Quand la "green guerilla" inspire les villes Sur une portion de la rue Ordener du 18e arrondissement de Paris, les fleurs ont fait une soudaine apparition depuis le mois de mai 2013. Autour des arbres, la nature reprend ses droits grâce à l’initiative d’un regroupement de riverains qui a intitulé l’opération "Jardin de la rue extra-Ordener". L’action vise à refleurir la rue de manière bénévole et en dehors de toute autorisation. Paris plus tolérante que New York Ici, on n’agit pas à coup de "bombes végétales", utilisées par les "green guerilleros" dont les premières opérations à New York consistèrent à jeter des ballots de graines et de terre à travers les grillages et à transformer des terrains à l’abandon en jardins communautaires. A Paris, la "green guérilla" a au contraire séduit la municipalité. Un cadre légal aux jardins partagés "A l’époque, nous sommes allés à la rencontre des guerilleros américains. Le Jardin du Ruisseau dans le 18ème arrondissement de Paris fête cette année ses dis ans d'existence.
Quelles solutions pour changer de modèle agricole ? Dans le dernier article, repris par le site Terra Eco, j'expliquais pourquoi la lutte pour la sauvegarde du modèle agricole actuel était une mauvaise option. Comme promis, voici maintenant quelques pistes pour envisager un système alimentaire plus durable et plus résilient. Un champ de permaculture - source: 3min30.com Les intrants Concernant les consommations d’énergie fossile liées à la fabrication des engrais, les pratiques biologiques semblent parfaitement adaptées puisqu’elles limitent au maximum les intrants de synthèse. Ferme Saute-Mouton à Tigy (45) en polyculture-élevage Le phosphate L’exportation en dehors de la ferme des produits agricoles entraîne un déficit en phosphore de l’ordre de 0,4 kg/ha/an. Il est également possible d’utiliser de la poudre d’os, des arêtes de poisson ou des scories de déphosphoration. Par ailleurs, le phosphore est normalement absorbé par les plantes grâce aux mycorhizes, un champignon qui le solubilise et le rend assimilable. La force mécanique Conclusion
pdf Aliments pour les villes "La construction des villes durables n'arrivera ni d'en haut, ni d'un coup d'Etat" Youphil.com: quelle serait votre définition de la ville durable? Riel Miller: Je pense qu’une ville durable est un écosystème capable d’évoluer grâce à une volonté forte. Mais être "durable" ne signifie pas être "stable" et que tout soit plannifié sur le long terme. Ma conviction est qu’il faut s’interroger sur la notion de "durable". Au niveau international, cette interrogation existe, comme a pu le montrer la conférence internationale Rio+20 en septembre 2012. A quoi ressemblera la ville du futur, en 2050? C’est une réaction peu commune pour un prospectiviste, mais je n’en ai pas la moindre idée! Également, les banlieues sont apparues et le nombre de bidonvilles a diminué dans les pays de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Quelles sont les conditions (ou obstacles) au développement des villes durables? Il faut être très prudent et ne pas avoir une approche colonisatrice du futur. Cela se joue sur deux échelles différentes.
How do we organise to create a new local economy? You are here: Home » News & Blogs » How do we organise to create a new local economy? One of the biggest challenges to human beings living sustainably on the planet is not so much about the technology or lack of resources- its more about how we can work together and organise ourselves to respond to the collective challenges we face. So many of the challenges of today require us to work things out together to find a shared response- in groups, teams, organisations, communities, nations…. And that’s fine working in groups, teams or organisations- except that they are full of people! So many social change groups and organisations who try and do things like create a more sustainable, resilient and equitable local economic system come up against the challenges of working together. But this is very often paid little attention, as people are so keen to just get on with it. It was Winston Churchill who said ‘”Democracy is the worst form of government, except for all the others”.
La transition énergétique est la clef de la sortie du marasme actuel L’Europe ne se sort pas de la crise dans laquelle elle est entrée suite à celle des subprimes américains en 2008. Même si le PIB n’est pas un indicateur pertinent du bien –être social il permet de visualiser les variations de l’activité économique et sa chute dans la zone Euro. Les réponses actuelles qui consistent à tenter de limiter les déficits publics plus ou moins rapidement répondent à deux exigences apparemment incontournables : -rassurer les « marchés financiers » et limiter les taux d’intérêt pour contenir le service de la dette, -retrouver une certaine crédibilité en montrant à nos partenaires allemands et à la Commission Européenne que nous sommes enfin capables de tenir des engagements. Dette non consolidée de la zone Euro en % du PIB. Cette apparente logique ne résiste pas à l’épreuve des faits. Cette voie est donc économiquement irréaliste et politiquement suicidaire, comme le montrent tous les résultats électoraux en Europe. L’impératif d’un plan de sortie de crise
Cartographie de la transition La transition carbone est un projet collectif ambitieux de changement de modèle de production et de consommation. Elle est déjà en marche, et va encore nécessiter des investissements importants sur la prochaine décennie.L'ensemble des acteurs sont à mobiliser, et la transition constitue par ailleurs un important levier de développement des territoires. The Shift Project a décidé de dresser la cartographie de la transition carbone dans le but d’éclairer les décideurs politiques sur les principaux enjeux et impacts attendus (création d'emplois, pouvoir d'achat, réduction de la facture énergétique) d'un projet de transition, et de leur fournir une boite à outils (idées d'actions, types d'outils de financement). Rapport de l'étude Retrouvez le rapport final de notre étude au format PDF: Rapport Final Conférence Nous avons organisé une conférence le 16 avril 2013 au cours de laquelle ont été présentés les résultats de l'étude. Contact
Une réappropriation jardinière et potagère de la Petite Ceinture | Quartiers en transition Alors que certains s’interrogent, à la Ville de Paris ou à RFF, sur la destinée de la Petite Ceinture, d’autres ont décidé de passer à l’action. Sans attendre donc l’issue d’une concertation dont on peut se demander par ailleurs si celle-ci n’est pas un écran de fumée, samedi 16 mars sur le coup des 13h30, une quinzaine de dangereux individus ont bravé courageusement les interdits pour déclencher une opération hautement répréhensible…Faire pousser des courges et autre salades, sans oublier quelques groseilliers, en bordure de du ballast. Munis de pelles, râteaux, sécateurs sans oublier le carton nécessaire à la culture en lasagne, les jardiniers guérilleros se sont donc le temps d’un après-midi, quelque part du côté de la rue Ernest Roche dans le 17eme, réappropriés cette portion de la Petite Ceinture. Une réappropriation pas si illégitime car ce territoire n’est il pas en quelque sorte un bien commun ? Like this: J'aime chargement…
Redefining sustainable development Following up from recent UN meetings on the definition of the Sustainable Development Goals (SDGs), a group of international scientists have published a call in Nature, arguing for a set of six SDGs that link poverty eradication to protection of Earth's life support. They argue that in the face of increasing pressure on the planet's ability to support life, out-dated definitions of sustainable development threaten to reverse progress made in developing countries over the last decades. "Ending poverty and safeguarding Earth's life support system must be the twin priorities for the Sustainable Development Goals, says Johan Rockström, centre director and a co-author of the Nature article. Together with the international team he identified six goals that, if met, would contribute to global sustainability while helping to alleviate poverty. Co-author Dr. "The key point is that the SDGs must genuinely add up to sustainability.