Fences – sustainable, durable and beautiful In Mending Wall, poet Robert Frost decries the saying that “Good fences make good neighbours”. It’s a beautiful piece of writing but I feel the saying has great relevance in an urban setting. Fences do help define the boundaries between public and private, yours and mine. But all too often, those same fences are drab and dreary and even, sometimes, an absolute eyesore. If you’re tired of your old paling fence you might find some inspiration here… Here’s a great bit of fun! Click on any image to start lightbox display.Use your Esc key to close the lightbox. BTW – we’ve reproduced Robert Frost’s poem in full below the images. If you liked these, you will also like viewing Garden Gates… Mending Wall Robert Frost Something there is that doesn’t love a wall, That sends the frozen-ground-swell under it, And spills the upper boulders in the sun; And makes gaps even two can pass abreast.
Permaculture, agroécologie, agriculture bio : quelles différences ? par Cyril Dion L’agriculture biologique recouvre potentiellement le nombre le plus large de pratiques. Cultiver en bio veut dire ne pas utiliser d’intrans, ni de produits phytosanitaires issus de la pétrochimie. Pour autant, il existe un bon nombre d’agriculteurs bio, qui, à cette exception près, travaillent presque comme des agriculteurs conventionnels : cultures de plein champs, en rang, sur une terre dénudée, beaucoup de travail du sol, très peu de biodiversité, beaucoup de mécanisation. Agroécologie L’agroécologie (en tant que pratique agricole) va plus loin. Permaculture La permaculture n’est pas à proprement parlé un système agricole. Elle va donc pouvoir intégrer l’ensemble des bonnes pratiques de l’agriculture biologique et de l’agroécologie mais également les énergies renouvelables, l’écoconstruction… Ses applications sont multiples : villes (notamment les villes en transition), entreprises, économie, énergie…
Diversité en agriculture … | Agriculture, foresterie, pêche | Ménagement du Territoire Diversité, la clef de voûte du système, imiter la nature au maximum. Diversité de la faune et des couverts. Beaucoup d'essais et de recherche à faire et énormément à découvrir pour passer dans un système bio économe en énergie et en travail. Notre leitmotiv est de préserver et restaurer un maximum de diversité afin de nous adjoindre l’aide des auxiliaires, que la nature nous offre gratuitement et qui plus est, sans nuisance sur notre santé. Il faut évoluer afin de bousculer le moins possible la terre et son habitat pour préserver et restaurer la vie du sol à un niveau supérieur. En 2010, nous avons débuté le semis sous couvert végétal. Toutes ces mesures en faveur de la biodiversité nous ont permis de nous passer d’une grosse partie des produits phytosanitaires, c’est-à-dire arrêt total des insecticides, et des fongicides (en conversion bio depuis cette année). Comme dit dans ma précédente publication:La terre, elle, peut se passer des hommes, mais les hommes, eux, ne peuvent s’en passer.
Véritable arme Divine, l’Amarante ne fera pas rire Monsanto! L’ Amarante, une arme anti-OGM, un autre moyen de se battre, une arme naturelle et pourtant redoutable…Dispersez des graines en masse dans les champs OGM et vous verrez Monsanto pleurer…, car l’Amarante ne fera pas rire l’oligarchie psychopathe…Miléna Un gène de résistance est passé d’un OGM à l’amarante. Cette adventice envahit maintenant les terres cultivées aux Etats-Unis. Pas marrante, l’amarante… Cinq mille hectares de culture de soja transgénique ont été abandonnés par les agriculteurs en Géorgie, et 50.000 autres sont gravement menacés par une mauvaise herbe impossible à éliminer, tandis que le phénomène s’étend à d’autres états. En 2004, un agriculteur de Macon, au centre de la Géorgie (à l’est des Etats-Unis), applique à ses cultures de soja un traitement herbicide au Roundup, comme il en a l’habitude. Depuis, la situation a empiré. Comment en est-on arrivé là ? La firme Monsanto ne nie pas le problème. L’amarante vous salue bien… Amarante facile à cultiver LA RECOLTE !
Notre alimentation met la Terre sous pression Alors que le Brésil s’apprête à investir dans l'aménagement du fleuve Amazone pour acheminer plus facilement son énorme production de soja destinée à l’alimentation animale, un rapport des Nations Unies souligne le risque que fait peser sur l’environnement une alimentation toujours plus riche en viande. Le Brésil, premier exportateur de soja au monde, s’apprête à créer une nouvelle route commerciale à travers l’Amazonie pour relier directement les principales zones d'exploitation au canal de Panama. Ce raccourci permettra de réduire de deux jours le temps mis pour transporter les produits agricoles vers l’Asie, en transversant le Pacifique plutôt que les océans Atlantique et Indien. Sur la campagne 2013/2014, le Brésil devrait égaler les Etats-Unis en produisant 89 millions de tonnes de soja. Creuser le sujet : - Information, Amazon River Soy Route Seen Extending Brazil Lead on U.S., 2014 - Etude, Qui va nourrir la Chine : L’agrobusiness ou les paysans chinois ?
Quand l’agriculture paysanne arrive au cœur des quartiers populaires Terminés les paniers bios réservés aux « bobos ». Dans la ville ouvrière de Saint-Étienne, associations de quartier et paysans travaillent ensemble pour livrer des légumes de saison et des produits sains au plus près des quartiers, tout en créant des emplois. Rencontre avec les membres du projet « de la ferme au quartier », une plateforme d’approvisionnement alimentaire solidaire en circuit court, et une alternative au « low-cost » de la grande distribution. Reportage initialement publié sur le site d’infos indépendant Basta! « Comment permettre au plus grand nombre, y compris aux personnes aux revenus très faibles et précaires, d’accéder à une alimentation saine ? Miser sur la solidarité entre consommateurs « La plateforme », le local où les salariés préparent et assurent les livraisons des paniers, est située dans le Marais, un ancien quartier de l’industrie lourde stéphanoise, aujourd’hui plus connu pour son Technopole ou pour le stade Geoffroy-Guichard. En route vers la coopérative
Le frigo du désert ou le Zeer Des économies de sous et d’énergie, une alternative au réfrigérateur naturelle et efficace, découvrez chers Greeners, le frigo du désert. Initialement conçu pour économiser les ressources en Afrique où les conditions sont précaires, le frigo du désert, appelé également Pot Zeer, est un moyen écologique de conservation des fruits et légumes. Le système est celui du système de l’évaporation par l’eau apportée aux aliments. Les aliments sont placés dans un pot d’argile, lui même placé dans un pot plus grand. Entre les 2 pots, on place du sable que l’on arrose 2 fois par jour, le tout est recouvert d’un linge humide. Vidéo : Pour en savoir un peu plus sur le Zeer : La vidéo sur le frigo du désert a été réalisée par Cathy Nguyen Une étude scientifique a confirmé l’efficacité de ce système, en moyenne, les aliments sont conservés 10 fois plus longtemps que d’ordinaire. A titre comparatif : Fabriquer son frigo du désert : A acheter : 2 pots en terre cuite non émaillés (un gros et un plus petit).
Privatisation des semences : une guerre de l'ombre se livre depuis un siècle L’Assemblée nationale examine aujourd’hui un projet de loi qui élargit aux plantes le délit de contrefaçon. Ce projet, qui suscite une forte indignation, renforce un vaste arsenal réglementaire limitant le droit à échanger et reproduire les semences de ferme. Depuis un siècle, « les semenciers n’ont eu de cesse de chercher des moyens techniques pour assurer leur monopole sur la semence », rappelle Yves Manguy, co-fondateur de la Confédération paysanne. Tout commence aux États-Unis dans les années 20. Paysans et consommateurs sont progressivement devenus otages des grands semenciers. La « guerre des semences » [1] s’intensifie. Semences certifiées En France, la première étape de cette guerre des semences date de 1961. Les coopératives lancent alors une campagne en faveur des semences certifiées. Contre-offensive des firmes semencières La chute de l’utilisation des semences certifiées, qui représentent 60 % des surfaces, inquiète les semenciers et les amène à réagir.
Industrie chimique, sociétés de biotechnologies et géants du trading contrôlent la chaîne alimentaire mondiale Certes, vous êtes libres d’acheter le produit que vous souhaitez, généralement dans un supermarché. Mais savez-vous vraiment qui élabore vos menus ? Que le poulet en train de rôtir a toutes les chances d’avoir été conçu par le groupe franco-néerlandais Hendrix Genetics ou la firme allemande EW Gruppe ? Que le pain qui servira à accompagner le fromage a été pétri avec de la farine appartenant très probablement à l’une des dix firmes qui contrôlent le marché des céréales ? Commençons par les semences, source de toute agriculture, qu’elle soit destinée à l’alimentation humaine ou animale. 75 % du marché mondial de semences est contrôlé par seulement… dix multinationales ! Les semences aux mains de l’industrie chimique Top 10 des multinationales semencières En Europe, cinq de ces firmes – Monsanto, DuPont, Syngenta, BASF et Bayer – détiennent la moitié des brevets sur les plantes, rapporte Econexus. Quatre « traders » détiennent les clés du placard à provisions planétaire
33 photos des plus belles maisons dans les arbres à travers le monde On dirait des cabanes extraites tout droit d’un film fantastique, tellement elles sont spectaculaires de par leur forme et leur emplacement. Mais détrompez-vous, ces maisons dans les arbres existent vraiment, sont habitables et certaines sont d’ailleurs louées aux touristes. Voici une compilation des plus belles photos du genre. Bed and Breakfast de TreeHouse Point, près de Seattle, US : La maison sur 3 étages dans la Forêt Enchantée, en Colombie Britannique (Canada), près de Revelstoke : Le Nid d’oiseau en Suède : L’OVNI ou hôtel soucoupe volante en Suède : Le Cube Miroir, qui réfléchit l’image de son environnement : La cabine dans les arbres : The HemLoft, maison de Joel Allen, ancien développeur logiciel devenu charpentier à 26 ans : Teahouse Tetsu à Hokuto au Japon de l’architecte Terunobu Fujimori : Photo: Akihisa Masuda, crédit: Taschen Big Beach in the Sky à Sanya en Chine : Treehouse au Lac Muskoka en Ontario, Canada, placée dans une réserve de cerfs : La maison du lac au Brésil :
Des poules pour soigner la vigne ? insolite 220 poules lâchées sur une parcelle de vigne : c'est l'expérience inédite qui a été lancée dans la région de Bourgueil. Les poules vont entretenir la vigne de manière naturelle. F3 Centre Publié le 21/01/2014 | 18:13, mis à jour le 22/01/2014 | 09:48 © F3 Centre Cette initiative présente un double intérêt : d'abord pour le vigneron qui voit son sol entretenu naturellement et puis pour son voisin restaurateur qui salive déjà sur ces poules, élevées en plein air. Voir le reportage de la locale France 3 Touraine Val de Loire : Voir la vidéo Bourgueil, couvée 2014 ? Le méthane agricole, un nouvel agro-business ? En Champagne-Ardenne, Didier Forget produit de l'électricité à partir du lisier et du fumier de ses vaches. Extraordinaire pour les uns, ce dispositif est décrié par d'autres. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Manon Rescan Tous les jours, Didier Forget nourrit son digesteur comme il nourrit ses vaches. Dans le ventre de cette vaste cuve circulaire, les bactéries issues des excréments des vaches travaillent, dévorent, transforment le mélange qui fermente. A l'air libre, cette fermentation serait lourdement polluante, le méthane étant un gaz à effet de serre puissant. Cet éleveur laitier d'une cinquantaine d'année croyait sa carrière terminée quand, en 2003, il a été exproprié d'une partie de ses terres à Vivier-au-Court près de Charleville-Mézières. A quelques dizaines de kilomètres, à Clavy-Warby, Sylvie Di Gracia et Antoine Oudet envisagent, eux, de fournir six maisons en chauffage au gaz naturel avec un système similaire. D'autres dérives existent à l'étranger.
:: habitat alternatif: habitat mobile, roulottes, camions et caravanes Habitat mobile L'essence du nomadisme a consisté à optimiser le transport du materiel servant à l'habitat. Qu'il soit chasseur mais surtout pasteur, l'homme comme l'animal migrateur a su se servir des saisons pour s'adapter à des cycles annuels de migrations. Cependant l'habitat mobile viendra aussi tardivement, pour des raisons liées aux difficultés des terrains, à la technique, et en conséquence son développement sera tributaire de la maitrise de la voirie. Bien entendu n'en déplaise aux terrestres, les premiers habitats mobiles furent surement des habitats flottants et il est surprenant pour un marin de retrouver, a l'identique, son univers de carré, de coursive, de cambuse sur un chassis de roulotte. [haut de page] Les origines Les Tziganes L'habitat mobile le plus connue est sans contexte la roulotte des Romanichels ou autre Tziganes, le peuple Rom "comme on l'appelle maintenant" ayant démarré une diaspora il y a mille ans depuis le nord de l'inde et sa périphérie . Lire la suite 1. 2.