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Si la génération Y est incapable de grandir, c'est à cause des parents hélicoptères

Si la génération Y est incapable de grandir, c'est à cause des parents hélicoptères
Amy (ce n’est pas son vrai nom) était assise dans mon bureau et essuyait ses grosses larmes avec sa manche, en refusant les mouchoirs en papier que je lui avais offerts. «Je vais peut-être faire un doctorat après mon master parce que je n’ai aucune idée de ce que j’ai envie de faire.» Amy a connu une légère dépression en grandissant, et ça s’est aggravé pendant sa première année à l’université, quand elle a quitté la maison familiale pour s’installer dans une résidence sur le campus. C’est devenu pour elle de plus en plus difficile de jongler entre ses cours, sa vie sociale, sa lessive et son job à mi-temps. Finalement, elle a dû abandonner le job, sans pour autant avoir le temps de s’occuper de sa lessive. Elle s’est souvent couchée à 2 heures du matin en essayant de finir ses devoirs parce qu’elle était incapable de gérer son temps sans la supervision de ses parents. Je lui ai suggéré de trouver un emploi après son master, même temporairement. Le problème, ce n'est pas le narcissisme

Pourquoi la génération Y est l’une des plus prudentes de l’histoire Atlantico : Selon une enquête des économistes de l'UBS Wealth Management, même si elle a le désir d'entreprendre, la génération Y serait plus apte à épargner qu'à investir son argent dans l'acquisition d'une voiture ou d'un logement. Comment peut-on expliquer ce phénomène ? Même si la crise économique rend frileux, quels sont les autres aspects qui entrent en compte ? Julien Pouget : Pour moi il y a deux explications principales. Deuxième explication, je pense que nous sommes face à une génération qui affiche une sorte de défiance à l'égard des institutions, notamment face aux systèmes de retraite et de maladie. En quoi l'apparition des Smartphones et de l'économie de partage pourrait expliquer ces comportements ? La consommation collaborative est effectivement fortement facilitée par les Smartphones et en général par les technologies. Aujourd'hui les deux marchés que nous évoquons sont assez différents.

Ce que l’entreprise devra changer pour intégrer la génération Z A peine les entreprises ont-elles intégré la génération Y qu’elles doivent déjà penser à la prochaine génération d’embauchés, la génération Z. Celle-ci arrivera d’ici quelques années en masse sur le marché du travail. Dans sa besace, une nouvelle culture misant notamment sur l’utilisation intensive des outils numériques et une incarnation plus poussée des valeurs. Quels changements l’entreprise devra envisager ? Fonctionner en réseaux numériques pour appréhender la complexité du monde Plus les années passent, plus le monde progresse vers une complexité accrue. L’hyper-socialisation, les liens numériques à outrance font partie du code génétique de cette génération. Ces jeunes arriveront ainsi dans le monde de l’entreprise avec leurs habitudes numériques et leurs outils connectés : téléphone, montre, tablette, etc. L’entreprise aura besoin des compétences de la génération Z pour comprendre et utiliser les réseaux numériques. Extraire la valeur de l’information Capter le talent personnel

Le choc des générations BB, X et Y : comment travailler ensemble ? En quoi les différentes générations vont-elles remodeler le marché du travail ? C’est à cette question que le cabinet de recrutement Hudson a voulu répondre avec son enquête sur les générations BB (les baby boomers nés entre 1946 et 1964), la génération X (1965-1979), la génération Y (1980-1994) et la génération Z (les jeunes mutants nés après 1995). Des générations qui on un rapport différent au travail. Voici leurs particularités et leurs façons de pensée. Les baby-boomers, des leaders-nés ? Entre ces quatre générations qui doivent travailler ensemble, il y a parfois un demi-siècle d’écart. Les Y ont une préférence pour l’abstraction A l’opposé de ces compétences opérationnelles, la génération Y « a une préférence beaucoup plus marquée pour la pensée conceptuelle » et semble moins tournée vers la stratégie que les Boomers. Quelle place pour la génération X ? Entre ces deux générations très différentes, les X ont toujours du mal à se frayer un passage.

13 excellentes raisons de quitter son job en 2014 13 excellentes raisons de quitter son job en 2014 Haydée (en photo) de travelplugin.com est une blogueuse qui ne mâche pas ses mots… Elle partage avec nous son article et propose 13 bonnes raisons de changer de travail en 2014 ! Tel des chats d’appartement, nous pouvons rester cloîtrés chez nous toute une vie sans jamais appréhender le monde qui nous entoure. La pression sociale ne nous définit plus que par notre emploi. Mais le bon soldat aussi à besoin de se rebeller. J’ai un job bien payé mais mon âme est malheureuse… Ce n’est pas moi ! Il y a quelques années, j’ai lâché le monde de l’entreprise. Nous n’avons rien sans rien et j’aime le risque. Et nous sommes loin d’être les seuls ! Alors si comme moi vous rêvez de vous accomplir sans bosser pour un autre, j’ai 13 arguments qui vous aideront peut-être à quitter votre job. 1. Tous les jours de votre misérable existence sont régis par cet impératif routinier. Et si votre angoisse était plutôt due à un profond ennui ? 2. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

La génération Z va semer la zizanie dans le monde de l'entreprise Les entreprises perdaient déjà leur latin avec la génération Y- zappeuse, frondeuse, insoucieuse des hiérarchies. La vague suivante, la génération Z, s’annonce comme une déferlante plus redoutable encore. Car les moins de vingt ans, nés après 1995, portent un regard très dur sur l’entreprise tout en ayant des attentes extrêmement fortes à son égard. C’est ce que révèlent les résultats d’une première étude consacrée à cette génération, réalisée auprès de 3.200 jeunes par The Boson Project et BNP Paribas, et divulgués cette semaine. Alors que leur seul contact avec l’entreprise s’est limité, pour la grande majorité, à un stage en classe de troisième, les moins de vingt ans emploient des mots très durs pour la qualifier. Ils y voient un univers "dur" (adjectif employé par 170 répondants) et "impitoyable" (63), "compliqué" (147), "difficile" (142 ) et même "ennuyeux" (44), "triste" (7) et "hostile". Une refonte des attributs du leadership Ni hipsters, ni intellos, ni geeks

Les Y révolutionneront l’organisation du travail. Et c’est tant mieux! Les Y. Toutes sortes d’histoires et de mythes ont circulé à leur sujet : ils n’aimeraient pas l’autorité, s’absenteraient sans raison, fuiraient les responsabilité, etc. Pourtant, depuis leur arrivée sur le marché du travail plusieurs de ces préjugés tombent. Surtout au sein des entreprises qui ont su s’adapter à leur arrivée. Yvan Dubuc, auteur du livre « Donnez les rênes aux Y » s’est intéressé aux entreprises qui ont su séduire (et retenir!) « Les Y ont des valeurs fortes qui tournent autour de l’amitié, de la famille et de la réalisation de soi, mentionne M. Oser faire confiance aux jeunes, oser revoir et réinventer leur style de gestion. D’où l’importance pour les entreprises d’en tenir compte et de s’adapter. Exit le conservatisme. Le Parc Safari est un exemple d’une entreprise qui a revu et adapté ses façons de faire pour répondre aux jeunes de la génération Y, selon M. Le célèbre zoo embauche chaque année des centaines de jeunes. 1. 2. 3. 4. 5.

Manager la génération Y avec les neurosciences Faire de la génération Y une richesse pour l'entreprise L'intégration en entreprise de collaborateurs appartenant à la génération Y (personnes nées entre 1978 et 1994) s'avère difficile et désoriente les managers. Les jeunes professionnels sont ainsi très souvent décrits comme peu travailleurs, peu soucieux de la hiérarchie, individualistes et sans attachement à l'égard de l'entreprise, etc. Si tel est le cas, s'il s'agit d'une génération "perdue pour le travail", alors le phénomène Y constitue un défi majeur pour les entreprises qui emploieront, selon l'Insee, 40% d'Y dans 5 ans ! Comment mieux comprendre les Y pour accroître leur motivation ? Pour répondre à ces questions, le présent ouvrage propose une lecture approfondie des comportements de la jeune génération et une méthodologie pour mieux les intégrer dans l'entreprise. Manager les Y ;Organiser l'entreprise en tenant compte des évolutions socio-culturelles ;Mesurer la performance économique du capital humain.

Infographic Of The Day: The Blessing And Curse Of Being A Millennial | Co.Design You heard constantly about the millennial generation--that they’re tech-savvy, and different from everyone that came before. It’s not just hype, or vanity on the part of the youngsters: People who are 18-29 right now have markedly different attitudes, beliefs, and mores than any generation preceding them. This infographic by Online Graduate Programs does a good job of summing up all that data. It’s that second panel about politics that’s really surprising: The percentage voting for Obama represents the largest age-based disparity ever recorded. But where the differences become truly stark are in lifestyle. But despite all these gifts--an ease with technology, excellent educations, a surprisingly durable optimism--millennials are at the same time cursed. Does that matter? But maybe that’s a good thing.

OIT met en garde contre le découragement de la jeunesse L’Organisation internationale du travail (OIT) met en garde, dans un rapport rendu public le 19 octobre, contre le « traumatisme » de toute une génération de jeunes travailleurs confrontés à un chômage constamment élevé, à l’inactivité et à la précarité dans les pays développés, ainsi qu’à une multiplication du nombre de travailleurs pauvres dans les pays en développement. Et de souligner que « cette frustration collective chez les jeunes a été l’un des moteurs des mouvements de protestation » des « indignés ». Le nombre absolu de jeunes chômeurs a légèrement diminué au niveau mondial après le pic atteint en 2009. Il est en effet passé de 75,8 à 75,1 millions de 2009 à 2010. L’OIT prévoit que ce chiffre devrait légèrement diminuer en passant à 74,6 millions en 2011, faisant passer en un an de 12,7 à 12,6 % le taux de chômage des jeunes de 15 à 24 ans.

Petit, je voulais être boulanger, mais j'étais bon en maths Petit, je voulais être boulanger, puis facteur, puis berger. On m’a poussé à faire des études. On m’a expliqué que c’était le seul moyen de réussir ma vie, de gagner de l’argent, de m’épanouir dans un métier. J’ai enduré de longues heures, de longues années de cours. Je me suis ennuyé, ennuyé et encore ennuyé sur des dizaines, des centaines, de milliers de chaises. Et maintenant que j’ai cinq années d’étude en poche, que je travaille - je suis ingénieur, je passe mes journées à concevoir des cuillères en plastique à moindre coût, pour environ 1700 euros par mois- je continue à m’ennuyer, et regrette profondément de n’avoir pas écouté le petit enfant qui voulait élever ses moutons en Ardèche. Et autour de moi, lorsque je tends l’oreille, voici ce qui tombe dedans : « J’ai fait cinq ans d’étude, je passe mes journées à faire des additions. Des agents économiquement productifs ou des ratés On ne cherchera pas à savoir ce que l’élève veut faire de sa vie. Pour maintenir l’ordre : l’angoisse

Lever les idées fausses sur la génération Y pour une meilleure performance de l’entreprise La génération Y composée de « Digital Natives » nés entre 1980 et 1994 et dignes successeurs des baby boomers issus de la génération X, a été maintes et maintes fois décrite et ses caractéristiques passées au peigne fin. Selon les analyses et les différents avis d’experts, les Digital Natives également appelés les « Yers » sont tour à tour, zappeurs, convaincus de leur bon droit en toute circonstance, considérés comme des Tanguy qui quittent tardivement le domicile parental, geeks et rebelles, indisciplinés remettant en cause la moindre trace d’autorité et particulièrement réfractaires à toute forme de hiérarchie. Le portrait n’est pas glorieux au premier abord et inquiète les entreprises. Comment la manager ? Comment assurer l’entente intergénérationnelle ? Il n’est pas rare de voir ça et là que la génération Y s’inscrit dans une « culture de la louange ». Dans cette même optique, beaucoup estiment que les Yers considèrent avant tout avoir des droits.

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