background preloader

MySQL

MySQL
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. MySQL est un système de gestion de base de données relationnelle (SGBDR). Il est distribué sous une double licence GPL et propriétaire. Son nom vient du prénom de la fille du cocréateur Michael Widenius, My. MySQL AB a été acheté le par Sun Microsystems pour un milliard de dollars américains[2]. Depuis mai 2009, son créateur Michael Widenius a créé MariaDB pour continuer son développement en tant que projet Open Source. Caractéristiques[modifier | modifier le code] MySQL est un serveur de bases de données relationnelles SQL développé dans un souci de performances élevées en lecture, ce qui signifie qu'il est davantage orienté vers le service de données déjà en place que vers celui de mises à jour fréquentes et fortement sécurisées. C'est un logiciel libre développé sous double licence selon qu'il est distribué avec un produit libre ou avec un produit propriétaire. Systèmes d'exploitation supportés[modifier | modifier le code]

Serveur Web Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un serveur Web est un serveur informatique utilisé pour publier des sites web sur Internet ou un intranet. L'expression « serveur Web » désigne également le logiciel utilisé sur le serveur pour exécuter les requêtes HTTP, le protocole de communication employé sur le World Wide Web. Un serveur web diffuse généralement des sites web, il peut contenir d'autres services liés comme l'envoi d'e-mails, du streaming, le transfert de fichiers par FTP, etc. Le premier serveur Web, un ordinateur NeXT au CERN Présentation[modifier | modifier le code] Les serveurs Web publics sont reliés à Internet et hébergent des ressources (pages Web, images, vidéos, etc.) du Web. La fonction principale d'un serveur Web est de stocker et délivrer des pages Web qui sont généralement écrites en HTML. Serveur HTTP[modifier | modifier le code] Problématiques des serveurs web[modifier | modifier le code] Équilibrage de charge[modifier | modifier le code]

NoSQL, NewSQL, évolution des bases de données Les principaux sites du Web utilisent une base de données NoSQL. Cela a commencé avec Google et Facebook. L'extensibilité requise et la grande quantité de données et de mises à jour rendent le modèle relationnel inefficace ce qui a obligé à trouver un nouveau modèle. Le mot NoSQL est apparu en 2009 pour désigner le nombre croissant de logiciels n'utilisant pas le modèle relationnel classique. Pourquoi NoSQL? Le modèle classique est inopérant face à certains types de traitement: Indexation d'une quantité de documents. Certaines entreprises ne sont pas satisfaites de leur expérience NoSQL et reviennent à MySQL ou MariaDB. SQL vs. NoSQL est orienté colonnes: entendons par là que l'on peut ajouter des colonnes à chaque enregistrement aussi facilement qu'on ajoute des lignes (par INSERT/UPDATE) dans le modèle relationnel. Mais qu'est-ce qui fait que NoSQL soit beaucoup plus rapide? Une table classique aura la forme suivante: Mais on ne peut avoir une colonne pour le nom de chaque passager.

AWS alerte sur le changement de certificat SSL/TLS pour les bases de données Amazon Web Services a émis une alerte importante aux utilisateurs des bases de données Aurora, RDS et DocumentDB utilisant des connexions sécurisées SSL/TLS. Ces derniers doivent télécharger et installer le nouveau certificat CA-2019 avant le 14 janvier 2020. Les utilisateurs des bases de données Amazon Aurora, DocumentDB et RDS doivent faire attention. AWS vient en effet de les prévenir par e-mail ou via un message dans leur console de gestion de la nécessité de télécharger et d'installer un nouveau certificat d'autorité pour leurs instances. « Si vous n'utilisez pas de connexions SSL/TLS ou de validation de certificat, vous n'avez pas besoin de faire de mises à jour, mais non vous recommandons de le faire afin d'être prêt au cas où vous décideriez d'utiliser des connexions SSL/TLS à l'avenir », a précisé AWS dans un billet. Pour changer de certificat, deux méthodes existent. Les utilisateurs des bases de données Amazon Aurora, DocumentDB et RDS doivent faire attention.

PHP PHP: Hypertext Preprocessor [52], plus connu sous son sigle PHP a permis de créer un grand nombre de sites web célèbres, comme Facebook et Wikipédia[54]. Présentation[modifier | modifier le code] Il a été conçu pour permettre la création d'applications dynamiques, le plus souvent développées pour le Web. Son utilisation commence avec le traitement des formulaires puis par l'accès aux bases de données. Il est multi-plateforme : autant sur Linux qu'avec Windows il permet aisément de reconduire le même code sur un environnement à peu près semblable (quoiqu'il faille prendre en compte les règles d'arborescences de répertoires, qui peuvent changer). Libre, gratuit, simple d'utilisation et d'installation, ce langage nécessite néanmoins une connaissance aiguë des problèmes de sécurité qui lui sont liés. En 2018, près de 80 % des sites web utilisent le langage PHP sous ses différentes versions[55]. Histoire[modifier | modifier le code] Utilisation[modifier | modifier le code] Résultat affiché : <? <? <?

Application Web Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les messageries web, les systèmes de gestion de contenu, les wikis et les blogs sont des applications web. Des appareils réseau tels que les routeurs sont parfois équipés d'une application web dans leur micrologiciel[1]. Les applications web font partie de l'évolution des usages et de la technologie du Web appelée Web 2.0. Étymologie[modifier | modifier le code] Raccourci de logiciel applicatif dans la technologie du World Wide Web. Logiciel applicatif : logiciel qui met en application (automatise) les principes propres à une activité.Web, World Wide Web, traduction littérale : toile d'araignée mondiale, une technologie de partage de documents hypertexte. La technique de base[modifier | modifier le code] Dans la technologie client-serveur, utilisée pour le World Wide Web, le navigateur Web envoie au serveur des requêtes relatives à des pages Web. Histoire[modifier | modifier le code] Utilisations[modifier | modifier le code] JavaServer Pages

Python et Ruby : deux concurrents sérieux pour PHP Voici deux langages dont on parle beaucoup depuis quelques mois, bien que leur naissance remonte à plus de dix ans. Ruby est en effet né en 1995 au Japon. Tandis que Python a vu le jour aux Pays-Bas en 1990 où il a d'abord eu une vocation système. Ils ont plusieurs points communs dont certains qu'ils partagent avec PHP. "Très expressive, celle de Python le fait ressembler au pseudo langage que l'on utilise pour décrire le plus succinctement possible des algorithmes, si bien qu'un programme est quatre à cinq fois plus court que son équivalent en Java", explique Tarek Ziadé (photo), architecte chez Emencia, éditeur d'un framework entièrement écrit en Python, dédié au développement de sites marchants modulaires et configurables. Une syntaxe épurée "Un code Ruby est encore plus simple à lire et à écrire que du PHP, tant la syntaxe est épurée, notamment grâce aux points virgules facultatifs et à l'absence de caractères spéciaux. En France, Python et Ruby sont éclipsés par PHP

Bases de données : 7 prédictions pour 2020  5G, Multi-cloud, Kubernetes… Patrick McFadin partage ses prédictions pour l’année 2020 afin d’aider les professionnels de l’IT, et tout particulièrement les développeurs, à aborder cette nouvelle année. Grâce à l’évolution des technologies, les développeurs peuvent désormais implémenter leurs applications sur des bases de données plus spécialisées. On passe des bases relationnelles historiques aux nouvelles bases qui se prêtent davantage à des cas d’usage comme le graphe ou les données time series. Les organisations devraient d’ici peu s’intéresser de plus en plus aux bases de données dites NoSQL afin de faire face à l’explosion des volumes de données. Beaucoup de ces nouveaux projets s’appuieront sur des bases de données cloud (DBaaS ou Database-as-a-service) qui en faciliteront le déploiement et la gestion. En 2019 une recrudescence des incidents de production en raison de mauvaises configurations (sécurité, déploiement) a été observée. La 5G n’en est qu’à ses débuts.

Licence publique générale GNU Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir GPL. Licence publique générale GNU Logo de la licence publique générale GNU, version 3. Cette licence a depuis été adoptée, en tant que document définissant le mode d'utilisation, donc d'usage et de diffusion, par de nombreux auteurs de logiciels libres, en dehors des projets GNU. Principe de la licence GPL[modifier | modifier le code] La GPL met en œuvre la notion de copyleft, un jeu de mots anglais faisant référence à la notion de copyright (right en anglais signifie à la fois le droit, c'est-à-dire la règle juridique, et la droite, qui marque une direction) que l'on peut transposer en français en parlant de « Gauche d'auteur » par référence au Droit d'auteur. La GPL est la licence de logiciel libre la plus utilisée. L'esprit et l'objectif[modifier | modifier le code] Son histoire[modifier | modifier le code] Richard Stallman en discussion au deuxième jour de la première conférence GPLv3 le 17 janvier 2006.

Base de données Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Permet de stocker la totalité des informations relatives à une activité. Une base de données (en anglais : database) est un conteneur informatique permettant de stocker — le plus souvent dans un même lieu — l'intégralité des informations en rapport avec une activité. Une base de données permet de stocker et de retrouver un ensemble d'informations de plusieurs natures ainsi que les liens qui existent entre les différentes informations[1],[2]. Dans la très grande majorité des cas, le terme de base de données est utilisé pour base de données fortement structurée(s). Une base de données est la pièce centrale des dispositifs informatiques qui servent à la collecte, le stockage, le travail et l'utilisation d'informations. La manipulation de données est une des utilisations les plus courantes des ordinateurs. Description[modifier | modifier le code] Terminologie[modifier | modifier le code] Modèle de données relationnel. modèle de données entité attribut

phpMyAdmin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir PMA. phpMyAdmin (PMA) est une application Web de gestion pour les systèmes de gestion de base de données MySQL réalisée en PHP et distribuée sous licence GNU GPL. Fonctionnalités[modifier | modifier le code] Il s'agit de l'une des plus célèbres interfaces pour gérer une base de données MySQL sur un serveur PHP. Cette interface pratique permet d'exécuter, très facilement et sans grandes connaissances dans le domaine des bases de données, de nombreuses requêtes comme les créations de table de données, les insertions, les mises à jour, les suppressions, les modifications de structure de la base de données. Histoire[modifier | modifier le code] En 1998, Tobias Ratschiller commença à travailler sur une façade web en PHP pour MySQL, inspirée du MySQL-Webadmin de Peter Kuppelwieser. Principales versions[modifier | modifier le code] Statut actuel[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

PostgreSQL : tout savoir sur le DBMS d'entreprise open-source PostgreSQL est un système de gestion de base de données pour entreprises proposé en open source. Découvrez tout ce que vous devez savoir à son sujet. PostgreSQL est un système de gestion de base de données de classe d’entreprise open source. Il est compatible avec SQL pour les requêtes relationnelles, et avec JSON pour les requêtes non-relationnelles. Ce DBMS prend en charge de nombreux types de données et propose des fonctionnalités que l’on retrouve habituellement uniquement sur les systèmes commerciaux comme Oracle et SQL Server. Quelles sont les principales fonctionnalités de PostgreSQL ? Les multiples fonctionnalités de PostgreSQL permettent aux développeurs de créer des applications plus facilement, et aident les administrateurs à développer des environnements tolérants aux erreurs en protégeant l’intégrité des données. Ses principales caractéristiques sont une orientation objet et une haute disponibilité. Quels sont les avantages et les inconvénients ? MySQL vs PostgreSQL

VLC media player Un des grands atouts de VLC est qu'il intègre les codecs nécessaires à la lecture de la plupart des formats audio et vidéo. Cela lui permet de lire, mais aussi de convertir, un format dans un autre ; il peut extraire le son d'une vidéo. Le lecteur est capable de lire un grand nombre de flux réseaux et se montre par ailleurs tolérant avec les flux légèrement endommagés, allant jusqu'à les réparer de son mieux. Avec plus de 500 millions d’utilisateurs en 2019[note 1], VLC est l'un des lecteurs multimédias les plus utilisés, principalement en Europe, en Inde et aux États-Unis. Il fait partie de la liste des logiciels libres préconisés par l'État français. Organisation et gouvernance[modifier | modifier le code] VLC media player est un lecteur multimédia libre et gratuit issu du projet VideoLAN[5]. Plates-formes supportées[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] L'icône en forme de cône de signalisation de VLC media player a légèrement changé en novembre 2005[9].

Internet Protocol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir IP. Internet Protocol (abrégé en IP) est une famille de protocoles de communication de réseau informatique conçus pour être utilisés par Internet. Les protocoles IP sont au niveau 3 dans le modèle OSI. Les protocoles IP s'intègrent dans la suite des protocoles Internet et permettent un service d'adressage unique pour l'ensemble des terminaux connectés. Fonctionnement[modifier | modifier le code] Lorsque deux terminaux communiquent entre eux via ce protocole, aucun chemin pour le transfert des données n'est établi à l'avance : il est dit que le protocole est « non orienté connexion ». Services délivrés[modifier | modifier le code] Les protocoles IP assurent l'acheminement au mieux (best-effort delivery) des paquets. Fiabilité[modifier | modifier le code] Les garanties qu'un protocole IP n'offre pas sont déléguées aux protocoles de niveau supérieur. Historique des versions[modifier | modifier le code] En-tête IPv4.

Annexe D. Conformité SQL Cette section explique dans quelle mesure PostgreSQL™ se conforme à la norme SQL en vigueur. Les informations qui suivent ne représentent pas une liste exhaustive de conformance, mais présentent les thèmes principaux utilement et raisonnablement détaillés. Le nom complet du standard SQL est ISO/IEC 9075 « Database Language SQL ». Le développement de PostgreSQL™ respecte le standard en vigueur, tant que celui-ci ne s'oppose pas aux fonctionnalités traditionnelles ou au bon sens. SQL-92 définit trois niveaux de conformité : basique (Entry), intermédiaire (Intermediate) et complète (Full). À partir de SQL99, le standard SQL définit un vaste ensemble de fonctionnalités individuelles à la place des trois niveaux de fonctionnalités définis dans SQL-92. Les standards SQL:2008 et SQL:2003 sont également divisé en parties. PostgreSQL™ couvre les parties 1, 2, 9, 11 et 14. PostgreSQL supporte la plupart des fonctionnalités majeures de SQL:2008. Note

Related: