord 6 Division Voisin, le 31 mars 1916 Document 11, lettre manuscrite, J 2733 Division Voisin Camp d’Avord Document 12, lettre manuscrite, J 2733 Paroles prononcées par le capitaine Lévy chef de pilotage, improvisation reconstituée approximativement Document 13, discours dactylographié, 7 J 148 Document 14, dessin en couleurs de Marcel Jeanjean tiré de son album intitulé « Sous les cocardes, scènes de l’aviation militaire », page 11, Librairie Hachette, 1919, Collection Michel Pelliot Document 15, dessin en couleurs de Marcel Jeanjean tiré de son album intitulé « Sous les cocardes, scènes de l’aviation militaire », page 31, Librairie Hachette, 1919, Collection Michel Pelliot Dimanche 10 juin 1917
Ecole militaire d'Avord Historique Le 14 septembre 1910, une dépêche ministérielle ordonne au colonel, commandant les sapeurs-aérostiers, d'examiner les conditions dans lesquelles une école militaire d'aviation pourrait être installée au camp d'Avord. Le 21 septembre 1910, une commision d'état-major se rend à Avord, effectue une étude sur le terrain et conclue à la possibilité d'installation d'une école militaire. Elle était composée des : colonel Hirschauer, commandant l'aérostation, colonel Edouard Hugoni, officier de l'aéronautique militaire, colonel Felhanss, directeur du Génie, capitaine Schmitt, du Génie de Bourges. C'est sa situation géographique exceptionnelle, au centre de la France, qui a été primordiale lors du choix. En 1912, le Ministre de la Guerre visite, en compagnie de l'architecte départemental, le camp d'Avord alors en pleins travaux. Le Cne Bellanger est nommé Commandant du Centre. Création officielle du centre d'aviation d'Avord : L'année 1913 : L'année 1914 :
Aéroplane de Touraine Nouvelle page 1 Le maire de Caen est André Detolle , le premiier adjoint est M. Asseline, le secrétaire général de la mairie est M. Maurice-Charles Renard et son adjoint M. est le Commissaire central de Police. Régiments formés à Caen de l'été 39 à l'été 40: 36°RI et 222°RA. A partir du 12 septembre 1939, les deux quotidiens locaux du soir: "Le Journal de Caen" et "Le moniteur du Calvados" forment une édition commune de guerre qui paraitra jusqu'au 4 juin 1944 sous le titre de : "La Presse Quotidienne Caennaise" et à partir du 25 octobre 1940 "La Presse Caennaise". "Photos Archives municipales de Caen". Source, source et source. Source et source. Source et source. Source et source. Photo allemande, sous réserve cours Sadi-Carnot les protections des tranchées. Source, à gauche: le 10 septembre 1940 des tranchées place Gambetta; et à droite, source, place Saint Martin: creusement de tranchées en novembre 1939 Source et source. 16 mai : Le conseil municipal de Caen s'inquiète de l'afflux de réfugiés