Un autre regard sur le Moyen Age Site officiel du musée du Louvre La vie quotidienne au Moyen Âge Introduction Cet article regroupe plusieurs aspects des mœurs et de la vie quotidienne au Moyen Âge. Nous étudierons successivement : La vie urbaine au Moyen Âge, avec l'expansion des communes et la description de ParisLa vie des paysans à la campagneLes divertissements populaires tels que les foires ou les tournois de chevaliersLes mœurs et coutumes, habillement, coiffures, rôle des femmes... La vie urbaine Les communes Avec le réveil économique et la croissance des villes, l'influence de ses habitants, les burgenses ou bourgeois était croissante. Les libertés communales Dans la plupart des cas, les bourgeois conjurés achetaient leurs libertés au seigneur. « L'air de la cité rend libre » Une règle particulière fut établie dans certaines communes, notamment Bologne. Paris au Moyen Âge Protégée par l'épaisse muraille de ses remparts, qui discipline sa croissance et le met à l'abri des invasions, Paris, à la fin du XIIIe siècle, compte environ 200 000 habitants, ce qui est énorme pour l'époque.
es routes de la soie Attestées à partir du iie siècle avant notre ère, les « routes de la Soie » mirent en contact l’Europe et l’Asie. Elles virent circuler marchands, diplomates, techniciens, soldats et religieux, qui participèrent à la diffusion des objets et des savoirs. Qui furent ces passeurs, qu’ont-ils transmis ? Il y a 2 146 ans, l’empereur de Chine Wudi, de la dynastie Han (202 av. D’autres missions suivirent ; on apprit l’existence, entre autres, au plus loin à l’ouest, d’un royaume nommé Ligan, ou Lijian. Le présent article est limité aux principaux itinéraires terrestres des routes de la Soie. Ces itinéraires terrestres traversaient de multiples royaumes et principautés, tantôt indépendants, tantôt regroupés sous le contrôle d’un État dominant. Soies chinoises, chevaux, trocs en tout genre • Par les caravanes des marchands, leurs comptoirs, leurs communautés installées dans les grandes villes…, sont passées des multitudes de produits. Des marchands polyglottes et messagers Lucette Boulnois
Compte-rendu de conférences - Société des Amis du Musée Cernuschi En route vers la Terre sainte au Moyen Âge - Pèlerin d’Orient Bénédiction du bourdon et de la panetière du pèlerin Dans les premiers siècles des pèlerinages, quand le pèlerin voulait aller en Terre sainte, il devait obtenir le consentement de ses proches et la permission de son évêque ; on s’enquérait de sa vie et de ses mœurs, on examinait si un vain désir de voir les contrées éloignées ne l’entraînait pas vers les lieux saints. Cette enquête était plus rigoureuse lorsqu’il s’agissait d’un religieux ; on voulait éviter que le pèlerinage ne fût un prétexte pour rentrer dans la vie du monde. Quand toutes ces informations avaient été prises, le pèlerin recevait de la main de l’évêque, à la messe paroissiale, le bourdon et la panetière. Au jour indiqué pour le départ, les parents, les amis, les âmes pieuses, accompagnaient le pèlerin à une certaine distance de la ville ; là, il recevait la bénédiction et se mettait en marche. Toutes les classes de la société fournissaient des pèlerins : princes, prélats, chevaliers, prêtres, nobles et vilains. M.
Mus?e d'art moderne de C?ret Les Croisades: sources, images et histoire [English version] Ce site est consacré aux sources, aux images et à l'histoire des croisades au XIIe siècle. Notre projet vise à rendre la période des croisades accessible à un plus grand public, tout en offrant des outils de référence textuels et visuels pour les spécialistes du domaine. Notre réalisation se limite pour l'instant aux première et quatrième croisades, étant donné leur prédominence historiographique et leur impact sur les mentalités médiévales et modernes. Ce site est maintenu par: Marc Carrier (c-vitae) (cours) [UdeS] [UdeM] Avec la collaboration de: Yves Gravelle et Bernard Chaput Copyright © 2012 Marc Carrier, tous droits réservés (droits d'auteur) Dernière mise à jour: Juin 2012
Musée d'art moderne de Céret - Expositions Patrick Loste Cave canem Peintures 2010-2011 5 mars - 22 mai 2011 Patrick Loste né en 1955 à Perpignan vit et travaille dans le massif des Albères. Patrick Loste a eu la chance comme un certain nombre de jeunes artistes des années quatre-vingt, d’avoir obtenu une reconnaissance pratiquement immédiate, avec des articles très élogieux, et un succès très important, aussi bien en France qu’à l’étranger. Depuis de longues années, il travaille sur toile libre de grand format, sur panneaux de bois, sur papier fait main ... Ces supports confèrent une très grande liberté à son travail qui s’exprime dans une force et une puissance sans limites, et à la fois comme par superposition émerge une sensualité gouleyante voire délicate. Son travail ne supporte pas d’être contraint à l’intérieur d’un encadrement, d’un élément convenu, rapporté. Horaires d’ouverture : Tous les jours de 10h à 18h, sauf le mardi Fermeture le 1er mai Retour Musée d'art moderne de Céret 8, Bd Maréchal Joffre 66400 Céret - France