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UP with Chris Hayes

UP with Chris Hayes
now playing Dissecting the notion of ‘Deporter-in-Chief’up next Can damage with Latino community be repaired? Will GOPers pivot away from anti-ACA message? Can ACA change voters’ minds in red states? Headlines making the news ‘This was torture by anybody’s definition’ Can public opinion on torture change? Relationship between late night and politics The politics of late night television The future of late night Another signal detected in MH370 search A benchmark week in health care reform Is 2016 the next battleground in ACA fight? Lis Smith: Sexism in Christie report

Deux rencontres prometteuses Publié le 25 janvier 2013 Un édito signé Claude Alphandéry, Président du Labo de l'ESS. Chers amis, Comme vous le savez déjà, le Labo de l’ESS ESS Économie sociale et solidaire | Présentation, en partenariat avec l’institut de recherche de la Caisse des Dépôts, organise en ce début d’année un séminaire de travail interne qui constitue un pas important pour la reconnaissance de la place de l’économie sociale et solidaire (ESS). Une quinzaine d’économistes dont les travaux pourtant très marquants portent rarement jusqu’ici sur l’ESS, ont été interviewés par Philippe Frémeaux. Vous avez été aussi informés de la réunion publique sur "les outils des finances solidaires" qui se tient le 7 février prochain à l’auditorium de la Macif. Ces deux rencontres, les premières d’une série d’évènements que le Labo organise cette année, feront l’objet de compte-rendus et d’échanges sur le site, auxquels vous prendrez certainement une large part. Claude Alphandéry,Président du Labo de l’ESS

Le kitsch moderne Démosphère : agenda alternatif de la région parisienne The Destruction of Conscience in the National Academy of Sciences by DAVID H. PRICE Last Friday, esteemed University of Chicago anthropologist Marshall Sahlins formally resigned from the National Academy of Sciences (NAS), the United States’ most prestigious scientific society. Sahlins states that he resigned because of his “objections to the election of [Napoleon] Chagnon, and to the military research projects of the Academy.” Sahlins was elected to the National Academy of Sciences in 1991. “By the evidence of his own writings as well as the testimony of others, including Amazonian peoples and professional scholars of the region, Chagnon has done serious harm to the indigenous communities among whom he did research. Napoleon Chagnon rose to fame after his fieldwork among the Yanomami (also known as Yanomamo) in the rainforests of northeastern South America’s Orinoco Basin in the 1960s and 70s. The truth is that outside of the distortion field of the New York Times and a few other media vortexes, there is no “science war” raging in anthropology.

Open access: The true cost of science publishing Michael Eisen doesn't hold back when invited to vent. “It's still ludicrous how much it costs to publish research — let alone what we pay,” he declares. The biggest travesty, he says, is that the scientific community carries out peer review — a major part of scholarly publishing — for free, yet subscription-journal publishers charge billions of dollars per year, all told, for scientists to read the final product. “It's a ridiculous transaction,” he says. Eisen, a molecular biologist at the University of California, Berkeley, argues that scientists can get much better value by publishing in open-access journals, which make articles free for everyone to read and which recoup their costs by charging authors or funders. But publishers of subscription journals insist that such views are misguided — born of a failure to appreciate the value they add to the papers they publish, and to the research community as a whole. The past few years have seen a change, however. The cost of publishing

The Atlantic Article, Trickle-Down Feminism, And My Twitter Mentions. God Help Us All. By Guest Contributor Tressie McMillan Cottom, cross-posted from TressieMC Courtesy: kveller.com This is one of those posts that can go nowhere but down. There are things you simply cannot do in this life and slaying unicorns is one of them. What do I mean by “slaying unicorns”? I am really, really bad about this. So, I wanted to leave alone The Atlantic article about women having it all. An initial tentative reaction about not seeing my experience as a black woman in the article provoked such passionate responses that my mentions on Twitter took two days to recover. I decided to leave that unicorn alone. But that did not mean that I did not want to make sense of it myself. I’m a Reagan baby. I went back and re-read The Atlantic article. First, I do not have an emotional connection to the piece. It could be race, class, or experience (I’ll get to that later) but I don’t have fond memories of attending the Seven Sisters or an experience of being told that I should want or have “it all.”

Katrina, une tragédie américaine ? Ce texte accompagne un film de moyen métrage réalisé en 2005-2006 à La Nouvelle-Orléans. Il sera également illustré par une présentation PowerPoint. L'ouragan Katrina a frappé la Nouvelle-Orléans le 29 août 2005 aux environs de midi. Ce paradoxe spatial s'est doublé d'un paradoxe temporel dans la mesure où Katrina était une catastrophe annoncée. L'objectif de cette présentation est moins de soutenir une thèse définitive sur les causes et les conséquences de la catastrophe que de poser des problèmes en rendant plus familier les lieux touchés par cette dernière. I/ Une semaine en enfer : les causes immédiates de la crise 1) De l'incurie appliquée aux grandes villes américaines S'il fallait reconstituer une généalogie de la crise, son origine serait probablement à chercher dans les insuffisances et les incohérences du plan d'évacuation mis en place par les autorités de la ville. D'autre part l'évacuation complète d'une ville d'un demi million d'habitants est presque impossible.

Interview dans Books de Colin Crouch : « La démocratie est de plus en plus une coquille vide  « «DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE 24 mars 2009 par gillesbehnam L’hebdomadaire allemand Der Spiegel avait récemment publié un entretien avec Colin Crouch sur l’actualité et le devenir de la démocratie. Ce texte vient d’être traduit par Catherine Delcour et publié dans Books, ce magazine grand format récemment lancé qui veut rendre compte de l’actualité par les livres => www.booksmag.fr Colin Crouch est sociologue et enseigne à la Warwick Business School en Grande-Bretagne. Peu de ses ouvrages sont disponibles en français (signalons Les Capitalismes en Europe, La Découverte, 1996) mais gageons que son dernier livre paru sera rapidement traduit. Selon Colin Crouch, rien de très réjouissant lorsqu’on observe et analyse le devenir des démocraties dans le monde. Sous les démocratie d’apparence et d’apparat se glissent des oligarchies notamment financières et médiatiques et Crouch donne l’exemple de Silvio Berlusconi qui "a bien été élu démocratiquement tandis que c’est une minorité qui dirige". Like this: J'aime chargement…

How I chose your mother How I chose your mother En regardant Titanic, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi Rose tombe amoureuse de Jack et non de son fiancé ? Et pourquoi Jack a le coup de foudre pour cette inconnue apparemment inaccessible ? Pourquoi CETTE personne, alors qu’il y en a des centaines d’autres sur le bateau ? Certains critères de choix du partenaire sont connus depuis bien longtemps : en dehors de la forme intellectuelle, un homme voudra une femme jolie et sensuelle, et une femme cherchera l’homme riche et fort. Ces critères peuvent sembler extrêmement caricaturaux, certes, mais ils s’expliquent par la théorie de l’évolution darwinienne, selon laquelle toute espèce est sujette à la sélection naturelle et doit s’adapter pour survivre. Mais à ces critères connus s’ajoutent des conditions découvertes il y a bien moins longtemps : les deux individus doivent être compatibles génétiquement. Pour résumer, le choix du partenaire se fait aussi en fonction de ses allèles de gènes immunitaires. Maria Pothier

Arnaud Parienty » Blog Archive » 35 heures et compétitivité Zappant sur la 5 pendant un arrêt de jeu d’un match de tennis, je tombe sur une journaliste politique, Catherine Nay, expliquant que les 35 heures étaient à l’origine des délocalisations, qu’elles coûtaient 15 milliards d’euros à l’Etat chaque année et qu’une telle usine à gaz ne pouvait exister qu’en France. Plusieurs autres « experts » l’écoutaient pérorer, qui n’ont pas jugé utile de réagir. Au moins, les choses sont claires : on peut dire n’importe quoi à la télévision du moment qu’on a l’air suffisamment sûr de soi. Pourtant, les articles du Figaro sur lesquels s’appuie madame Nay, qui n’a pas de lumières particulières en économie, sont plutôt nuancés. De fait, obliger toutes les entreprises, grandes ou petites, industrielles ou de services, employant du personnel qualifié ou non, utilisant le travail posté ou non, à passer à 35 heures était certainement une mauvaise idée. Cette mise en place à marche forcée a eu certains effets négatifs. Exit le fantôme

bulletin de liaison des études sur les mouvements révolutionnaires - Gérard BORVON, Plogoff. Un combat pour demain, Saint Thonan, éditions Cloitre, 2004. - Jean-Marie BROHM, Pierre de Coubertin, le seigneur des anneaux. - Gilles CANDAR, Guy DREUX, Une loi pour les retraites. - Robert CASTEL, La discrimination négative. - Frédéric CEPEDE, Eric LAFON, dir, Le monde ouvrier s'affiche. - Collectif de soutien aux Sans-papiers, Feu au centre de rétention. - Xavier DAUMALIN, Sylvie DAVIET, Philippe MIOCHE (dir.), Territoires européens du charbon. - Dominique DECEZE, Services publics. - Dominique DECEZE, Gare au travail. - Alèssi DELL'UMBRIA, C'est de la racaille ? - Bernard DESMARS, Militants de l'utopie ? - Nicolas DUBOST, Comités d'entreprise, syndicats, patrons. - Vincent DUCLERT, Alfred Dreyfus, L'honneur d'un patriote, Paris, Fayard, Sources, Bibliographie, Chronologie, Index, 1259 p., 30 euros. - Rodolphe DURAND, Jean-Philippe VERGNE, L'organisation pirate. - Gérard FILOCHE, Les caisses noires du patronat. - Claude GUILLON, Le droit à la mort. - E.

LE BLOG DE YVES PATTE » Pourquoi je cite Jamel Debbouze dans mes cours de sciences sociales Il y a maintenant dix ans (j’étais encore étudiant en sociologie à l’époque), j’ai écrit un texte dénonçant le titre de « docteur en sociologie » octroyé à Elisabeth Teissier, à la suite de sa thèse sous la direction de Michel Maffesoli. Ce texte m’a valu quelques critiques : « de quel droit peut-on dire qui est sociologue et qui ne l’est pas ? », « comment peut-on invoquer la scientificité en sociologie ? Je crois donc ne pas être suspect de défendre une vision « molle » de la sociologie, où n’importe qui, pour peu qu’il ait une vague sensibilité sociale, pourrait se dire « sociologue ». Et pourtant, en tant que professeur de sciences sociales, dans l’enseignement secondaire, je fais référence à Jamel Debbouze. J’ai en particulier lu les articles de Denis Colombi (@Uneheuredepeine), « Sociologue, un métier, pas une vague sensibilité », et de Pierre Mercklé, « Jamel Debbouze sociologue ? Soyons d’accord, Jamel n’est pas un « sociologue » au sens strict du terme. Il n’est pas le seul.

Jamel Debbouze sociologue ? C’est en tout cas ce que nous apprend un hebdomadaire de programmes TV que vous êtes probablement nombreux-ses à lire… Quoi, lui aussi aurait donc soutenu en cachette une thèse sous la direction de Michel Maffesoli ? Il est en effet de notoriété publique que la barrière à l’entrée de la profession de sociologue n’est pas très élevée : on se rappelle tous de l’octroi, il y a quelques années, du titre de docteur en sociologie à l’astrologue Elisabeth Teissier par un jury de complaisance dirigé par cet éminent collègue. Mais non, ce n’est pas ça : à en juger donc par la couverture du dernier numéro de Télérama[1], Michel Maffesoli, qui était le directeur de thèse de Teissier, s’était donné un peu trop de mal : il suffirait désormais d’une couverture de programme télé pour obtenir le titre tant convoité. Mais en quoi Jamel Debbouze est-il « sociologue », vous demandez-vous (enfin, les deux ou trois d’entre vous qui ne sont pas abonnés à Télérama) ? Ouvrons le journal pour le découvrir ?

« La mondialisation de l’inégalité » de François BOURGUIGNON Vendredi 14 septembre 2012 5 14 /09 /Sep /2012 14:03 - Par David Mourey - Publié dans : Livre d'économie Les Editions Le SEUIL, dans la Collection La République des Idées, viennent de publier le dernier ouvrage de François BOURGUIGNON « La mondialisation de l’inégalité « L’inégalité mondiale des niveaux de vie relève d’une évolution paradoxale. Ancien économiste en chef de la Banque mondiale, François BOURGUIGNON est directeur de l’École d’économie de Paris. Comme chaque titre de cette collection, dont vous trouverez un post sur ce blog, ce livre se lit très bien. On lit par exemple, dés l’introduction : « La mondialisation en cours est-elle le fossoyeur de l’égalité, le poison qui condamne tout espoir de justice sociale ? Voilà pour vous mettre en appétit. La République des idées

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