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La NSA cherche à casser tous les cryptages avec un ordinateur quantique

La NSA cherche à casser tous les cryptages avec un ordinateur quantique
En fournissant près de 80 millions de dollars à l’Université du Maryland pour développer un ordinateur quantique capable de casser tous les codes de chiffrement, la NSA veut devenir un super Big Brother. Crédit D.R. L'agence d'espionnage américaine finance un projet d'ordinateur quantique capable de casser tous les systèmes de chiffrement, selon le Washington Post. L'Agence de sécurité nationale US tente de construire une nouvelle génération de super-ordinateurs qui pourrait théoriquement ne faire qu'une bouchée des systèmes de chiffrement actuellement utilisés pour sécuriser les communications numériques. Le projet de construire « un ordinateur quantique utilisable en cryptographie » fait partie d'un projet de recherche d'un montant de 80 millions de dollars baptisé « Penetrating Hard Targets » et localisé sur le campus de l'Université du Maryland, selon le Washington Post. L'informatique quantique fascine

Les profils Linkedin siphonnés par une armée de robots Crédit Photo: D.R Le réseau social professionnel a attaqué en justice une société qui utilise des robots pour collecter les profils des utilisateurs de Linkedin et ensuite les revendre. De même, une autre entreprise propose une extension pour navigateur qui dévoile les adresses mails des abonnés. En janvier, Linkedin a déposé une plainte contre X pour la création de faux profils pour pouvoir se connecter à des utilisateurs et siphonner leurs profils professionnels. Linkedin veut maintenant obtenir des dommages et intérêts de Shon Burton et HiringSolved, qui vend ses données entre 199 et 799 dollars à ses abonnés. Une extension très indiscrète Shon Burton s'est défendu en niant qu'il avait fait quelque chose de mal. « Je peux dire que nous ne croyons pas avoir quelque chose d'illégal. Ce système de collecte d'informations sur les profils semble se développer sur Linkedin.

Faille Heartbleed, quels risques pour les internautes ? Tous les acteurs d’Internet, experts en sécurité, développeurs, blogueurs, consommateurs et internautes sont inquiets. Une faille de sécurité critique a été découverte sur Internet dans la nuit du 7 au 8 avril 2014. Son nom: Heartbleed. Heartbleed est le nom d’une faille de sécurité critique qui serait présente dans la quasi-totalité des connexions web chiffrées. Cette faille serait due à une défaillance du protocole OpenSSL qui permet d’accéder aux transactions cryptées utilisées par de nombreux services dont les banques en ligne, les chat, les messageries, les VPN y compris le réseau Tor. 66% des serveurs Web pourraient être touchés Des experts en sécurité informatique ont dévoilé cette faille présente dans OpenSSL, utilisé par 66% des serveurs Web. Une faille qui daterait de 2012 Cette faille serait présente depuis plus de deux ans.

Les technologies « finger printing » permettent de tourner la page du cookie ? Après l’affaire PRISM de l’été 2013 et la joute entre Google et la CNIL (Commission Nationale Informatique et Liberté) en France, la collecte et l’utilisation de données digitales personnelles ou anonymes sont des sujets qui suscitent des interrogations légitimes chez les consommateurs dans tous les pays. Pour les cookies, les temps sont durs. Ces fichiers s’apparentent à des logiciels espions installés directement dans les navigateurs et permettent à un annonceur, à l’éditeur d’un site internet ou bien à un prestataire publicitaire d’identifier de façon anonyme un internaute et de construire un profil plus ou moins détaillé de ce dernier sur la base des informations collectées. Le processus d’harmonisation de la réglementation européenne sur la protection des données personnelles est en marche. L’ensemble des acteurs du marché de la communication digitale et plus particulièrement les spécialistes de la publicité en ligne sont directement concernés par ces questions du moment.

Analyser un binaire suspect quand l’antivirus ne dit rien L’analyse de malware est un métier et il n’est bien entendu pas question d’imaginer que l’équipe SSI puisse remplir cette tâche -à moins qu’elle ne compte en ses rangs un passionné du reverse engineering, évidemment. Mais il est désormais courant d’être confronté à un binaire (par exemple récupéré sur le poste de travail d’un collaborateur) que l’on suspecte d’être malveillant, sans pour autant que l’analyse antivirus ne soit concluante (pour, parfois, de bonnes raisons). Le bon réflexe est alors d’envoyer l’exécutable à son éditeur antivirus pour analyse. Mais les délais de réponse de ce dernier sont variables et l’entreprise peut souhaiter être fixée au plus vite, afin notamment de prendre les mesures d’isolation et de remédiation qui s’imposent. Dans ce cas, l’équipe SSI doit alors analyser elle-même le binaire afin de déterminer l’intention malveillante… sans disposer pour autant d’un véritable environnement d’analyse de malware ! Les services Anubis. Malwr.com. totalhash.com.

Numérique / Cookies : réglementation et bonnes pratiques La récente condamnation de Google à l’amende maximale de 150 000 euros que peut prononcer la Cnil (Commission nationale Informatique et Libertés) concerne sa politique de confidentialité des données, jugée non conforme à la loi Informatique et Libertés. Concrètement, Google n’informe pas suffisamment les utilisateurs de ses services sur la finalité des cookies qu’elle installe dans leurs terminaux et les dépose sans leur accord préalable. En décembre dernier, la Cnil a publié ses recommandations en la matière(1). Un document, destiné aux éditeurs de site et émetteurs de cookies (régies publicitaires, réseaux sociaux, éditeurs de solutions de mesure d’audience…) pour les aider à se mettre en conformité. Cookies soumis à accord préalable des internautes Pour la Cnil, compte tenu des risques qu’ils entraînent sur la vie privée, les cookies nécessitant une information et un consentement préalables des utilisateurs sont notamment : - ceux liés aux opérations relatives à la publicité ciblée ;

Un espace du journal 20 minutes piraté Un espace du journal 20 minutes piraté Publié le 09-04-2014 à 13:26:05 dans le thème Réseau - Sécurité Pays : France - Auteur : Damien Bancal Pub : Tous les logiciels antiphishing gratuits disponibles sur Internet Mots de passe, identifiants de connexion, ... un pirate passe dans le serveur de l'espace Cuisine du journal 20 minutes. Le "curieux" explique avoir injecté un shell dans le serveur, comprenez une porte cachée qui lui donne la possibilité de faire un peu tout et n'importe quoi dans le serveur "Et il m'a suffi d'ouvrir le index.php pour trouver les identifiants de la base de donnée à entrer dans phpmyadmin" indique-t-il. Une méthode que nous réfutons. Nous vous conseillons de passer par le protocole d'alerte de zataz afin de permettre une correction efficace et une mise en relation , quand cela est possible. Tweet Derniers contenus Un espace du journal 20 minutes piraté 09-04-2014 à 13:26 - 0 commentaire(s) Sur le même thème : Réseau - Sécurité Histoire Belge

Microsoft comble une faille critique vieille de 15 ans 01net le 11/02/15 à 20h20 Chez Microsoft, on aime parfois prendre son temps pour bien faire les choses. Hier, à l'occasion de son traditionnel Patch Tuesday, l’éditeur a publié un énorme paquet de rustines Windows : neuf mises à jour pour combler pas moins de 56 failles de sécurité ! Parmi elles figure une faille critique baptisée « Jasbug » qui existe dans le système d’exploitation depuis... 15 ans. Elle a été découverte il y a un an par la société de sécurité « JAS Global Advisors » (d’où le nom de la faille) et elle est particulièrement méchante. Mais corriger cette faille n’était pas si facile, car le problème résidait dans le design même d’une partie de Windows, créée il y a quinze ans. Sources :

Cybersécurité: une majorité craint pour sa vie privée, selon un sondage Les Français et les Allemands sont beaucoup moins enclins que les Indiens ou les Japonais à livrer certaines informations personnelles pour pouvoir surfer plus facilement sur l'internet. En tout, 15 000 consommateurs ont été interrogés dans quinze pays. C'est en Allemagne que les sondés sont les moins prêts (71%) à «échanger une part de vie privée pour plus de facilité et de commodité» lorsqu'ils utilisent l'internet, par exemple parce que les annonceurs ont accès à leurs goûts et préférences et peuvent donc fournir des réponses plus appropriées à leurs recherches. La France arrive en deuxième position, avec 63% de sondés qui ne sont pas prêts à sacrifier ou partager certaines données personnelles, tandis que cette catégorie d'internautes représente 56% aux États-Unis, 52% aux Pays-Bas et baisse jusqu'à 40% en Inde, 39% au Mexique et 35% au Japon.

Une faille dans le plug-in d'analyse de WordPress 25/02/15 Les utilisateurs de Wordpress utilisant WP-Slimstat doivent mettre le plug-in à jour. Une vulnérabilité dans le plug-in WP-Slimstat de WordPress a été corrigée dans la version 3.9.6 de l'outil. Les gestionnaires de sites WordPress utilisant le plug-in d’analyse de statistiques WP-Slimstat doivent passer sans attendre à la dernière version de l’outil, 3.9.6. La précédente version comporte une faille critique, viennent d’avertir des experts en sécurité de la société Sucuri, dans un billet. Très utilisé, WP-Slimstat a été téléchargé plus 1,3 million de fois. Il permet aux propriétaires de sites web de suivre leurs visiteurs, de surveiller les événéments JavaScript, de détecter les intrusions, d’analyser les campagnes de mails, etc.

La sécurité informatique ? Les dirigeants français s’en moquent L’intendance suivra, disait le Général de Gaulle. C’est en somme la perception des dirigeants d’entreprise en matière de sécurité informatique. Selon une étude Vanson Bourne, sponsorisée par NTT Com Security, la branche spécialisée de l’opérateur japonais, les cadres dirigeants français (hors DSI) ne sont que 38 % à considérer que la sécurité des données est « vitale » pour leur organisation. Dans le détail, moins d’un dirigeant français sur trois affirme que son entreprise possède un plan de réponse à incident en cas de faille. Cette distanciation pourrait trouver son origine dans les relations que les dirigeants français ont nouées avec leur DSI. Basée sur les réponses de 800 dirigeants (n’appartenant pas à la DSI) travaillant dans des entreprises de plus de 500 personnes dans 8 pays du monde, l’étude de NTT montre qu’au niveau mondial, les personnes interrogées pensent en majorité qu’un vol de données aurait un impact sur leur réputation (à 60 %) et la confiance des clients (56 %).

L’intrusion dans un système informatique et ses conséquences juridiques. Il existe différents types de pirates informatiques : du hacker classique, qui s’introduit dans les systèmes par des moyens illégaux sans détruire les données ni utiliser les informations données, mais dans le seul but de faire savoir qu’il existe des failles de sécurité au cracher (casseur), appellation qui désigne le pirate le plus dangereux qui détruit dans un but précis ou pour le plaisir. Or, aux yeux de la loi, chacun d’entre eux peut être poursuivi au regard des dispositions du Code pénal en matière de fraude informatique. L’intrusion peut s’effectuer par le biais d’un programme qui se cache lui-même dans un programme « net » (par exemple reçu dans la boite aux lettres ou téléchargé). L’un des plus connus est le Back Office qui permet d’administrer l’ordinateur à distance. En outre, le piratage peut avoir comme cible les mots de passe du système. I. a) La responsabilité pénale i. Accès frauduleux Quid, pourtant, si le système n’est pas protégé ? Le maintien frauduleux ii. iii. b.

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