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Les entreprises face au développement durable - Marketing et développement durable

Les entreprises face au développement durable - Marketing et développement durable

Publicite, Marketing, Bio Actualités "Bio Consom'acteurs veut mieux faire connaître les impacts positifs de l'agriculture biologique sur l'environnement et le bien-être. En France, seuls 2% de la surface agricole utile est cultivée selon les principes de l'agriculture biologique, ce qui place la France au 19e rang européen en termes de surfaces cultivées bio. Par ailleurs, la France peut se vanter d'être le premier utilisateur de pesticides et d'engrais chimique en Europe et le troisième à l'échelle mondiale, ceci au détriment de la santé des agriculteurs, des consommateurs et de la terre. Les bienfaits de l'agriculture bio ne sont plus à prouver, qu'il s'agisse de protéger la santé de la planète et la nôtre. Produire bio signifie produire sans utiliser de produits chimiques de synthèse (pesticides, par exemple) et recycler les matières organiques. Constatant le retard français en matière d'agriculture biologique, des citoyens ont créé l'association Bio Consom'acteurs. > L'article complet dans Metro

Marketing Durable Les enjeux de l’insertion des entreprises dans l’action collective en faveur du développement durable urbain Des DOI sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions qui sont abonnées à un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lequelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible aux institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : contact@openedition.org BARTHELEMY Denis, NIEDDU Martino, VIVIEN, FRANCK Dominique, 2005, « Economie patrimoniale, identité et marché », in C. Barrère, D. BEAURAIN Christophe, MAILLEFERT Muriel, 2004, « Territoire, action publique et proximité », in H.J. BOIRAL Olivier, 2004, « Du développement durable à l’entreprise durable, ou l’effet « tour de Babel » L. EMELIANOFF Cyria, 2004, « L’urbanisme durable en Europe, à quel prix ?

Concilier marketing et développement durable : une interview de Ganaël Bascoul Professeur de marketing à l’ESCP Europe, Ganaël Bascoul est également le fondateur de l’Extended Values Lab, un laboratoire de recherche spécialisé en marketing et développement durable. Il a écrit en collaboration avec Jean-Michel Moutot un ouvrage intitulé Marketing et développement durable : stratégie de la valeur étendue, qui explique comment et pourquoi il est essentiel d’intégrer le développement durable dans sa stratégie marketing. Nous lui avons posé quelques questions pour en savoir un peu plus sur ce sujet. Tout d’abord, qu’est-ce qui vous a amené à écrire ce livre ? En 2003, j’ai commencé à travailler sur différents projets avec des entreprises qui s’intéressaient au développement durable. Un des thèmes centraux que vous développez dans ce livre est celui de la valeur étendue : pourriez-vous nous l’expliquer brièvement ? Aujourd’hui les consommateurs ne se basent plus seulement sur la valeur intrinsèque et la valeur d’usage des produits lors de leurs achats.

Le développement durable comme levier stratégique Ce dossier propose deux articles sur le développement durable qui ont été simultanément soumis pour publication à la revue Gestion. Rappelons que, au printemps 2009, Gestion a déjà publié un dossier sur le développement durable comptant quatre articles, lesquels sont toujours accessibles sur notre site Web [1] Caron et Cho (2009), Chassé et Boiral (2009), Sloan... [1] . Ces derniers textes portaient sur l’importance du développement durable, sur les raisons de s’y intéresser, sur la fréquence de l’adoption de cette démarche et sur la mesure de son efficacité. Le présent dossier creuse un peu plus le sujet en proposant des exemples réels qui visent à découvrir de quelle façon on peut implanter une démarche de développement durable alignée sur la stratégie et recourir à celui-ci comme levier de différenciation dans un secteur peu reconnu comme défenseur de la cause. Le premier article, écrit par Serge Poisson-de Haro et intitulé «Comment intégrer le développement durable à la stratégie?»

Marketing durable et écoconception Introduction Aucun produit ne parcourt son cycle de vie sans consommer ou polluer, dans la recherche de matériaux comme la consommation de ressources minérales, végétales ou animales, énergétiques, les consommations d’eau et d’espaces naturels liés aux cultures ou à l’élevage. Tout produit est aussi à l’origine de rejets dans l’eau, l’air ou les sols. Ces consommations et ces rejets sont sources d’impacts sur l’environnement comme l’épuisement des ressources naturelles, la pollution de l’eau, de l’air, la production de déchets… Le développement durable est porteur d’espérance. Le business vert est souvent pris comme une opportunité de « coups marketing ». Selon Jean-Jacques LEHU [1], le marketing durable correspond à une déclinaison inspirée du concept du développement durable et proposée par le sociologue Gérard MERMET [2] en 2002. Selon le Mercator [3], on peut définir le marketing durable de deux manières large ou étroite. I. Une préoccupation de plus en plus présente II. Les labels V.

Développement durable et entreprises : champs à investir - [Développement durable et RSE] Définir le développement durable Le développement durable trouve ses racines dans la prise de conscience du caractère fini de la planète, notamment dans les travaux du Club de Rome en 1972. Ce débat a entraîné au niveau international la confrontation entre des valeurs et des rationalités antagonistes, entre environnement et développement. Il a fallu près de quinze ans de réflexion pour construire, dans un processus de négociation internationale, la proposition d’un modèle de développement qui puisse concilier l’aspiration au progrès avec les limites de la planète. Ce concept sera endossé politiquement par les Etats lors de la conférence de Rio en 1992 qui le traduira en principes, en programme d’action (le fameux Agenda 21) et en institutions. La période de 1992 à nos jours n’est pas celle des échecs et des renoncements mais celle de la gestation des solutions dans un processus d’essais et d’erreur qui ont fait émerger une vision plus claire des orientations à prendre. Le facteur 4

Green washing par l'exemple voiture verte informatique verte énergies propres Le développement durable Ce n'est pas la consécration de l'éthique qui caractérise notre époque, c'est son instrumentalisation utilitariste dans le monde des affaires (G. Crédit photo : Emballage BBA En pratiquant le greenwashing, les entreprises dépensent beaucoup plus dans leur communication, jusqu’au changement de leur identité visuelle (logo et couleurs) et le soin de leur image, que dans la réparation réelle des dégâts écologiques inhérents à leurs activités. On voit ainsi les logos de Ajax, MacDonald's ou Bonux devenir "verts", sans pour autant que les produits soient devenus davantage écologiques ou respecteux de l'environnement. Parmi les autres exemples régulièrement employés dans le green washing figurent les slogans « la voiture verte » ou « informatique verte », qui sont employés à tort et à travers, que ça soit pour des véhicules 4*4 ou d'énormes datacenters fonctionnant jour et nuit.

Dubigeon Olivier, 2002, Mettre en pratique le développement durable. Quels processus pour l’entreprise responsable ?, Paris, éd. Village Mondial 1 Tout au long de l’ouvrage, les notions de développement durable et de responsabilité globale sont s (...) 1Dans son ouvrage, Olivier Dubigeon propose aux dirigeants d’entreprises une méthodologie leur permettant de s’orienter vers une « responsabilité globale1 ». Ingénieur des Arts et Métiers, diplômé en management et titulaire d’un troisième cycle en écodéveloppement, il a d’abord travaillé auprès des collectivités territoriales, avant de diriger une entreprise, et enfin d’être employé par un groupe industriel du secteur de l’énergie comme responsable de l’ingénierie et de la valorisation du développement durable. Ce dernier employeur n’est pas absent de la raison d’être de l’ouvrage, puisque c’est suite à sa demande qu’Olivier Dubigeon a entrepris un travail de conseil pour la formalisation et la mise en place d’une démarche de développement durable au sein d’une entreprise. 2 Utilisé à maintes reprises dans le texte, le terme de « patrimoine commun » désigne les éléments do (...)

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