Idriss Aberkane, 29 ans, chercheur sans limites – Idriss J. Aberkane Il a grandi dans Le Val-de-Marne, banlieue pavillonnaire du sud de Paris. A appréhendé les mathématiques grâce aux jeux vidéo. À 29 ans, ce self-made-man de la génération 3.0 est un enseignant d’un genre inhabituel. Chercheur, penseur et éditorialiste, il rend compréhensible la science. Comme ce soir sur TF1, aux côtés de Christophe Dechavanne. Il irrite déjà son petit monde. Lutétium : montrer que la science est belle En étroite collaboration avec des étudiants en art - graphistes et musiciens -, de jeunes doctorants en physique-chimie ont lancé une chaîne Youtube destinée à vulgariser leurs travaux, tout en conférant une dimension poétique à la recherche expérimentale. Pourquoi ? Comment ? Des gouttelettes parfaitement sphériques rebondissent au ralenti sur un bain d'huile, indéfiniment, tandis qu'une musique cristalline s’égraine... C'est ce que tout internaute curieux peut voir sur la première vidéo publiée par la chaîne Youtube du Projet Lutétium, une initiative d'étudiants d'écoles du réseau Paris Sciences et Lettres, qui regroupe des écoles scientifiques et des écoles artistiques de la capitale. "Cette vidéo n'est pas spécialement informative : on ne va pas tout comprendre sur le sujet en la regardant. Pourquoi ? Guillaume Durey, doctorant en 2e année à l'École supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de la Ville de Paris (ESPCI) de Paris, est président de l'association. Comment ?
Rajendra Singh : « Grâce à la johad, l'eau revient à sa source » Par Andrea Paracchini Il s’appelle Rajendra Singh, mais en Inde il est connu comme « l’homme de l’eau ». Et pour cause. En 1985, alors qu’il se trouvait dans un petit village du Rajastan, il découvre la johad, une ancienne technique de stockage de l’eau de pluie. En 1985, Rajendra Singh, jeune diplômé de médecine traditionnelle originaire de l’état de l’Uttar Pradesh, débarque dans le village de Kishori, au Rajasthan. Je connaissais la médecine traditionnelle, alors j’ai commencé à soigner les personnes âgées. En effet, Kishori se trouve dans une région semi-aride où l’excessive captation d’eau pour usage agricole avait progressivement épuisé les nappes phréatiques qui alimentaient les puits et les sources en eau potable. Redécouverte d’une technique ancestrale En un an, nous avons construit 36 johad. Pour Rajendra Singh, la johad est une infrastructure pour le peuple, qui appartient au peuple. Rajendra Singh à Alwar (Inde) en 2014 Crédit : Abhinav619
Espèce la plus évoluée? L'Homme n'est pas l'espèce avec le plus d'ADN, ni celle avec le plus de gènes (cf figures). Ce n'est ni l'espèce la plus grosse, ni la plus rapide, ni la plus petite. Ce n'est pas celle qui vit le moins longtemps, ni celle qui a la plus grande longévité. Quel critère prendre pour comparer deux espèces et décider de celle qui est plus évoluée? La comparaison du degré d'évolution de deux espèces n'a donc de sens que pour un critère donné.
A la découverte de l’ADN Qu’est ce que l’ADN ? De quoi c’est fait et à quoi ça ressemble ? Chez qui en trouve-t-on ? Partons à la découverte de l’ADN ! ADN est l’abréviation d’Acide DésoxyriboNucléique. C’est une énorme molécule qui contient toutes les informations nécessaires au bon fonctionnement d’un organisme. Déroulé, l’ADN mesure près de 2 mètres de long ! L’Homme n’est pas le seul à posséder de l’ADN dans ses cellules : du pommier au requin blanc, tout ce qui est vivant en possède. Cette molécule détermine tous les paramètres de l’être vivant comme la couleur de ses yeux, sa taille… mais aussi s’il doit fabriquer des cellules sanguines, de l’insuline, etc. Une molécule d’ADN Une molécule d’ADN est composée de deux brins accolés qui s’enroulent pour former une hélice. Dans les cellules, l’ADN est enroulé sur lui-même et forme des chromosomes. Si on déroule ces chromosomes on voit que l’ADN est composé de portions appelées gènes. Représentation schématique d’une molécule d’ADN Chaque espèce à son propre ADN.
Dionysos Dionysos Dans la mythologie grecque, Dionysos (en grec ancien Διώνυσος / Diốnysos ou Διόνυσος / Diónysos) est le dieu des jonctions des opposés et des ambiguïtés (mort-vie, homme-femme, vigne, vin et ses excès-lierre soporifique, dieu souterrain-dieu solaire, dieu étranger, barbare-dieu grec quasi maître de l’Olympe). Il est le fils de Zeus et de la mortelle Sémélé. Les Romains l’ont assimilé au pâle Bacchus. Selon les listes, il fait partie ou non des douze Olympiens, bien qu’il ne vive pas sur le mont Olympe (c’est essentiellement un dieu errant). Le mythe Excitée par la jalousie d’Héra, Sémélé, fille du roi de Thèbes, veut contempler son amant Zeus dans toute sa majesté. C’est l’origine de l’expression « être né de la cuisse de Jupiter ». Pour le soustraire à la vengeance d’Héra, il est confié à sa tante Ino (sœur de Sémélé) et à son époux, Athamas. Dans le panthéon grec, Dionysos est un dieu à part : c’est un dieu errant, un dieu de nulle part et de partout. Fonctions Iconographie
Aristote Philosophe grec (Stagire 384-Chalcis 322 avant J.-C.). Connu pour avoir établi les premiers fondements de la philosophie de la nature, discipline regroupant la physique et la biologie, Aristote est aussi le fondateur de la métaphysique, dite à la fois « philosophie première », puisqu’elle consiste à rechercher les premières causes et les premiers principes de l’existence de l’Univers, et « théologie », puisqu’elle traite de cette cause première qu’est Dieu. Sa vie Aristote est né à Stagire, en Macédoine, en 384 av. Son œuvre « exotérique » Il s’agit de la partie de l’œuvre d’Aristote qui n'est pas destinée aux seuls disciples et élèves avancés. Son œuvre « ésotérique » Autrement dit, le travail exclusivement destiné au cercle restreint des disciples. L’apport d’Aristote concerne avant tout la philosophie naturelle, ou physique. 1. 1.1. De manière générale, tout changement suppose un couple de contraires. 1.2. 1.3. Quelles sont alors les causes qui déterminent les êtres naturels ? 2. 2.1.
La timidité des arbres Quelques espèces d’arbres souffrent de timidité pour des raisons encore incomprises et laissent quelques dizaines de centimètres de vide appelés fente de timidité pour se séparer de leurs voisins et ne pas laisser leurs branches se mélanger. Le phénomène a été étudié pour la première fois en Australie dans les années 60 et on lui a donné le nom de crown shyness – timidité des cimes. On a quelques idées sur les raisons de ce phénomène mais aucune n’a été conclusivement prouvée et elles pourraient varier suivant les espèces. Il est par exemple peut être possible que certains feuillages produisent des gaz inhibant leurs voisins ou que le balancement des branches sous l’effet du vent casse les bourgeons extérieurs en les frottant sur les branches voisines. De la même manière certaines espèces, pas les mêmes, souffrent de timidité au niveau de leurs racines et refusent de les laisser s’emmêler avec celles appartenant à d’autres arbres.
Inerte et vivant — Astronoo Si l'on considère le problème depuis les briques primordiales de la matière ordinaire, on constate que la matière originale, , nucléons, atomes s'agitent avec la température, d'ailleurs la chaleur traduit directement l'agitation des particules. De temps en temps les composés chimiques s'auto-organisent en liaisons chimiques covalentes.Les assemblages entre les atomes sont de 3 types :- liaisons ioniques : ce sont des liaisons résultant de la perte d'un ou de plusieurs électrons de valence (électrons de la couche périphérique intervenant dans les liaisons chimiques) par un atome, et de la captation de ces électrons par un autre atome. Ce type de liaisons s'établit généralement entre des éléments présentant une différence d’électronégativité très élevée ≥ 1,7 sur l’échelle de Pauling, entre le fluor = 4 et le francium = 0.7).- liaisons covalentes : les atomes liés mettent en commun chacun un électron de valence afin de créer une paire d’électrons, partagée entre deux entités.
Philippe Descola : “Les Achuar traitent les plantes et les animaux comme des personnes” - Idées Les Indiens Achuar montrent qu’une autre relation à la nature est possible. Pour l’anthropologue Philippe Descola, il est temps de penser un monde qui n’exclue pas l’eau, l’air, les animaux, les plantes... Il faut parfois partir, quitter son monde, pour mieux en cerner les contours. Il y a quarante ans, l'anthropologue Philippe Descola, aujourd'hui professeur au Collège de France, a laissé derrière lui Paris, la France et l'Europe pour une immersion de trois ans chez les Indiens Achuar, en Amazonie. L'aventure intellectuelle du jeune philosophe gauchiste faisait soudainement un « pas de côté » : elle allait conduire Descola dans les méandres d'une réflexion fascinante sur la façon dont les sociétés humaines conçoivent les relations entre humains et non-humains et « composent » ainsi leurs mondes. Ces mondes se recoupent, se superposent ou se différencient. Quand vous étiez jeune, aviez-vous déjà l’idée de cette diversité des mondes ? Qu’apportiez-vous dans vos bagages ?
L'Homme, 1983, tome 23 n°1. Saut au contenu L'Homme, 1983, tome 23 n°1. www.persee.fr/issue/hom_0439-4216_1983_num_23_1 Liste des auteurs Figures Retour à la collection L'Homme, 1983, tome 23 n°1. Le Travail du chamane. Patrice Bidou Avatars mythiques du poison de pêche [article] Jacqueline Bolens-Duvernay Le Jardin de Colibri. Philippe Descola La Mythologie des Indiens de Big Trout Lake. Emmanuel Desveaux Astronomy of the Coastal Caribs of Surinam [article] Fabiola Jara Edmundo Magaña Notes et commentaires Les Blessures d'Hektor et les messages vers l'autre inonde [note critique] Georges Devereux Référence bibliographique Discussions et polémiques La Grande lessive [note critique] Daniele Van De Velde-Cahen Comptes rendus C. Michel Veuille E. Suzanne Lallemand T. Jean-Pierre Chauveau Father B. Claude Lévi-Strauss W. H. F. David Hicks G. Danièle Dehouve K. Jean Levi P. Gérard Toffin F. Maribeth Erb A. & J. Alain Testart N. François Hartog C. Jean-Pierre Digard Atti del Convegno internazionale « Littérature classiche e narratologia. G.
Monisme Autoportrait subjectif du physicien et philosophe moniste Ernst Mach, censé illustrer l'unité du « moi » et du monde. Sur le plan de la connaissance, le monisme interdit de dissocier les sciences de la nature et celles de l'esprit. L'ensemble de la science est alors représenté comme un édifice solidaire[2]. Il établit également un rapport étroit entre la philosophie et la science[3]. Origine et histoire de la notion[modifier | modifier le code] Le qualificatif « moniste » est abondamment utilisé dans la seconde moitié du XIXe siècle par les savants évolutionnistes anglais et allemands, tels que Herbert Spencer et Ernst Haeckel, pour caractériser la nouvelle philosophie chargée de rendre compte d'un monde dont la représentation venait d'être chamboulée par les récents acquis des sciences de la nature[2]. Philosophie grecque[modifier | modifier le code] C'est avec Parménide au début du Ve siècle av. Entre le IVe siècle et le IIIe siècle av. Spinozisme[modifier | modifier le code]
les formes d’art de la nature (Art Forms in Nature) – Ernst Haeckel « BIO-CREATION le 2 avril 2010 Non seulement Ernst Heinrich Philipp August Haeckel (Potsdam, le 16 février 1834 – Iéna, le 8 août 1919) était biologiste, philosophe et libre penseur, mais en plus il possédait un bon coup de crayon comme en témoignent ces images de méduses et d’organismes présents dans le plancton, illustrant l’impressionnante beauté du monde biologique discomedusae « Kunstformen der Natur » (les formes d’art de la nature) parurent de 1899 à 1904 sous la forme de nombreux cahiers et connurent un succès populaire. blastoïda Les représentations et planches de sa main impressionnent par leur fidélité et leur précision. ascidiae les formes d’art de la nature <a href=" this on Yoolink</a>