Valeur perçue (notion) Doc 2 : Comportement du consommateur : comprendre les pratiques d'achats Cette attitude est composée de 3 dimensions : Cognitive : elle concerne les éléments relatifs à la connaissance qu'il peut avoir face à un stimulus. En prenant l'exemple de l'attitude d'un consommateur face à un produit, nous pouvons dire que cette grandeur correspond à ce qu'il sait de ce produit. Affective : nous pouvons classer ici tous les éléments dus à l'émotion. Conative : c'est ce que l'on appelle la prédisposition à l'action. Liens entre attitudes et attentes Les attentes correspondent à un désir. Liens entre attitudes et comportements Le comportement donc l'acte, est consécutif à une attitude : nous pensions par rapport à notre croyance que cette situation est favorable, nous allons donc agir. Processus de prise de décision Dans un processus classique, le consommateur passe par les phases suivantes : reconnaissance d’un besoin, recherche d’informations, évaluation des possibilités, acte d’achat, évaluation des conséquences après l’achat. Et les études dans tout ça ? Qui il est ?
Quelle est la cause de l'addiction des gens à la consommation L'addiction à la consommation est une forme "soft" d'addiction, plus individuellement et socialement acceptable et bien différente de l'addiction à la drogue, au tabac ou à l'alcool. Elle se rapproche de l'addiction au sport ou à la sexualité ou aux jeux vidéos considérées aussi en général comme "doux". Avec ces formes, ce n'est que passé un certain niveau que les inconvénients surgissent en bousculant gravement les liens familiaux ou sociaux . L'addiction à la consommation entraîne un risque de dilapidation des ressources de l'individu. Le sociologue Veblen Thorstein (1970) qualifie de « consommation ostentatoire», l’acte de consommer pour paraître, pour se sentir exister par le regard qu’on imagine envieux et admiratif des autres. Le besoin de possession et d’accumulation est quasiment illimité chez certains milliardaires, qui accumulent plus qu’ils ne pourront jamais consommer ou dépenser.
Le contenu divertissant augmente la valeur perçue d'une marque Les consommateurs sont demandeurs de contenu ludique fourni par une marque et reconnaissent sa valeur. Ils seraient même plus disposés à vouloir en savoir plus sur elle. Et ce, notamment chez les jeunes adultes. Un tiers des Américains reconnaissent la valeur, dans la consommation, du contenu de divertissement fourni par une marque et "brandé" (34%). D'autant plus lorsqu'ils sont de jeunes adultes, âgés de 18 à 34 ans, puisque cette part atteint 52%, révèle une étude de Edelman sur la valeur perçue des marques aux Etats-Unis. Ce contenu doit aussi être aisément accessible : 56% des jeunes adultes affirment vouloir en savoir plus sur une marque qui fournit du contenu gratuit. Des demandes claires De la même façon, 31% des consommateurs souhaitent du contenu vidéo en ligne gratuit contre 39% des jeunes adultes et 20% du contenu auquel il n'aurait eu accès sans la marque contre 31% chez les 18-34 ans. Une histoire de confiance
Environnement : comment changer nos comportements A l'occasion de la COP21, la neurobiologiste Sylvie Granon explique pourquoi nous percevons de manière beaucoup moins aigüe le risque environnemental que le risque terroriste… Et suggère quelques pistes pour modifier les comportements qui en découlent. Comment expliquer nos comportements ? Ceux-ci sont avant tout des réponses à ce que nous percevons comme des besoins. Parmi ceux-ci, les besoins vitaux - comme se nourrir, être en sécurité, se reproduire - font l'objet des comportements prioritaires. De quelle catégorie relève la protection de l’environnement ? Priorité aux besoins immédiats Les attentats et la crainte qu’ils génèrent fournissent une illustration malheureusement tragique de ce phénomène. Les comportements élaborés se mettent en place parce que leur réalisation apporte une certaine gratification. Notre capacité à prendre des décisions dépend de notre capacité à hiérarchiser nos motivations. Rendre routiniers les comportements pro-environnement
L’achat compulsif est il pathologique ? Egalement connus sous le terme de frénésie incontrôlable d’achats, les achats compulsifs représentent une pathologie en augmentation (1,1% de la population générale), qui touche principalement les femmes (80 à 92% des acheteurs compulsifs). Cette envie irrépressible d’acheter, s’apparente souvent à un besoin de drogue ou d’alcool.L’achat suscite une impression d’euphorie, comme dans les premiers temps d’une addiction. A chaque nouvel achat, la personne se promet de ne plus recommencer…pour rechuter le lendemain. La compulsion des achats est présente chez 32% des dépressifs, qui cherchent une compensation à des sentiments d’infériorité et à une existence perçue comme médiocre. L’extérieur par le biais de l’achat, change et améliore l’intérieur. Ces fringales d’achats apparaissent comme des remèdes à la dépression, mais ce sont aussi des causes de dépression. L’acheteur pathologique recherche l’émotion positive pour compenser une émotion négative, une frustration qu’il ne sait canaliser.
Expérience de consommation (notion) Le consommateur est-il toujours rationnel dans ses choix Peut-on expliquer de manière rationnelle le comportement du consommateur ? Quels sont les facteurs explicatifs des comportements des consommateurs ? Quelle est la valeur retirée par le client de l'acte d'achat ? Telles sont les questions que pose le sujet. Pour y répondre, les notions de motivations, freins, besoins, processus d'achat, perception, attitude, valeur perçue, satisfaction, expérience de consommation devront être explicitées. 1. Comprendre les déterminants de l'achat est un objectif central de la mercatique. 1.1. Les facteurs socioculturels La sociologie a mis en évidence que l'environnement de l'individu a une incidence sur le comportement de celui-ci. Les instances de socialisation, dont la fonction est de véhiculer les normes et les valeurs sociales sont représentées par la famille, les amis, les institutions publiques et privées et les leaders d'opinion (ce qui explique l'usage des stars dans les campagnes publicitaires). Les facteurs psychologiques 1.2. 2. 2.1. 2.2. 2.3.
CONSOMMATION EMOTIONNELLE / MARKETING EXPERIENTIELLE Processus de decision d’achat (notion) Le comportement du consommateur, cours de marketing gratuit En marketing, l'analyse du comportement du consommateur est une étape importante. En effet, c'est grâce à cela que l'on peut adopter une stratégie marketing efficace, segmenter la clientèle selon des critères bien précis, etc. Dans ce cours, vous verrez quelles sont les variables qui poussent les consommateurs à l'achat et comment fonctionne le processus de prise de décision du consommateur. I. 1.1 Variables explicatives individuelles a. Parmi les facteurs psychologiques qui ont une influence sur l'acte d'achat du consommateur, le premier est le besoin. ==> Retrouvez encore plus de contenus sur la pyramide de Maslow sur digiSchool commerce. Deuxième facteur psychologique qui intervient dans l'acte d'achat du consommateur : la motivation, qui est une pulsion positive qui pousse un individu à l'action. Les attitudes ont également une influence considérable sur l'acte d'achat. Enfin, l'implication est un état non observable de motivation ou d'intérêt. b. 1.2 Les facteurs environnementaux II.